12/01/16
De l’Atlantide, après sa chute, une immigration massive de rescapés s’installa dans ce qui allait devenir l’Inde. Avec eux de nombreuses connaissances scientifiques et technologiques furent emportées, mais surtout l’essentiel de la Connaissance hermétique. Pour les authentiques initiés, il n’y a jamais eu qu’une seule Vérité qui fut transmise de peuple en peuple au fil des millénaires.
Les « différences » que l’on peut trouver ça et là dans des textes, ne sont que le fait de l’homme qui a voulu adapter selon les coutumes qui naquirent au sein des peuples. Ainsi par exemple, depuis la fin de l’Atlantide, c’est L’Inde qui fut le foyer de ces lointains Aryas venus du continent disparu (voir mon livre : Le choix atlante).
De l’Atlantide à L’Inde
Le monde dans lequel nous vivons privilégie particulièrement la dualité et la confusion. Ainsi, au fil des millénaires, les hommes ont différencié la Connaissance au point de la rendre incompréhensible, voire contradictoire par certains aspects. Plusieurs religions, plusieurs chapelles, plusieurs groupes dits initiatiques etc. qui se disent détenteurs de la Vérité.
« Mother India » comme disent certains, fut le centre d’où émigra, plus tard la Connaissance dont les Initiés étaient les détenteurs. Ainsi on peut retracer son parcours à travers les grands mythes de l’humanité chez tous les peuples de la Terre.
Pour les Occidentaux, la culture indienne est difficilement assimilable. Cela tient au fait qu’une incompréhension (et comme toujours une manipulation) a vu le jour il y a des milliers d’années afin d’isoler la Connaissance dans un secteur particulier afin de brouiller les pistes et de faire en sorte qu’elle fut le privilège de certains groupes.
D’autres part, de nombreux cataclysmes (faibles ou forts) eurent lieu dans l’Histoire de la planète. Ces facteurs géologiques ont été aussi des causes de replis de la Connaissance, il ne faut pas l’oublier (voir « Le choix atlante »). Pourtant il subsiste, encore aujourd’hui, des repères et des traces de ces similitudes entre les peuples, pour ceux qui savent faire parler Textes. Il s’agit simplement de se plonger dans l’étude.
Il est aujourd’hui frappant, de voir combien le manque de sérieux pousse certaines personnes à prendre de grossières erreurs et interprétations pour des vérités, mais aussi pour fonder des théories oiseuses sur une « archéologie mystérieuse » par manque d’information et de savoir. Ainsi on part toujours sur des théories « extraterrestres » pour expliquer ce que les Anciens ont défini avec leurs mots et leur mentalités, comme étant des Dieux donc des Principes. Nous y reviendrons dans de futurs articles ou livres.
Ainsi faut-il bien comprendre que l’archéologie antique ne peut se comprendre correctement (et encore !) que si les chercheurs connaissent au moins certaines bases de cette discipline mais aussi les Textes sacrés, l’Histoire des civilisations et l’Enseignement hermétique. Comment, sans cela, avoir une rectitude intellectuelle et s’avancer à offrir certaines hypothèses fondées? Si cela n’est pas fait ainsi, alors on tombe dans l’illogisme, le fantastique, l’élucubration, voire le grand n’importe quoi.
La geste de Hari-Kula
Dans le Radjastan, par exemple, la geste de Hari-Kula, relate l’épopée des princes de la lignée solaire (Hari veut dire soleil, et Kula famille) qui ont régné sur les terres du nord de l’Aryavarta. En y regardant de plus près, une comparaison s’impose entre Hari-Kula et Hercule, le dieu grec essentiellement aryen. Mais bien avant la Grèce, c’est l’Égypte qui fut héritière de la Connaissance de l’Inde puisque nous retrouvons là encore des dieux similaires avec le mythe solaire d’Horus (Heru) le Hercule grec.
Que dire aussi du parallèle entre le Gange et le Nil, entre la Vache sacrée de Krishna en Inde et du dieu-taureau Apis en Égypte, ces deux symboles qui étaient source de fécondité céleste. Que dire encore de l’importance du dieu singe en Inde et du même symbolisme attribué à Thot (babouin) en Égypte? Que dire enfin du serpent cobra appelé Naja, qui symbolisait la sagesse en Égypte et des Nâgas de l’Inde, symbole des gardiens de la Connaissance ?
De multiples autres exemples pourraient encore être présentés pour établir une corrélation entre les différentes civilisations. L’inde fut la terre qui hérita du savoir atlante, qui essaima ensuite tout autour des pays du Bassin Méditerranéen et plus loin encore.
Ces quelques exemples ont pour but de montrer, s’il en est besoin, que la Tradition est commune à tous les peuples de la Terre et qu’elle n’a qu’une source. En raison de la confusion de ce monde, tout s’est peu à peu délité mais rien ne s’est perdu grâce aux Gardiens de Sagesse. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil, hormis l’Éternelle Vérité qui se situe bien au-dessus des « pseudo courants » qui ne sont que des chimères passagères, flottant sur le fleuve illusoire du temps.
Avec le cœur