Guillaume Delaage

DÉCOUVERTES ARCHÉOLOGIQUES MAJEURES EN ÉGYPTE

24/02/2018

Des découvertes archéologiques majeures en Égypte, sont en train de révolutionner toutes les datations jusqu’alors admises concernant les anciennes civilisations. Aux dires des égyptologues, la culture égyptienne aurait commencé il y a 5000 ans environ avant notre ère. Mais voilà que dernièrement, le Directeur général du département de la préhistoire égyptienne, vient de donner un grand coup de pied dans la fourmilière des certitudes. Ses découvertes lui permettent d’affirmer que la civilisation égyptienne aurait au moins 150.000 ans !

Une histoire aux sources de l’Hermétisme

Découvertes archéologiques majeures en Égypte
Le docteur Khaled Saad lors de son interview à la télévision égyptienne

Il n’est pas question ici de préhistoire, mais bien d’Histoire. L’information serait passée inaperçue si ce n’était grâce à la perspicacité d’Antoine Gigal auteure exploratrice en Égypte, qui a écouté l’interview télévisée du docteur Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, et qui a eu la bonne idée d’en faire une vidéo. L’ayant visionnée, mes amis de Tistrya m’en ont fait part aussitôt, tant la découverte vient bousculer toutes les idées reçues en matière de datation.

Voilà des décennies que je travaille -comme nombre de mes lecteurs le savent– sur l’archéologie dite « interdite » ainsi que sur les artéfacts inexpliqués. Mes recherches, mes travaux, n’ont toujours eu de cesse que de donner avec respect, les fondements de l’Enseignement hermétique sur l’Histoire des anciennes civilisations, mais aussi sur la trame qui constitue le cursus permettant d’élargir sur notre champ de conscience pour une plus grande évolution spirituelle.

Découvertes archéologiques majeures en Égypte
Dessin de Knapp

C’est donc cet Enseignement hermétique qui nous permet, non seulement de comprendre la présence de l’Homme sur cette planète, mais aussi de mieux cerner l’Histoire des civilisations antédiluviennes et de présenter des faits remontant à des millions d’années avant notre ère, à un temps où de grandes civilisations plus formidables que la notre existaient.

Dans mes écrits je tends à démontrer cela tout en m’efforçant de dénoncer les théories extravagantes sous-tendues par des élucubrations extraterrestres. Mon livre « Le choix atlante » a tenté d’apporter les éléments d’ajustement qui contredisent les aspects académiques de l’Histoire officielle basés sur l’étude des textes sacrés de plusieurs civilisations.

Ainsi, la théorie des anciennes civilisations plus évoluées que la nôtre, que je défends depuis des décennies, trouve avec cette surprenante découverte, sa justification. La Terre a connu de nombreux cataclysmes plus ou moins importants et ainsi, au cours de millions d’années, il y eut des bouleversements géologiques. Des terres ont été inondées d’autres sont devenues désertiques. Des séismes ont détruits des villes entières et des mouvements géologiques des continents entiers.

Tout ces « passages » d’évolution terrestre sont appelés pralayas. Nos continents  et nos diverses civilisations en ont connu et en connaîtront encore.

Découvertes archéologiques majeures en Égypte

Ce sont donc les découvertes de Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, qui viennent aujourd’hui jeter un pavé dans la marre. Ses recherches lui ont permis aujourd’hui de prendre la parole, au risque de recevoir l’anathème de ses collèges égyptologues. En effet il vient de démontrer que la civilisation égyptienne n’a pas 5000 ans environ, comme le prétendent les historiens officiels, mais bien 15 000 ans. Et de 15 000 à 500 000 ans  pour des traces de civilisations.

Découvertes archéologiques majeures en Égypte
Les ruines de Nawamis

Avec son collègue Mustapha Reis, ils révisent peu à peu toutes les datations proposées par les Occidentaux, et s’aperçoivent que ceux-ci ont une volonté farouche de ramener toujours la chronologie à des dates plus récentes. Dans le centre sud du Sinaï se trouvent neuf complexes d’habitation qu’on appelle Nawamis.

Le Dr Saad dit, que non loin de là, il a trouvé un site identique dont la datation avoisine les 15 000 ans. Ce serait donc la plus vieille cité du monde. Mais d’après l’éminent chercheur il y aurait également 306 autres sites qui remonteraient à 500 000 ans sur lesquels on a retrouvé des traces de civilisations.

Ils ont également découvert sur ces habitations, des traces de peintures identiques à celles qu’utilisèrent les pharaons des milliers d’années plus tard.

É
Nawamis

Plus extraordinaire encore, ils ont remarqué que ces peuples croyaient aux mêmes dieux que les égyptiens de l’époque dynastique. Ces dieux seraient donc issus d’une antiquité beaucoup plus ancienne que celle présentée dans nos manuels d’Histoire. Ces découvertes archéologiques majeures remettent donc toute la datation en question, et c’est ce que les Dr Saad et Reis s’appliquent à remettre en ordre. Certains scientifiques commencent à sortir des sentiers battus. Tant mieux, car ces découvertes confortent ce que dit l’Histoire antédiluvienne de la planète, précieusement conservée par les Gardiens invisibles de la grande Tradition.

A l’ombre de la Tradition hermétique

Les historiens ont donné des repères qui étaient issus du travail de leurs prédécesseurs et tout s’est bâti selon de faux paramètres et des données approximatives. On raisonnait juste sur des données fausses. Fort heureusement la science évolue et avec elle certains esprits plus ouverts, qui risquent néanmoins la potence du dénie scientifique de leurs confrères. Qu’ils soient ici salués pour leur audace et leur sens de la Vérité.

Le même combat se joue depuis des milliers d’années pour que soit reconnue la Science des Sciences, ce cursus universel qu’est l’Hermétisme transmis par les Maîtres de Sagesse et Leurs disciples. Depuis toujours beaucoup de vérités sont dites pour aider l’être humain dans sa progression spirituelle et son ouverture de conscience. De plus en plus les découvertes archéologiques et scientifiques en général, viennent étayer l’Histoire de notre passé antédiluvien.

Découvertes archéologiques majeures en Égypte
Huile sur toile de Edward Lear

Dans mon livre « Le choix atlante » paru en 2013, me référant à l’Enseignement hermétique je dis que :

Lorsque les Aryas s’étaient implantés dans le Nord de l’Inde et que leurs descendants, les Brahmanes, avaient apporté leur florissante culture aux peuples du Moyen Orient, l’Égypte s’était peu à peu peuplée, il y a 400 000 ans, à travers un peuple qui reste inconnu. Ce pays était alors très différent de la civilisation égyptienne que nous connaissons à travers l’Histoire antique.(…) A une époque plus tardive une importante immigration d’Aryos-Dravidiens, à peau foncée, de l’Inde pré-védique se déplaça vers l’Égypte et se mélangea à l’ancien peuple égyptien qui vivait là depuis de nombreux siècles.

C’est alors que suivirent ce que l’on appelle les Dynasties divines, qui résultèrent d’une migration atlante, de laquelle est issue l’antique civilisation égyptienne que nous connaissons. Beaucoup serait à dire à propos de cette fabuleuse histoire des âges anciens, que seule les Archives des Maîtres de Sagesse conservent. Dès lors, qui peut se vanter d’expliquer par des hypothèses personnelles, souvent hachées ou tronquées, glanées ça et là, une vérité historique. L’Histoire antédiluvienne du monde est inscrite dans les Écrits de la grande sagesse. Il est donc inutile d’essayer d’en tirer une gloriole personnelle. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil comme le disait le mythique Salomon.

Visionner ici la vidéo d’Antoine Gigal.

ZEALANDIA LE CONTINENT PERDU

24/02/2017

Les journaux en font leur gros titre. Voilà que des scientifiques viennent de confirmer la découverte de Zealandia le continent perdu entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande ! Mais de quoi s’agit-il vraiment ? Est-ce un continent ? Des terres immergées ? Les vestiges de territoires oubliés ? Explication.

Des travaux rigoureux

La science nous a appris, depuis des décennies, à prendre pour certitude ce qu’elle affirme comme étant rigoureux et fondé. Du moins selon elle. Ainsi, d’après Alfred Wegener et sa découverte appelée la tectonique des plaques, il est impossible de contredire la géographie du monde, sans sortir du dogme de la science.

Zealandia le continent perdu
La formation du monde vu par la science. Un préalable très discutable.
Zealandia le continent perdu
Le Gondwana – Une autre hypothèse qui a de grandes chances d’être un jour obsolète.

En effet conformément à cette théorie, adoptée par les scientifiques, toutes les terres de notre globe seraient issues d’un seul continent originel que l’on a appelé la Pangée. Celui–ci se serait démembré, et aurait donné au sud un énorme continent le Gondwana. Avec le temps le démembrement se serait poursuivi jusqu’à la naissance des continents actuels.

Depuis, la géographie du monde n’aurait pratiquement pas changé, du moins depuis la période éocène il y a environ 40 millions d’années. Toujours selon la science, la configuration des terres serait restée la même et la preuve en est la démonstration faite par la tectonique des plaques, du sérieux et scientifiquement incontesté A. Wegener.

Inutile de préciser que cette explication scientifique n’envisage même pas la possibilité d’autres continents qui auraient jadis existé comme l’Atlantide, par exemple, puisque cela serait impossible selon le « canon » dogmatique de cette théorie. Ainsi donc, ce que dit l’Enseignement hermétique et  quelques textes sacrés sur l’existence d’anciennes civilisations, ne peut être envisagé. Voilà pour l’explication scientifique.

Quand la tectonique des plaques ne colle plus

Fort heureusement, la Tradition hermétique a une assise de plusieurs millénaires d’existence (en tout cas aux yeux des humains), mais sans âge véritablement si l’on en juge par son origine. Elle est donc, le « gabarit » sur lequel se sont basées des générations d’Initiés, parvenus à une plus grande vision de notre monde. La science rejette bien entendu ces « histoires à dormir debout » et l’Atlantide, les civilisations passées et d’autres continents ne sont, pour elle, que des contes pour enfants.

Zealandia le continent perdu
Dr. Alfred Wegener (1880 – 1930)

Mais voilà qu’aujourd’hui des scientifiques australiens et français viennent bouleverser la donne, pour nous dire qu’ils ont découvert un nouveau continent sous l’océan Pacifique formant le socle de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande ! Quid de Wegener et de sa théorie ?

La stupeur est grande dans le monde de l’océanographie car cela ne colle pas avec la tectonique des plaques. En effet, les continents sont supposés être constitués majoritairement de roches moins denses que les basaltes de la croûte océanique, et bien sûr du manteau sur lequel ils flottent.

Ces plaques peuvent se diviser, se  coller, en raison de la dérive des continents, ou même s’enfoncer légèrement, mais disparaître sous l’océan, c’est contre toutes les théories crédibles et envisagées par la science. Et pourtant !

Zealandia le continent perdu

Selon le groupe de spécialistes en géosciences néo-zélandais, australiens et français, c’est ainsi que les choses se sont passées il y a plusieurs dizaines de millions d’années sur l’énorme continent appelé Gondwana. D’après leurs travaux, ce morceau de continent actuellement repéré sous l’océan, aurait une superficie d’environ 5 millions de km2, soit les deux tiers de l’Australie.

Zaelandia le continent perdu
Reconstitution du continent Zealandia selon les dernières découvertes.

Zaelandia le continent perdu
Selon l’Enseignement hermétique voici la configuration d’un reste de la Lémurie (en vert) à la première époque Atlante.

Notez la similitude des deux cartes. Celle de gauche l’évaluation actuelle de ce continent selon les récentes découvertes. L’autre, à droite, (d’après l’Enseignement hermétique) représentant un des derniers bastions de la Lémurie à l’époque atlante, donnée avec plus de précisions. Ces cartes sont présentées dans mon livre Le choix atlante.

Ses sommets seraient tout simplement la Nouvelle-Zélande et la Nouvelle-Calédonie. Les échantillons marins prélevés montreraient qu’il s’agit en tout état de cause d’une croûte continentale qui aurait pour origine des coulées volcaniques. Nous y reviendrons plus loin.

Pour le reste, la tectonique des plaques aurait fait son œuvre car bien que la conclusion de Wegener sur les frictions des plaques terrestres soit tout à fait envisageable, elle n’est pas pour autant le schéma absolu de référence, car elle n’explique pas tout. Preuve en est l’existence de ce gigantesque continent sous-marin que les  découvreurs ont appelé Zealandia !

 

Que dit la Tradition hermétique ?

Cette découverte est pour le moins déconcertante pour le monde scientifique car on s’aperçoit que tout ne peut pas être absolu et que ce qui était vrai hier peut changer en fonction des découvertes fortuites et de l’intuition inhérente à certains chercheurs.

Zaelandia le continent perdu
La Lémurie à sa première période – Graphisme Xeng Yang – Copyright Guillaume Delaage – Tous droits réservés.

Au fond comment peut-on envisager ce continent (ces restes devrait-on dire) appelé aujourd’hui Zaelandia ? D’après l’Enseignement hermétique, le monde a changé plusieurs fois de visage, au cours des derniers millions d’années (Voir mon livre Le Choix atlante). En effet, contrairement à ce que dit la science, la géographie n’a pas toujours été la même et des continents ont existé et se sont effondrés bien avant l’Atlantide.

Ce qui est considéré comme le Gondwana pour la science, était une petite partie d’un terre colossale qui abritait une formidable civilisation de géants connue sous le nom de Lémurie, nom donné dans les années 1880 par P.L. Sclater. Plus tard, d’autres l’ont appelé continent de Mû. Je renvoie mes lecteurs à un précédent article où cela est expliqué.

C’est donc au cœur de l’océan Pacifique que ce vaste continent, peuplé de géants au teint brun, occupait toute la surface qui s’étendait du pied de l’actuel Himalaya vers le sud, à travers l’Inde Méridionale, le Shrî Lanka et Sumatra, englobant, dans la direction du sud, Madagascar à droite, l’Australie et la Tasmanie à gauche et s’étendait jusqu’à quelques degrés du Cercle Antarctique. A partir de l’Australie, qui était alors une région intérieure du Continent Principal, elle s’étendait au loin dans l’Océan Pacifique, au-delà de Rapa-nui ou île de Pâques. Sans oublier toutes les îles pacifiques actuellement existantes.

Dans le labyrinthe du temps

Zaelandia le continent perdu
Les Moaï de l’Île de Pâques – Des vestiges Lémuro-atlantes

Ce vaste continent s’est effondré en plusieurs étapes en raison des feux souterrains de lave. A l’époque de l’Atlantide, certains bastions existaient encore durant la période Lémuro-atlante dont je parle dans mon livre Le Choix atlante. Les derniers descendants de ces peuples s’affrontèrent aux Atlantes en de violents combats. Et même s’ils étaient englobés dans l’humanité atlante, ils n’en restaient pas moins descendants des Lémuriens.

Aujourd’hui encore ce souvenir subsiste dans certaines traditions tamoul, comme un parfum de légende, car les Dravidiens du sud de l’Inde sont les lointains descendants de cette Lémurie finissante.

Ceux qui connaissent le sud de l’Inde, pourront encore trouver d’étranges vestiges qui commémorent ces temps anciens, avant la conquête aryenne. Celle-ci a fait l’Inde du Nord avec ses grandes épopées, mais le Sud a toujours abrité (avant l’intervention de Ram) le souvenir très ancien de la Lémurie. L’Île de Pâques, bien que située à des milliers de kilomètres de là, nous donne une idée de ce que furent les Lémuriens de cette époque.

Ainsi va le monde, et si d’une petite partie de la Lémurie redécouverte aujourd’hui, nos scientifiques contemporains en font « Zealandia » remercions l’Enseignement hermétique et certains textes encore lisibles, de nous permettre de faire revivre, avec plus de détails, du fond de l’océan, le souvenir grandiose d’une époque où les géants à la face brune dominaient le monde.

Voir ici la vidéo donnant l’explication scientifique de la découverte.

Voir aussi sur le même sujet : Les derniers vestiges de la Lémurie

FANTASTIQUE ARCHÉOLOGIE EN RUSSIE

20/01/2017

Pendant plus d’un siècle, l’Union soviétique a conservé un grand nombre de ses secrets. Aujourd’hui, la fantastique archéologie de Russie refait surface grâce à la perspicacité de chercheurs indépendants qui révèlent ce qui a longtemps été caché, ou tout simplement ignoré. C’est souvent vers l’Amérique du Sud que se sont braqués les projecteurs de l’information pour mettre en relief des constructions archéologiques monumentales. Mais c’est en fait toute la planète qui recèle de nombreux vestiges extraordinaires, et la Russie est loin d’avoir tout livré.

 

Une étonnante technologie

Depuis de nombreuses années, j’essaie d’offrir à mes lecteurs un large éventail des plus fameuses énigmes archéologiques en pointant des découvertes et des lieux particulièrement impressionnants que l’on peut retrouver dans les articles de ce site, mais aussi dans mes livres. Internet permet aujourd’hui de dépasser les frontières, et de découvrir des artéfacts impossibles ou des constructions gigantesques devant lesquels l’archéologie académique reste sans réponse.

Fantastique archéologie en Russie
L’auteur Erich von Däniken qui fut à l’origine de la thèse des « Anciens astronautes »

Dans cet angle mort, se sont engouffrées des personnes sérieuses, mais aussi bon nombre de fantaisistes en mal de science fiction et de romanesque. Au risque de me répéter, je dirai que la facilité et le goût du fantastique conduit toujours ceux qui n’ont pas de réponse, aux mêmes conclusions.

Leur crédo est devenu très vite viral depuis les années soixante-dix car, selon eux, puisque les civilisations passées n’étaient pas capables d’avoir la technologie suffisante pour construire des monuments gigantesques de ce genre, c’est qu’une technologie extraterrestre leur est venue en aide. Et voilà l’affaire conclue !

L’hypothèse est tellement alléchante qu’elle a séduit et séduit encore des foules entières. De nombreuses personnes en ont fait une théorie qui perdure encore mais qui de plus en plus laisse sceptiques des chercheurs sérieux.

 

 

Vers une autre hypothèse

Fantastique archéologie en Russie

Tout au long de mon travail, depuis des décennies, j’essaie d’apporter une autre hypothèse (qui peu à peu est curieusement reprise par certaines personnes en mal de probité) qui est celle que ce ne sont pas forcément des extraterrestres qui sont à l’origine de ces constructions gigantesques, mais bien des géants terriens qui vivaient dans un passé vieux de plusieurs millions d’années au sein de civilisations depuis longtemps oubliées, enfouies et disparues. Je parle de cela, de manière exhaustive, dans mon livre : « Le choix atlante ».

Au Moyen-âge lorsqu’on ne comprenait pas un phénomène insolite on l’attribuait soit à Satan, soit on disait qu’il s’agissait d’un miracle. C’était la conclusion « fourre-tout ».

Aujourd’hui avec notre époque, elle est devenue « la thèse extraterrestre ». On remplace certes, mais on ne change pas le comportement dû à l’ignorance.

Je le répète aussi pour être bien clair, est-ce pour autant que je n’accrédite pas l’existence d’extraterrestres venus sur Terre ? Certainement pas ! Je m’en explique largement dans mes livres et le ferai peut-être de manière encore plus explicite dans de futurs ouvrages.

Dans tout mon travail, je me base sur des recherches personnelles, mais aussi et surtout sur l’Enseignement hermétique qui est la Sagesse du Monde. C’est le « gabarit » qui permet d’avancer sur un Chemin lumineux et sûr et non pas sur un terrain illusoire, fait de miroirs aux alouettes.

La Science hermétique est très claire à ce sujet et ce qui est dit à propos des « extraterrestres » est beaucoup plus fantastique que beaucoup d’élucubrations ou de réels témoignages que l’on nous propose aujourd’hui. Peut-être en parlerons-nous un jour.

Le savoir des anciennes civilisations

Quoi qu’il en soit, beaucoup de personnes aujourd’hui rejoignent peu à peu l’hypothèse que je défends depuis de très nombreuses années, concernant les civilisations disparues, en le reprenant à leur compte. Le fait est que pour bien comprendre ce passé lointain, il faut avoir étudié sérieusement les textes sacrés des anciennes civilisations, mais pas que cela. Il faut avoir une connaissance synthétique de l’Enseignement hermétique, car tout y est dit. En envisageant le sujet de cette façon, la « théorie extraterrestre » se dégonfle comme un soufflé.

Certains se lancent avec enthousiasme sur la voie de la découverte d’artéfacts archéologiques (ce qui est une très bonne chose) mais en reviennent avec plus d’interrogations qu’au départ ou avec des opinions personnelles qui n’apportent rien de concret quant à la réalité de l’affaire. Beaucoup aujourd’hui commencent à comprendre que la théorie « extraterrestre » a fait long feu et se tournent vers des directions plus crédibles, comme celle du savoir des Anciens, que je défends depuis tant d’années et que j’ai finalement exposé en détail dans mon livre « Le choix atlante ».

Fantastique archéologie en Russie
Les colossales statues de l’Île de Pâques

L’enseignement hermétique nous apporte de nombreux détails concernant ces antiques civilisations, dont la plus connue est l’Atlantide. De ce continent merveilleux, nous ne connaissons que ce que le sage Platon a été autorisé à nous dire.

Étant initié aux Mystères de l’Égypte, il en savait beaucoup plus que ce qui est relaté dans Timée et Critias, les deux seuls fragments qui nous sont parvenus de ses discours.

En fait ici, Platon ne parle que de la dernière Atlantide, celle qui s’effondra définitivement dans les eaux de l’Océan Atlantique  il y a environ 12 000 ans.

Mais il y eut d’autres civilisations atlantes, dont la plus ancienne était florissante il y a plus de 4 millions d’années, comme je l’explique dans mon livre. Bien entendu, après un temps si lointain, les civilisations, les restes humains et animaux, les constructions, les terres etc. sont détruits, enfouis, transformés. Même la géographie de la planète fut modifiée.

 

Le récit des textes sacrés

Fantastique archéologie en Russie

Il faut en venir à la conclusion qu’il ne subsiste au fond, que très peu de choses de ces antiques civilisations qui étaient peuplées de géants. Les textes sacrés en parlent et je vous invite à lire, sur ce site, les articles que j’ai écrits concernant différents manuscrits qui relatent ces faits. Certes, il faut aussi pouvoir et savoir décoder, car le langage utilisé dans ces textes est déformé souvent par la traduction mais surtout par le mode de pensée contemporain.

C’est ainsi que les Dieux venus du ciel, par exemple, ou les guerres dans le ciel, les anges, ou encore les archontes etc. ne sont pas du tout la narration de l’histoire d’êtres venus « d’ailleurs » (bien que cela se soit aussi passé) mais la description d’autres phénomènes que nous développerons peut-être un jour, car hors sujet ici.

Chacun aura compris que ces thèmes demandent une réelle analyse approfondie sans laquelle on se perd en conjectures, en traversant aisément le mur du son de l’élucubration.

Ainsi donc nous retrouvons aujourd’hui ces nombreux artéfacts de pierre, des mégalithes, des objets, anachroniques, ou encore des ossements ou traces humaines géants. Tout cela représente les rares indices de ce qui subsiste des anciennes civilisations cyclopéennes qui exerçaient leur pouvoir sur la Terre il y a des centaines de milliers d’années et plus encore.

Fantastique archéologie en Russie
« Les Atlantes » à Tula au Mexique

Aujourd’hui ces vestiges archéologiques muets donnent le vertige car notre civilisation n’est pas encore en mesure de comprendre ce qui la dépasse, puisqu’elle vit dans un confort cartésien qui la rassure mais qui est en réalité l’objet d’une manœuvre, où la contre-vérité est maitresse.

Mais cela est encore une autre histoire. Comme l’être humain n’a pas été habitué à employer le langage authentique de l’Enseignement universel, il regarde endormi, avec une conscience somnolente ces constructions multimillénaires  et autres artéfacts, sans en comprendre l’origine.

C’est pourquoi, dans tous les domaines, notre « éducation » notre « savoir » est, depuis toujours, réglé selon la volonté de puissances qui ne s’exposent pas, mais qui agissent de manière sous-jacente. Ainsi va l’humanité, enfermée dans son rêve.

 Fantastique archéologie en Russie

Ainsi en va-t-il de même pour la Russie, ce pays longtemps ignoré et resté secret pour des raisons politiques, mais dans lequel existent des constructions mégalithiques et autres vestiges absolument hallucinants. Les Russes commencent seulement, depuis quelques années, à découvrir leur propre patrimoine antédiluvien.

Fantastique archéologie en Russie

En effet leur pays est géographiquement le plus grand du monde et la Sibérie (longtemps difficile d’accès, mais aussi d’autres régions) est un territoire qui possède des restes significatifs de très vieilles civilisations.

Il faut savoir, d’après ce que nous rapporte la Tradition hermétique, que tous les continents actuels ont, à différentes époques, été le creuset d’anciennes civilisations.

Pour ne prendre que la Grande Atlantide, sachez qu’elle s’étendait du centre de l’actuel océan Atlantique jusqu’à l’actuel Brésil, mais que d’autres terres plus éloignées étaient habitées par des civilisations plus anciennes encore.

Les flux migratoires existaient aussi, et les civilisations se construisaient et se défaisaient en fonction des conflits mais aussi des mouvements géologiques et autres cataclysmes, ce qui transformait la géographie initiale.

De la sorte, des contrées connues aujourd’hui comme la Russie et des régions comme la Sibérie, faisaient partie d’un continent qui était alors habité par des êtres que l’on considère aujourd’hui comme des géants. Ainsi, trouvons-nous de nombreuses structures quasi impossibles dont certains vestiges existent encore aujourd’hui.

Pierres colossales sur la montagne Shoriya

Sur la montagne Shoriya (région de Kemerov, Russie) le géologue Pochetkin fit en 1991, une découverte qui a rendu perplexes de nombreux scientifiques. En effet un mur de pierres rectangulaires empilées les unes sur les autres, a été découvert il y a quelques années et porte déjà le nom de «Stonehenge russe».

Fantastique archéologie en Russie
Les fantastiques mégalithes de Russie – Voyez l’énorme masse de ce seul bloc

Bien qu’il ait suscité l’intérêt des chercheurs, il n’a pas été correctement exploré par manque de financement. La recherche n’a été reprise qu’à l’automne 2013. Les blocs de granit découverts sont impressionnent par leurs dimensions.

Les murs d’une hauteur de 40m sur une longueur de 200m, sont construits selon une technique polygonale de maçonnerie. Certains blocs ont une longueur de 20m sur 5 à 7m de hauteur. Chaque bloc –dit-on- pèserait plus de 1000 tonnes !

Bien entendu les scientifiques s’interrogent sur les moyens techniques utilisés pour tailler ces blocs massifs car, une fois de plus, si l’on ne considère pas que ces vestiges proviennent de civilisations  très avancées du passé, il est difficile de parvenir à une conclusion scientifique d’aujourd’hui.

Cela intrigue d’autant plus que l’on se demande comment ces blocs ont pu être levés et transportés jusqu’à l’emplacement où ils se trouvent sur la hauteur de la montagne. Là encore, au regard de ce qui vient d’être dit dans cet article concernant les anciennes civilisations d’un passé proto-historique, on imagine que les humains de cette époque étaient réellement gigantesques.

Découvrez ici les vidéos

Les différentes vidéos présentées ici ont été faites par des Russes et sont par conséquent compréhensibles dans cette seule langue. Pour ceux qui ne l’entendent pas, ils pourront néanmoins bénéficier des formidables images qui se passent de commentaires.

L’ancienne ville de Slavic-Aryan en Altai

Fantastique archéologie en Russie

La ville antique de Slavic-Aryan (présentée dans une vidéo mise en ligne sur le site http://arigrad.ru/) fut découverte par le géologue et explorateur Alexander Bespalov, à l’été et l’automne 2012. Pour éviter des pillages et une déprédation du paysage, de fausses pistes sont données quant à l’emplacement exact de ce complexe. Mais d’ores et déjà certaines personnes connaissent la localisation.

La Crète Arakulsky Sheehan en Russie

Elle est formée de dalles énormes de granit et de blocs taillés. Selon les témoins, Sheehan rappelle la muraille de Chine ou bien encore une énorme forteresse. L’origine est inconnue. Il y a également, comme le montre la vidéo, d’étranges sculptures. Certains blocs semblent avoir été sciés de manière très précise avec des outils perfectionnés.

Vottovaara

Fantastique archéologie en Russie

Situé à 20 km du lac de Sukkozero en république de Carélie (Russie) près de la Finlande, Vottovaara est une montagne célèbre pour son paysage jonché de roches. Le recul et la fonte des glaces a laissé des blocs étranges, connus des habitants alentours. Pour eux, des portions de la montagne, représentant les esprits de la terre qui étaient considérées comme sacrés pour le peuple saami. Celui-ci croyait que les esprits vivaient dans ces pierres. Quoi qu’il en soit de tels agencements, comme on peut en trouver à Marcahuasi au Pérou sont des vestiges d’une histoire inconnue qui se perd dans la nuit des temps.

Kolyma

En Russie toujours, les mégalithes de Kolyma

Fantastique archéologie en Russie

 

Karatag

Fantastique archéologie en Russie

A voir aussi les mégalithes mystérieux de la montagne Karatag

Sokkolina

Fantastique archéologie en Russie

Mégalithes et cavernes. Effets résonateurs dans le massif rocheux Sokkolina

https://www.youtube.com/watch?v=KFhdi7lN3fA

Il y aurait encore beaucoup à montrer, mais cet article, non exhaustif, a pour but de donner une idée de ce que furent ces grandes civilisations antre-diluviennes sur toute la surface de la Terre. Les vestiges qu’elles nous ont laissés, sont à la fois un témoignage de leur grandeur mais aussi un message qui présente à la fois la vanité de la vie sur notre planète, sa beauté, mais surtout une invitation à sonder notre propre conscience car c’est en elle que réside l’unique Réalité.

L’ÉNIGME ARCHÉOLOGIQUE DE MONTE ALTO

09/06/2014

L’énigme archéologique de Monte Alto ne livrera jamais ses secrets. Qu’il s’agisse d’énigmes archéologiques impossibles, de découvertes archéologiques inexpliquées, d’énigmes historiques scientifiques, d’archéologie mystérieuse, d’archéologie étrange ou inexpliquée, de civilisations disparues, de curiosités archéologiques, ou encore de secrets archéologiques, les chercheurs de vérité sont toujours en quête de nouvelles connaissances.

L’énigme archéologique de Monte Alto pourrait faire partie de ces vestiges remarquables aujourd’hui disparus. L’Amérique du Sud   renferme des mystères inexpliqués ou inconnus, qu’on ne peut recenser ailleurs. Les archéologues spécialisés dans les anciennes civilisations, reconnaissent eux-mêmes qu’on ne peut aller plus avant dans le temps et comprendre réellement les cultures olmèques et toltèques.

Les Mayas et autres Incas semblent plus connus, mais dès que l’on cherche à remonter plus loin, on se retrouve devant plus de questions que de réponses. A lire certains textes comme le Popol-Vuh des Mayas Quichés, mais aussi d’autres codex, on voit très bien que ces peuples connaissaient parfaitement leur origine qui se perdait dans la nuit des temps. Il est souvent question de géants -comme d’ailleurs- chez beaucoup d’autres peuples, dans leur mythologie et généalogie. Les géants existaient-ils en Amérique Latine ?

Tout le monde sait que la forêt amazonienne est immense, et en termes de comparaison on peut dire que sa superficie est de sept fois supérieure à celle de la France. Quand on sait que la majeure partie de cette forêt primaire est inexplorée, on peut imaginer les trésors en biodiversité qu’elle recèle, mais aussi les tribus sauvages qui peuvent y vivre, et les vestiges d’anciennes civilisations que l’on pourrait y trouver.

En effet, ces terres ont longtemps été habitées et beaucoup d’explorateurs disent avoir vu des ruines étranges qu’ils n’ont pas pu retrouver tant la jungle conserve jalousement ses secrets. Même lorsque Cortez arriva au Pérou, il s’aperçut que certains Incas, par peur des représailles, s’étaient enfuis dans des villes cachées dans la forêt, que personne ne trouva jamais. (Voir article : Hitler et la cité perdue d’Akakor).

Tous les peuples de la Méso-Amérique ou de l’Amérique du Sud, Toltèques, Olmèques, Zapotèques, Mixtèques, Mayas, Aztèques, Incas et bien d’autres, parlent de leurs ancêtres géants, qui peuplaient jadis ces contrées. Dans tous les textes nous retrouvons des références aux initiateurs qui vinrent sur ce continent pour y apporter la Sagesse.

Le dieu Quetzalcoalt, par exemple, était un immense serpent à plumes qui instruisit les indigènes. Comme nous l’avons vu dans d’autres articles sur ce site, le Serpent a toujours représenté la Connaissance sacrée dans toutes les traditions du monde. Les serpents ou les dragons étaient des êtres de Sagesse (les Nâgas ou Naguals selon les peuples) parvenus à la plus haute Initiation, à l’Adeptat.

Même en Amérique du Nord, il existe d’étranges tumuli (dont l’origine exacte n’a jamais vraiment été définie) dans lesquels on retrouve l’image du grand serpent. Ces monticules ou Serpent Mound (Ohio), dit-on, auraient été construits par des géants. Et tout au long des deux grands continents américains on peut, presque à la trace, suivre le périple des Grands Serpents et des géants fabuleux.

L'énigme archéologique de Monte Alto
Serpent Mound

Les têtes géantes

Depuis de nombreuses années, on connaît ces boules énigmatiques trouvées au Costa Rica, si parfaites, que le travail de taille a dû nécessiter un outillage très particulier. Plusieurs de ces énormes boules ont été retrouvées et d’autres dorment encore certainement dans la forêt. Les hommes qui les ont fabriquées ne devaient pas être des hommes « normaux » mais d’une stature colossale.

Du reste nombre de ces pierres se retrouvent dans d’autres régions du monde (à ne pas confondre avec ces blocs circulaires et légèrement aplatis, qui eux sont d’origine naturelle). Non loin de ces boules, ont été trouvées les têtes dites olmèques, dans la région de Vera Cruz au Mexique (Tres Zapotes, San Lorenzo, La Venta), têtes énormes qui représentent des hommes aux traits négroïdes, aux lèvres lippues, coiffés de casques assez avant-gardistes, comme des casques de pilotes.

En toute logique, cette ressemblance africaine nous incite à penser que des colons venus d’Afrique ont du séjourner ou s’installer dans cette partie de l’Amérique Centrale. Ces êtres étaient probablement des géants, et si l’on en croit le Popol-Vuh et d’autres codex, on apprend qu’à une époque très lointaine les géants vivaient sur des terres aujourd’hui disparues, au cœur même de l’Océan Atlantique. Par conséquent, si l’Atlantide était aussi vaste que le prétendent les différents mythes de par le monde, alors on aurait pu passer facilement de la partie sud de l’Afrique, au sud de l’Atlantide, qui étaient alors très proches.

L'énigme archéologique de Monte Alto
Tête olmèque

Marcahuasi

C’est sur les hauteurs des Andes, au Pérou, à Marcahuasi que se situent des constructions remarquables. Il faut gravir une altitude de près de 5000 mètres, pour découvrir un immense plateau dans lequel sont représentés des visages humains, et des corps ou têtes d’animaux. C’est Robert Charroux qui, le premier, fit part de ces étranges sculptures. Aujourd’hui, beaucoup de géologues pensent qu’il s’agit de reliefs naturels, issus de caprices de la nature. Une telle assertion est surprenante car la nature qui, parfois, fait de curieuses créations, ne peut se répéter ainsi des dizaines de fois sur un même périmètre. Le Pérou nous dit la Doctrine hermétique, est une terre qui abrita des hommes d’une grande sagesse, et ces sculptures feraient partie des traces de leur civilisation.

L'énigme archéologique de Monte Alto
Marcahuasi

Du reste, pour trouver de quelconques vestiges archéologiques très anciens c’est, la plupart du temps, sur les hauteurs qu’il faut orienter les recherches. En effet, à de très rares exceptions près, les terres qui il y a des millions d’années abritaient des civilisations non moins gigantesques, se sont englouties dans les océans, alors que d’autres par le mouvement tectonique se sont élevées en créant les montagnes. Ainsi, c’est sur les hauteurs que l’on peut trouver les vestiges qui témoignent de cette antiquité. Marcahuasi en est un exemple, mais l’Amérique du Sud n’est pas près de livrer tous ses secrets.

L'énigme archéologique de Monte Alto
Marcahuasi

L’île de Pâques

Plus loin de là, dans l’océan Pacifique, une petite île, petit caillou perdu dans l’immensité bleue des flots, nous donne un dernier témoignage de ce que fut la lointaine Lémurie, ou plus précisément les derniers Lémuro-Atlantes. Lorsque le continent s’effondra (continent qui se situait dans l’océan Pacifique et remontait jusqu’en Norvège), tout fut englouti, mais au fil des millénaires, d’autres mouvements des fonds marins créèrent des tremblements de terre qui firent émerger de petites îles, comme cela est connu depuis toujours. C’est ainsi que surgit à nouveau un petit îlot que l’on a appelé l’Île de Pâques. Les scientifiques ont émis de nombreuses hypothèses et ont fini par conclure que ces statues sont récentes puisque crées par le peuple des Rapa Nui.

Nous n’allons pas rentrer ici dans une polémique, mais la Doctrine hermétique affirme que ces statues sont à la ressemblance des Lémuro-atlantéens qui étaient des géants. Les différentes hypothèses émises, si l’on gratte un peu, semblent ne pas tenir, et gageons que dans un futur proche ces explications seront remises en question, dans la mesure où l’écriture découverte sur l’île pose de plus en plus de problèmes aux chercheurs.

Ces statues représenteraient donc fidèlement la taille et la physionomie approximative des géants d’autrefois. Lorsque les derniers vestiges de la Lémurie furent engloutis cette partie des terres fut immergée avec les statues, construites par cette civilisation antédiluvienne. C’est des milliers d’années plus tard, que les statues refirent surface grâce à d’autres mouvements sous-marins qui créèrent cette île. On fut surpris alors de découvrir ces statues géantes qui ressemblent curieusement à d’autres sur le continent Sud américain, voyons plutôt.

L'énigme archéologique de Monte Alto
Moai de l’Île de Pâques

L’énigme archéologique de Monte Alto

Il nous faut maintenant nous diriger vers l’Amérique Centrale, plus précisément au Guatémala, dans la région de Monte Alto. Les Amériques sont très riches en vestiges archéologiques, et les jungles de l’Amérique Centrale et de l’Amérique du Sud renferment encore de nombreuses richesses archéologiques. Beaucoup de choses restent à découvrir, aussi bien concernant les civilisations « récentes » comme celles des Olmèques, Mayas, Incas et autres, que de civilisations plus anciennes dont nul ne connaît l’origine. Le Monte alto est en grande partie recouvert de jungles épaisses peu explorées. C’est à la lisière d’un de ces espaces de végétation que s’érigeait une statue colossale représentant la tête géante d’un personnage à l’aspect surprenant, dont le regard semble se perdre dans le ciel.
Monte Alto

L'énigme archéologique de Monte Alto
© Oscar Rafael Padilla Lara

De cette statue, il ne reste malheureusement qu’une photo prise par le propriétaire du terrain dans les années 1950, qui fut remise à Oscar Padilla Lara en 1987. C’est là le seul vestige de son existence (Photo ci-contre). Cette tête de pierre extraordinaire à la face allongée, possède des lèvres fines, un grand nez, une apparence caucasienne.

Comme on peut le voir sa taille était immense si l’on en juge par les trois personnages qui la surmontent, et la taille de la voiture à sa base. Cette sculpture était située aux alentours d’un village nommé Democracia, et nous pourrions bénéficier encore aujourd’hui de cette œuvre d’art si ce n’est qu’elle fut détruite par les hommes de la guérilla guatémaltèque, probablement dans les années soixante, qui ne trouvèrent pas mieux à faire que de s’en servir pour cible d’entraînement.

Les tirs ont eu malheureusement raison de ce vestige d’une antique civilisation, et l’on pourrait tracer un parallèle avec la malheureuse destruction des Bouddhas de Bamîyan détruits par les Talibans en mars 2001.

On ne sait rien de son origine, et elle n’a rien de similaire avec les autres têtes olmèques que l’on trouve dans la région. Quelle perte pour l’archéologie, en vérité ! La seule hypothèse plausible serait que cette tête avait une origine bien antérieure à l’époque olmèque c’est-à-dire, remontant à plusieurs milliers d’années. La Doctrine hermétique relate que la Méso-Amérique faisait partie du premier continent atlante.

Elle serait donc un vestige de ces peuples qui vivaient jadis dans cette région qui fut, plus tard, habitée par leurs descendants dégénérés que nous connaissons aujourd’hui sous les noms de Olmèques, Mayas, Aztèques et autres. Cette dégénérescence s’échelonna sur des centaines de milliers d’années, mais ces civilisations que nous connaissons de mieux en mieux, n’avaient hérité que d’une infime partie de la science de leurs glorieux ancêtres. Si l’on compare cette tête avec celles de l’Île de Pâques, on peut y noter de nombreuses similitudes : la forme allongée du visage, et le nez très significatif. La photo américaine ne montre pas les oreilles du personnage, mais à quelques détails près, la ressemblance est surprenante.

L'énigme archéologique de Monte Alto
© Oscar Rafael Padilla Lara

L'énigme archéologique de Monte Alto
Moai de l’Île de Pâques

On peut imaginer combien cet ouvrage de pierre devait être impressionnant, mais malheureusement toute trace de son emplacement est désormais perdue. Peut-être qu’un jour, certains archéologues découvriront ce site qui doit encore, dans un périmètre plus élargi, renfermer d’autres trésors. La tête du Mont Alto ne subsiste désormais que grâce à cette photo. Mais ce qui est certain est que les parties vierges de la Méso-Amérique et de l’Amérique du Sud cachent encore bien des mystères issus de ces civilisations dont l’histoire officielle n’a même plus gardé le nom.

Voir aussi article en lien sur ce même site : Les derniers vestiges de la Lémurie

Les géants et l’origine de l’humanité.

09/06/2014

Dans des îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée, des indigènes continuent à ériger des monolithes colossaux en mémoire de leurs ancêtres géants qui, disent-ils, vivaient sur terre il y a très longtemps. Une question se pose lorsqu’on aborde l’hypothèse de l’existence de géants vivant sur la terre à une époque lointaine : A-t-on des preuves ? Des textes mythologiques, des légendes, des histoires contées par des auteurs du passé, des Textes sacrés nous relatent que des géants ont bien vécus sur notre planète dans la nuit des temps . Les géants et l’origine de l’humanité sont donc indissociables et si tel est le cas, à quelle époque vivaient ces êtres fabuleux et extraordinaires ? Peut-on encore aujourd’hui trouver d’éventuelles traces de leur existence ?

Les géants et l’origine de l’humanité

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Un des manuscrits

Avant d’aller plus loin dans l’exploration moderne offrant la possibilité d’apporter certaines découvertes troublantes au monde scientifique, il est certainement utile de présenter un livre passé souvent sous silence depuis sa découverte et très mal connu : Le livre des géants. Ce document est un texte apocryphe, inspiré vraisemblablement du Livre d’Enoch, qui fut découvert dans les grottes de Qumrân.

Écrit en araméen il remonte probablement au IIe siècle et nous est connu grâce à des sources manichéennes plus récentes parmi les fragments de documents ayant appartenu aux Manichéens de Turfan en Chine. Il nous relate les batailles antiques des géants à une époque antédiluvienne. Voici quelques passages choisis de la version Qumrâm  traduits par J.T Milik :

IQ23 Frag 9,14,15 :
1 – […] ils connaissaient les secrets de […]
2 – […] le péché était grand sur la terre […]
3 – […] et ils tuèrent de nombreux […]
4 – […] ils engendrèrent des géants […]

4Q531 Frag 2 :
1 – […] ils se sont souillés […]
2 – ils ont enfanté les géants et les Néphilims et […]
3 – ils ont procédé, et voici, toute la terre a été corrompue…
4 – dans le sang et par la main de […]
5 – géants ce qui ne leur a pas suffit et […]
6 -ils ont cherché à dévorer plusieurs […]
7 – […]
8 – […] les Nephilims l’ont attaqué.

De nombreux textes et mythes de par le monde, nous rapportent la même histoire. Des géants engendrés à l’origine par des entités venus d’un autre cycle d’évolution (voir article : De la Lune à la Terre) ont corrompus leur génération tout autant que les différentes races vivant sur la terre. Cette corruption et cette dégénérescence de la nature humaine s’est produite par deux fois. La première à une époque vraiment très lointaine il y a plusieurs centaines de millions d’années, par une sorte d’aberration naturelle et la seconde pendant le cycle lémurien il y a des dizaines de millions d’années.

C’est ce que rapporte l’Enseignement hermétique d’une manière précise mais c’est aussi ce que l’on peut observer après étude de nombreux Textes antiques auxquels j’ai fait référence dans d’autres articles sur ce site. Dans mon livre  » Le choix atlante », je retrace avec plus de détails et d’une manière chronologique cette extraordinaire histoire de l’origine de l’homme en me basant, comme toujours, sur l’Enseignement hermétique, qui est le viatique fondamental pour découvrir l’homme dans sa structure individuelle et universelle. Mais passons maintenant aux découvertes contemporaines dues à des chercheurs qui nous permettent d’imposer à la science de nouvelles interrogations sur l’évolution de l’homme.

Les découvertes

Vers la fin des années cinquante, lors de la construction d’une route dans le Sud-Est de la Turquie, plusieurs tombes de géants furent mises à jour. Un ingénieur turc découvrit des os humains gigantesques dont un fémur de 1,20m pour une taille totale d’un individu mesurant plus de 5m. Joe Taylor à la demande de Jack Wagner prit ce modèle pour guide et sculpta le fémur auprès duquel il pose sur la photo, ce qui donne une idée de la taille du géant.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Joe Taylor. © Museum mont Blanco

Un chercheur australien Rex Gilroy a découvert en divers lieux du vaste continent australien, des ossements géants d’humains ou d’hominidés (car non scientifiquement établi) dont une dent qui aurait appartenu a un être mesurant près de 3,5m.

Ces recherches l’ont notamment conduit à établir une théorie très intéressante sur une vieille civilisation australienne Uru constituée de géants, à laquelle font référence de vieilles légendes aborigènes.

Les travaux de ce chercheur ouvrent des perspectives très intéressantes dans la mesure où le continent australien, mal connu, représente une petite partie de ce que la Doctrine Hermétique nomme la Lémurie, continent sur lequel vivaient des êtres gigantesques.

Une découverte pour le moins surprenante bouleversa les idées reçues sur l’origine de l’homme, lorsqu’en 1968 un amateur de fossiles, William J. Meister, découvrit près de Antilope Springs en Utah USA un bloc de pierre qu’il cassa pour y découvrir quelque hypothétique fossile.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit à l’intérieur de la pierre brisée l’empreinte d’une sandale humaine au sein de laquelle se trouvait incrusté un trilobite (fossile de l’ère primaire).

La trace de sandale en elle-même serait un élément plus qu’insolite car un fossile de ce genre est quasiment « inexistant » aux yeux de la science mais le plus incroyable est que le trilobite mollusque du Cambrien remonte a 500 millions d’années !

La question qui se pose alors est : l’homme vivait-il sur terre à cette époque ? Les faits sont là et les scientifiques perplexes devant cette découverte n’osent pas se prononcer.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Traces-de-pas-humains-et-trilobite-Antilope-springs

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Empreinte fossilisée d’un pied géant © Museum mont Blanco

Mais ce genre de découverte n’est pas unique. Le Dr. Clifford Burdick découvrit quelques années plus tôt près de Glen Rose au Texas des empreintes humaines de pieds datant du Crétacé c’est-à-dire d’une période allant au-delà de 100 millions d’années. Ces découvertes viennent troubler et remettent en questions toutes les théories évolutionnistes de la science actuelle car des empreintes de ce type nous incitent à conclure que l’homme était contemporain des dinosaures et que par conséquent le mythe fondateur des géants de l’origine trouve ici sa pleine justification.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
©-Clifford-Burdick

Pour étayer cette théorie qui place l’homme à l’époque des dinosaures il fallait bien entendu relever d’autres indices. C’est ce qui fut fait grâce aux recherches de Burdick qui, toujours à Glen Rose fit une curieuse découverte. Dans le lit d’une rivière asséchée il trouva des empreintes de pas humain à côté de celles d’un dinosaure datant de la même époque.

Que penser de ces découvertes ? L’homme fut-il donc, au-delà de toute vraisemblance, contemporain des grands sauriens ? Les traces fossilisées sont réellement troublantes et aucune théorie plausible n’est, à ce jour, venue infirmer ces conclusions.

Un archéologue amateur, Alvis Delk découvrit une empreinte unique au cours de l’année 2000. Toujours dans le parc de Glen Rose au Texas, il vit une fossilisation surprenante sur le sol. Au faîte de sa surprise il s’aperçut qu’il s’agissait d’une trace humaine chevauchant celle d’un dinosaure datant du Crétacé.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
© Alvis Delk

Cette empreinte a donné lieu à de nombreuses analyses scientifiques très poussées qui ne contredirent en rien l’authenticité ni même la nature du fossile qui se trouve aujourd’hui en possession du Creation Museum of Glen Rose Texas.

Nous vous proposons de découvrir le film qu’ils ont réalisé afin de démontrer la réalité du phénomène. Malheureusement ce film est en Anglais et de mauvaise qualité d’enregistrement.(Cliquez sur le lien : voir la vidéo)

Quand l’homme peint des dinosaures

Les géants et l'origine del'humanité - partie 2
©-Havasupai-tyrannosaur

Pour les anthropologues, ces différentes fouilles n’entrent aucunement dans le fait scientifique et sont très vite évacuées tant le trouble s’impose. Pour eux, l’homme n’a jamais été contemporain des dinosaures qui vivaient à l’époque Mésozoïque (ère secondaire) c’est-à-dire de moins 251 à moins 65,5 millions d’années.

Pourtant ces fossiles d’empreintes sont là pour nous interroger et remettre en question beaucoup de certitudes académiques. Pour l’Enseignement Hermétique, les grands sauriens ont bien été contemporains de l’homme à cette lointaine époque. Nous y reviendrons plus loin…

En octobre et novembre 1924 une expédition scientifique, sous la direction de Samuel Hubbard conservateur au musée d’archéologie d’Oakland et Charles W. Gilmore, conservateur en paléontologie au musée National des États-Unis, s’organisa à Havasupai dans un canyon du Nord de l’Arizona afin de rechercher des traces de vie d’hommes préhistoriques. Ils découvrirent des peintures murales d’animaux et parmi elles, ils constatèrent stupéfiés, la représentation d’un dinosaure de la famille des diplodocus.

Une question troublante s’imposa à eux : comment était-il possible qu’un homme ait pu peindre sur une roche un dinosaure ? Cela allait évidemment à l’encontre de toutes les théories scientifiques admises.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
© Brontosaure Natural Bridges National Monument – photo en médaillon : les contours ont été redessinés pour une meilleure lisibilité

D’autre part, c’est bien un homme ou un groupe d’homme qui a peint ces fresques représentant un dinosaure. Or pour peindre cela il fallait bien entendu connaître la forme de l’animal, donc le voir et l’observer !

On avait là une preuve tangible, compte tenu de l’authenticité de la peinture, que l’homme avait bien vécu au temps des dinosaures ou du moins des hommes qui en avaient la mémoire.

Mais ce n’est pas ici la seule énigme représentée. Natural Bridges National Monument est une zone désertique dans le sud de l’Utah près de White River Canyon. Sur les parois rocheuses on peut y distinguer différentes formes rupestres d’animaux divers.

Mais l’une d’entre elles est plus qu’insolite puisqu’on y voit, à côté de la représentation d’un homme, un brontosaure animal qui vécut également à l’ère secondaire, une époque où l’homme n’existait pas selon les conclusions scientifiques. Comment, un homme a-t-il pu dessiner sur la pierre un animal qui n’était pas sensé exister à son époque ?

Toujours dans l’Utah, pays où figurent décidément de nombreux pétroglyphes on peut découvrir à Black Dragon Wash un extraordinaire dessin figurant un ptérodactyle, (reptile géant volant) contemporain des grands sauriens. Une fois de plus, la question se pose non sans une interrogation majeure quant à l’anachronisme évident : comment ce dessin est-il possible ?

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Ptérodactyle © L.B

Sculptures et pierres gravées

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Représentation d’un animal ayant l’apparence d’un stégosaure – Temple cambodgien du Xe siècle.

Sur un temple cambodgien daté du Xé siècle on pourrait croire que la sculpture présentée à droite soit un animal bien connu des paléontologues, le stégosaure, grand saurien reconnaissable à ses plaques dorsales.

Malheureusement cela ne semble pas être le cas car il s’agirait d’une superposition de pétales de lotus à l’arrière plan d’un buffle. Pourtant bien qu’ici se ne soit pas le cas d’une représentation d’un saurien antédiluvien, certaines chroniques asiatiques mentionnent ces animaux antédiluviens et que rapporte l’écrivain du XIXe siècle, Charles Gould, dans son livre remarquable Mythical monsters.

Dans ce livre on trouve non seulement la description de faits anciens relatés par des textes chinois, mais surtout la description de monstres vivants avec des hommes à une époque très lointaine.

Pour conclure sur le sujet, je ne peux éviter de mentionner cette découverte très connue effectuée dans l’année 1966 par le Dr. Cabrera d’Arquea, médecin dans la ville d’Ica au Pérou. Un modeste paysan de ses connaissances, originaire d’Ocucaje, découvrit, par hasard, une grotte dans laquelle se trouvaient des centaines de pierres gravées représentant des scènes pour le moins incroyables.

Ces pierres noires comportent toutes des dessins spectaculaires dont les scènes font figure de livres d’images d’une époque indatable.

Ici des hommes observant au télescope une comète, là des chirurgiens à la physionomie « indienne » opérant à cœur ouvert un patient alimenté par des sondes, là encore des cartes de terres inconnues etc…Ce qui est spectaculaire est sans nul doute le dessin montrant des dinosaures parfois même domptés par des êtres humains !

Ce tour d’horizon des représentations d’animaux préhistoriques par des artistes en différents lieux du monde, laisse perplexe. L’histoire de la terre serait-elle différente de celle qui nous est enseignée depuis plusieurs siècles ? Si les hommes furent contemporains des dinosaures cela signifie qu’une civilisation inconnue a existé il y a de cela plusieurs millions d’années. Ces suppositions, au regard des découvertes dont il vient d’être question, laissent la porte ouverte à de singulières hypothèses. Et si l’histoire que l’on connaît ne correspondait pas à la réalité ?

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Attaque-d’un-dinosaure-©-Musée-d’Ica-

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Plusieurs dinosaures © Musée d’Ica

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Homme-chevauchant-un-dinosaure-©-Musée-d’Ica

Les géants et l’Enseignement Hermétique

Dans le cadre du travail effectué sur ce site, une seule ligne directrice est suivie : démontrer la valeur de l’Enseignement Hermétique si cher à Ceux qui, depuis toujours, veillent à l’évolution de l’homme, c’est-à-dire Les Maîtres de Sagesse qui, depuis l’aube de l’humanité, diffusent cette Science Universelle. Certains d’entre Eux se sont manifestés à différentes époques pour apporter un Message particulier afin d’impulser des idées nouvelles dans la société.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Helena P. Blavatsky et son secrétaire George R. S Mead

La plus large diffusion de Leur Enseignement fut révélée à la fin du XIXé siècle par l’intermédiaire de la « Vieille Dame » c’est-à-dire Helena P. Blavatsky, trop souvent incomprise et décriée par des êtres sans scrupules qui ont tourné en dérision les magnifiques Principes qu’elle a offert à ses contemporains et dont la Société Théosophique fut, à cette époque l’élément majeur, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

Les Maîtres de Sagesse apportèrent, par Leur Enseignement, des précisions extraordinaires sur la race des géants qui, autrefois, peuplaient la terre et les découvertes qui ont été mentionnées dans cet article corroborent tout à fait les thèses exposées par ces Etres, Gardiens de la Tradition Primordiale.

D’après Ces Mahatmas (Morya et Koot Humi), à l’aube de l’humanité vivaient sur terre (il y a des millions d’années) des géants « aussi hauts que des tours ». Voyez ce que dit H.PB dans Isis dévoilée , I. 285 :

Les ancêtres antédiluviens de l’éléphant et du lézard actuels furent peut-être le mammouth et le plésiosaure ; pourquoi les ancêtres de notre race humaine ne seraient-ils pas les « géants » des Védas, de la Völuspa et du Livre de la Genèse ? Alors qu’il est positivement absurde de croire que la « transformation des espèces » s’est effectuée suivant l’une des vues les plus matérialistes des Évolutionnistes, il n’est que naturel de penser que chaque genre, depuis les mollusques jusqu’à l’homme-singe, s’est modifié en partant de sa propre forme primordiale et distinctive.

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Traces de pas de dinosaures mélangés à des traces de pas humains.

On peut se demander pourquoi certaines empreintes fossiles humaines, découvertes de nos jours, ne sont pas gigantesques puisqu’il est question d’hommes et d’animaux de haute stature. L’explication nous est fournie par L’Enseignement Hermétique.

A l’origine, au cours des millions d’années passées, les formes de vie quoique semblables aux nôtres, étaient de constitution plus éthérique c’est-à-dire moins dense que celles que nous connaissons aujourd’hui.

Avec l’évolution de la terre et la condensation de la matière, les formes plus éthérées se sont réduites dans leur structure. Cela eut pour effet de donner des fossiles de taille plus petite que celles qu’elles avaient à l’époque.

Ces hommes d’une taille immense et d’une force prodigieuse étaient de nature à affronter les monstres gigantesques du Mésozoïque et du début du Cénozoïque.

Ils peuplèrent la terre pendant des millions d’années et se manifestèrent sous des formes humaines achevées à la fin de l’époque lémurienne il y a 18 millions d’années mais aussi jusqu’à la fin de l’époque atlante, bien que leur taille décrut considérablement par rapport aux dimensions d’origine.

Ce sont eux qui érigèrent sur toute la surface de la terre des constructions mégalithiques comme Stonehenge ou autres monuments gigantesques dont certaines traces subsistent encore aujourd’hui. Ils se servaient non seulement de leur force physique mais aussi de techniques qu’ils maitrisaient parfaitement à la fois dans le domaine scientifique mais aussi par le pouvoir du son.

Aujourd’hui encore des édifices comme la pierre de Baalbek au Liban ou bien encore ce monolithe colossal en Australie, les pyramides d’Égypte et même d’autres pays du monde sont le fait de ces géants des origines et de toutes les prouesses techniques qu’ils pouvaient réaliser. Je reviendrai éventuellement sur ces différents points dans un futur ouvrage mais je traite aussi de ce sujet dans mon livre : Le choix atlante– G. Delaage – Editions Moryason

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Baalbek-au-Liban—Seule-une-maîtrise-technique-particulière-peut-permettre-de-tailler-une-telle-pierre

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Notez-la-similitude-entre-ce-menhir-d’Heather-et-la-pierre-de-Bâalbek-©-Rex-Gilroy

L’Enseignement Hermétique nous dit que ces êtres d’autrefois avaient des règles sociales différentes des nôtres et que l’incinération était une loi qui était pratiquée systématiquement pour chaque défunt.

Voilà peut-être une explication qui tend à démontrer qu’il est très difficile aujourd’hui de trouver des traces de vie passée ou bien encore des squelettes de ces personnages antiques.

D’autre part, une réponse au manque d’éléments tangibles et de preuves s’impose lorsque H.P Blavatsky nous dit :

« Les géants de jadis sont tous enfouis sous les océans et le frottement constant de l’eau durant des centaines de milliers d’années réduirait en poussière des squelettes de bronze et, à plus forte raison, des squelettes humains ». Doctrine Secrète III – p.348

Les géants et l'origine de l'humanité - partie 2
Empreinte de pas humain géant sur un roche en Afrique du Sud.

En effet, il est aisé de comprendre que les continents comme la Lémurie et l’Atlantide, disparus depuis des millions d’années, gisent sous des limons de terre dans les fonds abyssaux.

Ces découvertes seront certainement le fait des archéologues du futur qui, dans des milliers d’années, feront de curieuses découvertes lorsque les plaques tectoniques se seront déplacées à la surface notre planète pour laisser l’émergence d’autres terres.

Jusqu’alors nous ne pourront que compter sur des trouvailles ponctuelles qui viendront élaborer peu à peu la trame d’une histoire qui changera peut-être la vision scientifique sur l’évolution humaine.

Beaucoup de choses restent à découvrir partout dans le monde et plus particulièrement au Pérou, pays qui fut à une époque lointaine le grand centre d’hébergement de la Tradition. De nombreuses contrées recèlent encore des traces de la vie des géants sur terre.

Dans Les Lettres des Mahatmas Le Maître Koot-Houmi nous dit :

Et, comme l’existence même de nos ancêtres gigantesques est maintenant mise en question – quoique nous ayons dans les Himavats, sur le territoire même vous appartenant, une caverne pleine de squelettes de ces géants – et de même que leurs énormes ossatures, quand elles sont découvertes, sont invariablement envisagées comme des caprices isolés de la Nature…

Cette explication est assez visionnaire dans la mesure où la science actuelle refuse d’accréditer les découvertes dont nous venons de parler tout au long de cet article sous le prétexte que la gêne affichée se cache derrière le canon scientifique, comme un caprice de la Nature qu’il est préférable d’éluder.

Lire aussi : Les géants partie 1

LES GÉANTS ET L’ORIGINE DE L’HUMANITÉ

09/06/2014

Si l’on associe les géants et l’origine de l’humanité, il nous faut fouiller à la fois dans les textes et dans les découvertes archéologiques. En 2005 le journal russe La Pravda, annonçait que le Pr. Ernst Muldashev aurait découvert en Syrie des tombes géantes abritant des squelettes humains impressionnants par leur taille. Cette information ne put être vérifiée dans la mesure où le Pr. Muldashev n’a pu obtenir les autorisations de fouilles. On ne sait s’il a pu depuis, approfondir ses recherches, mais cela relance bien évidemment le débat sur l’origine de l’humanité et sur l’existence des géants sur la terre. Existait-il une race de Titans intelligents et évolués dans la nuit des temps ?

Les géants et l'origine de l'humanité
Charles Darwin

La science est catégorique sur le sujet : non il n’y a pas eu de géants civilisés sur la terre en des temps lointains, l’homme intelligent et évolué n’est apparu que très récemment dans l’histoire du monde ! Les Darwin, Cuvier, Wallace et autres paléontologues, ont eu raison de toutes les croyances, les mythes et les religions, balayant ainsi d’un revers de manche des pans entiers de l’histoire du monde avec pour référence les découvertes scientifiques « qui se veulent » incontournables.

Certes la science a permis de faire de grands pas à l’humanité et quel que soit le domaine considéré les faits sont indéniables. Pourtant, on oublie de noter que la science elle-même évolue et que ce qui était vrai hier ne l’est plus forcément aujourd’hui.

Tous les domaines sont touchés par cette loi non écrite : histoire, paléontologie, archéologie, astronomie, médecine… Nous avons tous pu noter que sont mis au placard des faits scientifiques d’hier contestées par des chercheurs d’aujourd’hui.

C’est cela qui fait évoluer la science et c’est un bien. Mais voilà, sans brandir les tribunaux philosophiques, force est de constater que les savants trop « novateurs » doivent entamer une lutte de longue haleine pour arracher la reconnaissance de leurs pairs lors de découvertes insolites. De plus, si d’aucun s’aventure à changer l’ordre des structures établies depuis longtemps, alors des voix s’élèvent du temple de la science pour réfuter de nouvelles connaissances. C’est ainsi qu’au cours des siècles et encore aujourd’hui, beaucoup de faits ont été occultés parce que trop dérangeant ou n’entrant pas dans le moule raisonnable de l’Académie.

Les géants et l'origine de l'humanité
Photo truquée ou « hoax » d’une pseudo découverte de géant comme il en circule souvent sur internet

La paléontologie est encore aujourd’hui balbutiante. De plus en plus rapidement de nouvelles pistes viennent réfuter les anciennes et l’on recule de plus en plus l’origine de l’homme. Toumai semble être le plus ancien de nos ancêtres mais jusqu’à quand ? Demain, au hasard d’une découverte, qu’en sera-t-il ? Peut-on vraiment croire à cette histoire d’être simiesques et primitifs qui furent nos aïeux ?

La science bien que très honorable est un dogme qui a remplacé celui qui primait au temps de l’Inquisition avec la Papauté : hors de l’Église point de Salut ! était-il dit. Aujourd’hui c’est la science qui a raison de tout car elle fait régner le dogme de la raison et hors de la sacro-sainte science nulle place à des hypothèses hardies et fondées, qui pourraient accélérer les choses.

Tout compte fait cela est tout de même appréciable dans la mesure où cette méthode joue le rôle d’un garde-fou évitant à des esprits égarés de plonger dans les abîmes insondables du n’importe quoi.

 

Les géants et l’origine de l’humanité

Depuis l’Antiquité, force est de constater que de nombreux peuples firent des découvertes étranges aussi bien de traces de vies que d’objets enfouis dans le sol. Il n’est pas question de citer ici des trouvailles auxquelles on a attribué –faute de connaissances scientifiques suffisantes- des origines grotesques. Que se soit dans des textes antiques ou plus récents, on retrouve des récits dont l’honnêteté ne peut être mise en doute et qui rapportent des découvertes d’ossements géants que l’on a attribués à des humains.bible2

Il se trouve que, souvent, par méconnaissance, on a imputé jadis à des humains ce qui n’était que des ossements de dinosaures. Voici pourquoi et de bonne foi, beaucoup de personnes ont pu se méprendre par le passé devant des tas d’os aussi gigantesques soient-ils. Pourtant, même si nombreuses furent les méprises, nombreuses aussi furent les révélations d’hommes éclairés, dont la parole ne peut être mise en doute, face à des restes absolument stupéfiants. Voici une liste non exhaustive puisée dans des ouvrages anciens qui présentent des faits troublants :

Caius Julius Solin rapporte que pendant la guerre de Crète lors du débordement d’une rivière on trouva les os d’un homme de 16,7 m de hauteur selon le rapport du lieutenant Fraccus.

Pline nous dit dans son Histoire naturelle Livre 7 chap. 6 que l’on trouva également en Crète après l’effondrement d’une colline du à un tremblement de terre, les restes d’un homme de 22m de hauteur que l’on croyait être les restes du géant Orion.

Philostrate raconte que sur le renversement d’une côte sur la rive d’Oronte on découvrit le sépulcre de l’Ethiopien Ariadne de 14m de haut et que l’on trouva aussi dans une caverne du Mont Sigée un squelette de 10, 71 m.geant-anglais

Fesellus nous assure qu’en 1516 Jean Tranciforte, comte du bourg de Mazarino ayant fait creuser son champ y trouva une tombe dans laquelle se trouvait le corps d’un géant de près de 9,7m. Il dit encore qu’entre Syracuse et Leontin on trouva à Mellitis un sépulcre avec de nombreux os de géants.

Dans la même région en 1547 dans le territoire de Palerme, dans une montagne que l’on creusait pour obtenir su salpêtre, on trouva les restes d’un géant de 8,7m.

Phlegon dit que les Carthaginois découvrirent dans une caverne deux coffres dans lesquels reposaient des os humains de géants. Il dit encore qu’en Égypte près de Litres existait un lieu où l’on découvrit des géants aussi grands que ceux découverts en Sicile (De Reb Mirabilis).

Tertullien lorsqu’il voulait prouver la résurrection cite les squelettes de géants qu’on trouvait dans les champs à son époque. De resurreccion carnis.

Suétone parle d’ossements de géants découverts dans l’île de Caprée.

Plutarque rapporte que Sertorius, se trouvant en Mauritanie ouvrit le sépulcre d’Antée y trouva un squelette de 34,15m.

Antonius Pagafeta nous dit que dans le détroit de Magellan il existe des hommes d’une taille prodigieuse.

Sigilbert rapporte qu’en 1171 en Angleterre un débordement d’eau fit ressurgir les restes humains d’un géant mesurant 16 m de hauteur.

Fulgiesus chap. 6 livre 1 nous dit que sous le règne de Charles VII on découvrit un sépulcre abritant les restes d’un géant mesurant 9, 71 m dans les collines du Vivarais près de Valence.

Coleius Rhodiginus rapporte que près de la même ville on trouva sous le règne de Louis XI un géant de 5,84 m

En 1505 on trouva dit-on à Rouen le squelette « d’un chevalier » gigantesque dont le crâne contenait un boisseau de blé et dont le tibia atteignait la ceinture des hommes de l’époque (il devait mesurer 3,30m)

En Allemagne en 1594, dans la contrée de Greifswald on fit repolir et regratter des tombeaux de géants. Les tailleurs de pierre y trouvèrent des squelettes longs de 3,63m et 5, 28m avec des ruches à côté.

L’abbé Pègues nous révèle dans son ouvrage intitulé Les Volcans de la Grèce, que :
Dans le voisinage des volcans de l’île Théra, on découvrit des géants aux crânes énormes, enfouis sous des pierres colossales dont l’érection dut nécessiter partout l’emploi de forces titanesques.

Cieza de Leon qui fut le premier explorateur européen de la fantastique cité de Tiahuanaco obtint de son guide la déclaration suivante :

Tiahuanaco fut construite en une nuit par des géants inconnus venus d’un monde lointain.

Tous les peuples sans se concerter parlent de semblables découvertes.

 

Les Patagons

La plus impressionnante description de « géants contemporains » se trouve dans l’ouvrage : Relation du premier voyage de Magellan autour du monde. En effet, Magellan et son équipage découvrirent près de la Terre de Feu un peuple étrange de haute taille, dernier vestige d’une civilisation certainement très ancienne. La description qu’ils en font permet de supposer que ces géants devaient mesurer plus de 3mètres de hauteur. Plus tard Magellan donna à ce peuple le nom de Patagons et au pays, la Patagonie. Voici un morceau choisi relatant la rencontre :

Ayant continué au sud leur navigation, ils arrivèrent à un pays habité par un peuple fort sauvage et d’une stature prodigieuse. Ces géants faisaient un bruit effroyable ressemblant au mugissement des bœufs. Nonobstant leur taille gigantesque, ils étaient si agiles qu’aucun Espagnol ne pouvait les égaler à la course. Les marins poussèrent ensuite un peu plus loin vers le sud qu’ils croyaient inhabité. Mais voilà qu’un sauvage des contrées voisines vint les visiter. Il avait l’air vif, vigoureux chantant et dansant tout le long du chemin. Etant arrivé au port, il s’arrêta et répandit de la poussière sur sa tête. Les hommes descendirent du navire, allèrent vers lui et l’amenèrent à bord. Sa taille était si haute que la tête d’un homme de taille moyenne de l’équipage de Magellan ne lui allait qu’à la ceinture et il était gros à proportion.

Les géants et l'origine de l'humanité
Illustration : Les géants Patagons d’après une gravure d’époque

Magellan fit boire et manger ce géant, qui fut alors joyeux jusqu’à ce qu’il eut regardé son visage dans un miroir qu’on lui avait donné entre autres bagatelles. Il tressaillit en reculant d’effroi et renversa deux hommes qui étaient près de lui. Il était si bien avec les Espagnols que ceux-ci se trouvèrent bientôt en la compagnie de plusieurs de ces géants…

Peut-on nier toutes ces chroniques des temps passés ? Doit-on prendre ces historiens pour des naïfs ou des menteurs ? Certainement pas d’autant que l’Histoire se réfère à eux encore aujourd’hui. Plutarque ou Pline sont des repères en la matière et ils savaient, comme le saurait un enfant aujourd’hui, qu’on ne met pas dans un sépulcre des os d’animaux mais bien un être humain. Qui donc étaient ces géants du passé avec des tailles aussi hautes : 3, 6m – 5, 2m – 9m – 16m – 22m ou 34 m de hauteur ?

 

A la lumière des textes anciens

Pourquoi de tous temps les civilisations ont-elles insisté sur ces races de géants qui vivaient sur la planète à des époques immémoriales ? Malheureusement rien ne subsiste de ces évènements passés qui apporteraient une plus grande lumière sur nos origines, si des archéologues avaient pu se pencher sur ces tombes antiques et ces ossements humains. Mais à l’époque, ces découvertes faisaient peur et on se dépêchait vite de les faire disparaître pour ne pas s’attirer de mauvaises influences mais surtout par manque d’intérêt. C’est ainsi que de véritables trésors disparurent comme disparurent dernièrement -pour d’autres raisons- ces vestiges atlantes : les statues de Bâmiyân ! (voir article de G.Delaage)

 

Le Ramayana et les Pourânas

Les Gibborim ou géants de la Bible sont en fait les Rakshasas des Hindous et représentent tous deux les Atlantes avant la submersion du continent. Ces fameux Rakshasas présentés dans le Ramayana et dans les Pourânas, sont les célèbres géants qui combattirent Ram mais dont certains le rejoignirent grâce à Hanuman le géant au faciès de singe (ce qui correspond à l’apparence qui leur était propre alors). La Doctrine Hermétique nous enseigne que certaines de ces races antiques avaient des visages rappelant la physionomie des statues de l’île de Pâques, derniers vestiges encore visibles des Lémuros-atlantes.

Les géants et l'origine de l'humanité
Photo ci-dessus : Fresque représentant la bataille des Rakshasas et des singes à Angkor – © D. Wilmot

La Mésopotamie

D’après Eusèbe, les prêtres babyloniens nous disent que Babylone fut fondée par ceux qui échappèrent au Déluge : c’étaient des géants, ils construisirent la tour dont il est question dans l’histoire. Ces géants « fils de Dieu » reçurent une instruction complète des choses secrètes et instruisirent les prêtres à leur tour. Ils laissèrent en dépôt dans leurs temples les connaissances dont ils étaient les témoins. Il y aurait beaucoup à dire sur cette transmission de la connaissance en Mésopotamie. De nombreux auteurs, en toute sincérité, se sont engagés dans des hypothèses hasardeuses quant à ces géants fondateurs de l’histoire mésopotamienne. Certains même se sont engouffrés dans des théories fumeuses qui se situent bien loin de ce que la Doctrine Hermétique nous enseigne.

Les géants et l'origine de l'humanité
Photo : Gilgamesh et le lion

La Bible

Particulièrement dans la Genèse, la Bible nous présente ces géants extraordinaires des premiers temps. Qu’ils soient nommés Anaquims, Gibborim, Emim, Nephilim ou autres Rephaim, ces êtres gigantesques qui parsèment les textes de l’Ancien Testament ne sont pas des fables inventées par les commentateurs. L’erreur qui consiste à les considérer ainsi vient de ce que les rédacteurs de la Genèse, qui rapportaient les évènements du passé, ont fait en sorte de les insérer dans le décor de leur époque, d’où un certain anachronisme.

Ils ont bel et bien existé, nous dit la Doctrine Hermétique, en des temps très anciens et faisaient parti de ce qu’il est communément habituel d’appeler : la race lémurienne des premiers temps qui, au fil des millénaires d’évolution, se transforma par la fusion avec la race atlante. Ils sont aussi représentés par les fameux Titans dont parlent les poèmes d’Hésiode et d’Homère, ou bien encore les Cyclopes dont l’un d’entre eux, Polyphème, eut maille à partir avec Ulysse et ses marins. Moïse nous présente Og un roi dont le lit mesurait plus de 5m.

 

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L’Edda

La Völuspa texte de la Voyante tiré de l’Edda des Norrois ou Islandais, nous dit :

Je me rappelle les géants
Nés à l’aube des temps,
Eux qui, il y a bien longtemps
Me donnèrent la vie
Neuf mondes je me rappelle,
Neuf immenses étendues,
Et le glorieux Arbre du Monde
Encore enfoui dessous terre.
(Compilé et traduit par Snorri Sturluson)

Là encore, il s’agit de ces géants des premiers âges, les mêmes que ceux qui furent décris dans la Bible ou bien encore les textes sacrés de l’Inde. La guerre des Ases avec les géants de la glace est célèbre et situe cette ère fantastique d’une histoire oubliée. Mais à bien y regarder, un chercheur peut très bien tracer un fil d’Ariane logique entre tous ces textes antiques et y lire la même histoire avec, à chaque fois, des détails nouveaux qui complètent l’ensemble.

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Le Popol-Vûh

Le Popol Vûh raconte qu’une race de Géants a peuplée le monde au cours du Second Soleil. D’après le Livre Sacré Maya il est dit que lorsque la lumière et le Soleil se furent levés à l’Est, apparurent des Géants difformes qui devinrent maîtres de la terre. Avant le commencement du monde, Ixmucané, la mère des dieux réunit ses cinq enfants, les Géants de la Terre, Les Maîtres artisans du Jour et du Soir et Kukulkan, le serpent à plumes, afin d’accomplir la création de la Terre, des plantes et des animaux. Mais quand vient le tour de l’homme, les difficultés commencent. Ixmucané veut qu’il soit façonné dans l’argile, par les Géants…

Ce sont ces mêmes géants décrits dans le Pol-Vûh qui furent à l’origine de l’édification des cités colossales comme Tihuanaco en Bolivie, Sacsayhuaman, Cuzco, Marcahuasi au Pérou. Ce sont eux encore qui construisirent les fameuses statues toltèques de Mexico aux derniers temps atlantes etc…. Et ces pays d’Amérique du Sud n’ont pas fini de nous livrer tous leurs secrets au sujet de ces civilisations disparues.

Les géants et l'origine de l'humanité
©Tableau de Boris Vallejo

 

L’Égypte

L’histoire de l’Égypte que nous connaissons est tardive et bien que les égyptologues soient convaincus que cette civilisation ne remonte qu’à 4500 ans, la Doctrine Hermétique parle d’une Égypte plus ancienne, héritière de la tradition atlante après le cataclysme qui engloutit la dernière île du continent. A cette époque les rescapés atlantes qui se mélangèrent aux Égyptiens étaient des géants pour les autres civilisations. Leur taille était imposante (3,5 ou 4m) malgré la diminution due à l’évolution. Parmi eux étaient les Rois divins dont l’Égypte que nous connaissons n’a gardé qu’un souvenir diffus. Diodore de Sicile nous dit qu’à l’époque d’Isis des hommes étaient très grands et étaient qualifiés de géants par les Hellènes.

Bien évidemment, d’autres Textes et codex anciens abordent de manière précise l’origine de l’humanité et des géants bâtisseurs et créateurs. Un article comme celui-ci ne suffirait pas à exploiter l’intégralité du sujet. Il est également à noter que chez tous les peuples on trouve des lieux de sépulture, dolmens ou menhirs gigantesques : France, Angleterre, Pérou, Inde, Suède, Espagne, Afrique, Palestine, Sardaigne, Algérie, Russie, Bolivie etc…

Si tous les peuples parlent ainsi des géants comme des êtres fabuleux qui vivaient sur terre avant le Déluge, il est évident qu’ils n’ont pu inventer ces histoires très précises qui relatent un combat titanesque dont le résultat fut l’extinction de leur race. De plus ils étaient souvent qualifiés de « fils de Dieu » ou « fils des Dieux », leurs pouvoirs étaient colossaux et leur force fabuleuse. Qui étaient ces géants des origines ? A quoi correspondent-ils dans l’histoire de l’humanité ? Pourquoi la science ne s’est-elle jamais attardée sur cette époque ignorée par l’évolution des espèces si chère à Darwin ? C’est à ces questions que nous tenterons d’apporter quelques éclaircissements dans le prochain article :

Les géants et l’origine de l’humanité
Partie 2 : Les découvertes

LA LUNE EST-ELLE MÈRE DE LA TERRE ?

05/06/2014

De nombreuses controverses circulent dans les milieux scientifiques depuis plusieurs décennies et particulièrement depuis les voyages Apollo sur le sol lunaire. Y- a- t-il eu de l’eau sur la lune dans un lointain passé ? A l’heure où des sondes martiennes explorent la planète rouge à la recherche du précieux liquide dispensateur de vie, biologistes et géologues se sont obstinés à analyser les échantillons lunaires rapportés par les astronautes. Á la mi juillet 2008, les certitudes s’affichent : il y a eu une masse abondante d’eau sur notre satellite il a y près de 4,5 milliards d’années. La question se pose alors de savoir si la vie a peuplé en des temps lointains la surface de l’astre des nuits…

Sous la direction de l’Américain Alberto Saal de l’Université Brown aux États-Unis, les géologues ont utilisé la technique de spectrométrie de masse et ont pu découvrir d’infimes quantités d’eau dans les roches rapportées par les astronautes. D’après ces chercheurs, après sa formation il y a 4,5 milliards d’années, le manteau et la croûte de la Lune devait contenir beaucoup d’eau, au moins autant que la Terre. Mais alors, qu’est-elle devenue ? 95% de l’eau présente sous forme de vapeur au niveau du magma l’aurait quitté au cours d’éruptions volcaniques débutées il y a un peu plus de 3 milliards d’années. (source Agence Science-presse) Lire l’article

Cette découverte permet de placer une fois de plus -en miroir- les thèses scientifiques avec la Doctrine Hermétique qui dit depuis des millénaires que la vie a bien existé sur notre lune, il y a des éons de temps, avant de continuer son évolution sur notre Terre. Cette assertion est bien entendu invérifiable par la science dans l’état actuel de nos connaissances mais les textes sacrés des traditions nous indiquent que des êtres, des intelligences venues d’ailleurs, ont eu pour objectif la mise en condition de la Terre.

La Lune est-elle mère de la Terre ?
H.P Blavatsky et le colonel Olcott –

Sans entrer dans des détails qui sortiraient du cadre de cet article, nous pouvons brosser un tableau général de ce qui nous est rapporté dans des documents longtemps cachés, que les Mahatmas de la Grande Loge Transhimalayenne ont révélés à la fin du XIXe siècle sous le nom de Stances de Dzyan.

D’après ces textes, la vie existait sous des formes différentes il y a de cela plusieurs milliards d’années (dans un autre cycle d’évolution) sur ce qui est aujourd’hui notre Lune. Cette « humanité » était parvenue au stade ultime d’une progression qu’elle devait poursuivre dans une chaîne cyclique supérieure.

La Doctrine Hermétique rapporte que 7 « dieux  » ou Elohim responsables de la création de l’astre, faisant partie de cette chaîne évolutive, furent chargés de conditionner la terre afin de recevoir la nouvelle humanité. Ils façonnèrent les véhicules humains (c’est-à-dire les corps) à leur image. C’est donc les êtres ayant fini leur évolution sur la planète Lune de ce temps, qui s’incarnèrent sur la Terre dans les corps formés par ces « « dieux » ou Pitris lunaires. Cela nous éclaire sur le fait que « l’humanité » qui vivait sur la Lune dans un cycle évolutif précédent trouvait sur cette planète toutes les conditions de vie nécessaires à son évolution.

Les Textes ne nous ont pas rapporté comment s’organisaient cette vie et cette « civilisation » avant qu’elle ne s’incarne sur la terre selon le nouveau processus évolutif. Quoi qu’il en soit on retrouve –entre autres Textes- ce « passage » global d’une humanité en mutation dans les vieux documents du Tchan chinois qui révèlent que l’humanité a muté en masse d’un univers à un autre à une lointaine époque…

Les écrits sacrés des peuples anciens

Ces entités lunaires qui avaient fini leur cycle de vie sur la Lune et qui étaient à un niveau inférieur d’évolution telle que nous la connaissons actuellement sur Terre, ce sont finalement incarnés sur celle-ci. En fait la Lune, malgré ce que dit la science actuelle n’est pas le satellite de la Terre. La Doctrine Hermétique dit au contraire que c’est la Terre qui est l’enfant de la Lune. Certains faits vérifiables nous apportent quelques indices.

Les marées par exemple, la croissance des plantes, la gestation, mais également les changements cycliques de certaines maladies qui coïncident avec les phases lunaires. Toutes les traditions aussi lointaines qu’elles soient reconnaissent son influence sur la Terre. La science, quant à elle, dira que la Lune est bien un satellite puisqu’elle tourne autour de la Terre et non pas l’inverse. Cela est sans compter les bouleversements cosmiques qui se sont produits il y a de cela plusieurs milliards d’années.

C’est après ces cataclysmes cosmiques que la Lune, de laquelle la Terre s’est détachée, est devenue en quelque sorte son satellite. Des êtres parvenus, à cette époque à un développement important et parce que les conditions évolutives étaient suffisantes ont peuplé la Terre afin de repartir dans vers une progression supérieure. Celle-ci n’est pas le fait unique de notre système solaire, mais se retrouve partout dans l’ univers.

La Lune est-elle mère de la Terre ?

La Lune est-elle mère de la Terre ?

Lorsque ce cycle commença, ceux qui étaient les précurseurs (nous pourrions dire ceux qui étaient parvenus au stade le plus élevé d’évolution sur la planète Lune) créèrent les premiers hommes à partir d’eux-mêmes en se basant sur les formes que l’humanité antérieure possédait lorsqu’elle vivait sur le sol lunaire. Cela donna naissance à des êtres d’aspect « simiesque » qui existaient antérieurement. Les créateurs furent donc les ancêtres qui donnèrent vie et forme aux premiers hommes sur notre planète. C’est au cours des millions d’années qui suivirent que l’humanité continua à se développer jusqu’au stade que nous lui connaissons aujourd’hui.

Ce sont donc 7 « dieux » ou 7 élohims qui créèrent la nouvelle humanité sur la Terre, les 7 Pitris lunaires dont font état les Stances de Dzyan et qui furent, au regard de la Tradition les 7 anges inférieurs qui façonnèrent la forme de l’homme. Les récits sumériens de la « Création », tels qu’on les a trouvés sur des fragments de pierres sumériennes et des poteries assyriennes sont les mêmes récits sur lesquels les copistes de l’Ancien Testament se sont basés pour écrire la Genèse. La Tablette sur laquelle est décrite l’histoire des 7 dieux ou Esprits mauvais nous dit ceci :

Durant les premiers jours les Dieux méchants, les Anges qui étaient en état de rébellion et qui, dans la partie inférieure du ciel, avaient été créés, accomplirent leur oeuvre mauvaise, tramant avec un mauvais esprit… Ils étaient au nombre de sept (les dieux méchants). Tous les sept des messagers du Dieu Anou, leur roi …

La Lune est-elle mère de la Terre ?
(Tablette sumérienne de la Création)

Anou était le plus important des dieux dans la mythologie sumérienne, assyrienne et plus tard babylonienne. Il fait partie de la Trinité Chaldéenne directement assimilé à Sin (la Lune) dont la racine se trouve dans le fameux Mont Sinaï sur lequel Moïse entra en contact avec Jéhovah. Or les messagers d’Anou (qui est Sin la Lune) sont définis dans ces textes comme dominés par le même Sin avec l’aide de Bel.

Ces Anges rebelles furent crées dans la partie inférieure du Ciel, c’est-à-dire sur un plan matériel d’évolution. Cela rejoint de très près ce que dirent plus tard les gnostiques lorsqu’ils expliquèrent la création de la Terre par les fameux Archontes ou Anges inférieurs, les élohims physiques parmi lesquels se trouvait Jéhovah.

Ce sont ces mêmes gnostiques qui furent peu considérés à leur époque alors qu’ils relataient des faits qui sont très proches de ce qu’enseigne la Doctrine Hermétique. Ces ancêtres lunaires créèrent les formes humaines à l’aube des temps.

Toutes les Traditions le disent. Lorsque la Bible parle de Jéhovah, de ses colères et même des massacres qu’il ordonne, nous sommes bien en présence d’un être qui faisait partie de cette cohorte d’élohims lunaires des premiers temps, certainement le plus important, mais en aucun cas le Dieu Universel Inconnaissable et Infini qui est le fondement même de la quête spirituelle au delà de toute considération humaine.

La création des mannequins

L’homme primitif, crée par des dieux inférieurs qui ne lui donnèrent que la « forme matérielle donc le corps» fut un échec ce qui occasionna la première chute. Issu de la Lune (la Mère) et du pouvoir qu’elle exerce sur la gestation, l’homme est sous son influence directe par sa constitution physique, celle que donnèrent et façonnèrent ces dieux à l’origine de la Création dont le représentant fut plus tard présenté sous le nom de Jéhovah, revendiquant sa paternité sur la naissance de l’homme, Jéhovah le dieu jaloux et très vindicatif comme je viens de le mentionner.

Les Grandes Traditions sacrées des peuples relatent sous d’autres formes les mêmes composantes de la Création. Hermès dans le Pymandre nous dit que les Sept Hommes Primitifs, furent créés par la Nature issus de « l’Homme Céleste », partageant tous les qualités des Sept « Gouverneurs » ou Régents, qui aimaient l’Homme. Voilà une autre façon de présenter le début de l’humanité. Dans le Popol Vûh des Mayas Quichés, les dieux originels donnèrent la vie à des hommes imparfaits qu’ils nomment mannequins, comme il est dit à de nombreuses reprises dans d’autres Textes. En voici un extrait :

« …Aussitôt furent faits les mannequins, les charpentés de bois…Ce fut l’humanité à la surface de la terre. Ils vécurent, ils engendrèrent ces mannequins. Il n’avaient ni esprit ni sagesse nul souvenir de leurs Constructeurs de leurs Formateurs. Sans but ils allaient, ils marchaient. Ils ne se souvenaient pas des Esprits du Ciel, c’est pourquoi ils déchurent… » Le Popôl Vûh. (Traduction Raphaël Girard 1954)

La Lune est-elle mère de la Terre ?
Passage du Popol Vûh

Ces premiers hommes étaient donc des sortes d’automates qui erraient dans ce jardin d’Éden comme le racontent les textes sumériens mais aussi la Genèse et bien d’autres textes. En fait on comprend qu’ils étaient incapables de conscience, comme des animaux évolués doués d’un mental inférieur mais pas au delà. Le Popol Vûh nous parle de mannequins ou en d’autres termes des robots de chair, bien que leur structure en ces temps si reculés était biologiquement différente de la notre.

Nous voyons, d’après ce qu’en disent les textes, que l’humanité passa en masse du monde lunaire au monde terrestre. La Terre était alors en formation et les « dieux » qui furent chargés de conceptualiser et de créer l’être humain ne réussirent qu’à en faire des formes plastiques. A cette époque lointaine les êtres humains n’étaient pas doués de conscience et vivaient insouciants dans une sorte de printemps éternel. Cela est symboliquement énoncé dans la Genèse Chap 2 ver.25 :

Or tous deux – l’homme et la femme – étaient nus et ils n’avaient pas honte l’un devant l’autre.

Cela signifie qu’ils n’avaient pas conscience de leur état donc d’eux-mêmes dans la mesure où il est dit plus loin après qu’ils eurent mangé le « fruit défendu » Chap. 3 ver. 7 :

Alors leurs yeux à tous deux s’ouvrirent et ils connurent qu’ils étaient nus.

Cette conscience de leur propre état d’être fut donnée plus tard par le Serpent qui représente la Sagesse (voir : Thot-Hermès – Les Origines secrètes de l’humanité de –  Editions Moryason). Cette nudité ne signifie pas la nudité du corps mais plutôt voir et comprendre qui ils sont réellement.

La Lune est-elle mère de la Terre ?
Adam et Eve de Titien – musée du Prado

Ainsi le dieu Jéhovah en sa qualité d’entité lunaire fut à l’origine de cette création. Il eut pour mission, avec les êtres qui étaient sous son commandement, de créer l’être humain des origines en lui donnant la forme « à son image », celle qu’il avait lors de la formation de la Terre. C’est ce même dieu issu de Sin, la Lune, que l’on retrouve dans la cosmogonie chaldéenne. Donc ces êtres lunaires furent à l’origine de l’humanité sur notre globe mais par manque de possibilités ils ne purent créer que des mannequins animés comme le laisse entendre le Popol Vûh des Mayas. Cette création fut un échec car l’homme de ce temps n’était qu’une entité dépourvue des éléments essentiels nécessaires à une plus grande évolution.

L’influence de la Lune

La Lune qui était plus grosse dans ces premiers temps s’éloigna peu à peu de la Terre, mais sans toutefois abandonner son influence particulière. Elle ne possédait plus la vie puisqu’elle l’avait transmise à sa fille la Terre. Toutefois son attraction était grande comme elle peut l’être encore aujourd’hui (avec de moindres effets). Elle n’est plus qu’un cadavre même si sa masse a diminué et si son attraction se fait encore sentir d’une manière psychique.

Cet astre mort continue – par le fait de sa nature antérieure – à vampiriser la terre et ses habitants. Cette influence malsaine ne signifie pas que cet astre est négatif par essence mais plutôt qu’il agit comme tout résidu mort. Ainsi la Lune émet des particules, dans son cycle perpétuel de désagrégation, qui se projettent vers la Terre. Aussi, les vieux dit-on trouvent sous cet angle une acuité toute particulière comme par exemple qu’il n’est pas bon de dormir le tête découverte pendant la nuit sous les rayons lunaires particulièrement lorsque l’astre est plein. Seule une protection comme un drap blanc peut juguler cette mauvaise influence.

Cette protection des rayons lunaires se fait naturellement dans les montagnes enneigées qui constituent un manteau immunisant. Chacun a pu noter la couleur blafarde de la lune lorsque la terre est couverte de neige. On voit très bien dans ces conditions que l’astre prend un aspect et une couleur différents car ses rayons sont en quelque sorte repoussés, ainsi que leur négativité.

La Lune est-elle mère de la Terre ?

Dans les siècles passés les soldats connaissaient cette farce qui consistait à exposer la lame des sabres de leurs compagnons aux rayons lunaires durant une nuit. Le lendemain les victimes s’apercevaient que le tranchant de l’arme était complètement émoussé.

Les sorcières savaient très bien aussi que les plantes toxiques obtenaient leur maximum de toxicité les soirs de pleine lune. C’est ainsi qu’elles les cueillaient à des fins particulières. Le cycle des menstrues de la femme est directement lié à la Lune comme le sont du reste les marées.

Nous le voyons, la Lune n’est morte que dans ses principes internes mais son influence physique et psychique s’exerce toujours. C’est pourquoi tous les groupes qui depuis un passé très lointain pratiquent la Magie noire utilisent le pouvoir de la Lune (astre cadavre) pour leurs pratiques malsaines. Comme toute chose la Lune présente des côtés bénéfiques et maléfiques. Elle favorise la germination (car elle fut la mère de la terre) mais par son résidu cadavérique elle vampirise aussi la Terre et ses habitants.

A l’origine donc, lorsque la Lune arriva à la fin de son cycle de vie, les entités qui eurent pour mission de mettre en « action » la nouvelle planète Terre tirèrent des formes simiesques des anciens habitants de la Lune ce qui devait constituer la nouvelle génération humaine terrestre. Ces êtres se réincarnèrent en masse sur la Terre et se multiplièrent.

Ils formèrent la première humanité sous la conduite des elohims ou créateurs qui en avaient constitués les corps, mais ils n’étaient que des robots de chair sans conscience. Comme je l’ai dit plus haut, cette humanité fut un échec et d’autres évènements allaient constituer la trame d’histoires humaines très mouvementées dont j’aurai l’occasion de parler dans de futurs articles et dans un prochain livre.

La Doctrine Hermétique nous relate ces évènements de la Création que l’on peut retrouver dans de nombreux textes sacrés. Chacun a donc la possibilité de vérifier la concordance de ces évènements à travers les récits rapportés par des peuples différents. La Lune est la mère de la Terre et dans des millions d’années lorsque notre planète sera parvenue au terme de son existence, elle deviendra elle aussi un cadavre et la lune d’un astre nouveau qu’elle aura crée. L’humanité quant à elle, poursuivra son évolution dans un univers différent. Mais ceci est une autre histoire…

ATLANTIDE 6 – LA FIN DU CONTINENT

11/10/2009

Avec ce nouveau volet, nous continuons notre approche du continent disparu grâce aux découvertes scientifiques qui, depuis quelques années, fournissent des informations troublantes. Chaque lecteur pourra en tirer la synthèse nécessaire à une parfaite compréhension…Nous concluons ici avec ce qu’a pu être la fin du continent atlante.

Découvertes inattendues

Les scientifiques du début du XXe siècle s’opposèrent à considérer les théories lorsqu’on recommença à exposer des faits se rapportant à cette zone engloutie de l’océan. Un atlantologue allemand, Jürgen Spanuth, refusa d’accepter ces affirmations. Pour lui, les derniers effondrements atlantiques remonteraient à plusieurs millions d’années, ce qui exclurait la présence d’hommes.

Ces faits ne sont nullement fondés car, bien que ce pasteur allemand ait apporté sa pierre dans la longue histoire de la recherche du continent englouti, il ne s’est certainement pas intéressé aux découvertes faites il y a quelques décennies par Georges Poisson, ancien président de la Société Préhistorique de France, faisant état des travaux d’un géologue de renom : Pierre Termier.

Les recherches de ce dernier l’ont conduit à révéler que lors de la pose d’un câble sous-marin reliant Brest au Cap Cod en 1908, le grappin ramena au nord des Açores, par 47° de latitude nord et 19°40 de longitude ouest, à 500 milles environ des îles, de petites esquilles minérales ayant l’aspect d’éclats récemment brisés.

Atlantide 6 - La fin du continent
Illustration imaginaire de l’Atlantide

Pierre Termier s’exprimait ainsi à ce sujet : Les esquilles ainsi arrachées à des affleurements rocheux du fond de l’Atlantique sont d’une lave vitreuse… Une telle lave, entièrement vitreuse, n’a pu se consolider à cet état que sous la pression atmosphérique. Mieux encore, brusquement et à une période relativement récente, ces sommets se sont effondrés ; sans cela, l’érosion atmosphérique et l’abrasion marine auraient nivelé toute la surface.

La conclusion de ce scientifique mérite que l’on s’y attarde :  Toute une région au nord des Açores, comprenant peut-être les Açores, et dont ces îles dans ce cas ne seraient que les ruines visibles, s’est effondrée tout récemment, probablement à cette époque que les géologues appellent « actuelle », tant elle est récente, et qui, pour nous les vivants d’aujourd’hui, est quelque chose comme hier.

Georges Poisson, quant à lui, donne des dates approximatives de cet effondrement. Il pense qu’il a pu se prolonger pendant la période de retrait des glaces, soit entre 18.500 et 6500 avant notre ère. Signalons que Platon situait ce cataclysme en 9600 av. J.-C. Les deux dates semblent parfaitement compatibles.

Lorsqu’on étudie les fonds sous-marins actuels en Atlantique, on s’aperçoit qu’un relief géographique très particulier se dessine. Les fonds de l’océan sont véritablement partagés par une chaîne de montagnes à peu près parallèles aux côtes est et ouest. La chaîne nord-atlantique part du seuil du Spitzberg, suit la côte du Groenland, s’élargit autour de l’Islande et s’élargit encore autour du dôme des Açores.

Atlantide 6 - La fin du continent
Poséidon – Copenhague

Elle s’arrête avant l’équateur. Là, on découvre un massif isolé, le massif équatorial, puis une chaîne sud-atlantique qui va jusqu’à l’île Tristan d’Acunha et part à l’est jusqu’à l’île Bouvet.

II y a tout de même ici une constatation importante à faire : ces chaînes nord-sud sont coupées régulièrement par des chaînes transversales est-ouest reliant l’Islande au Groenland, l’Islande et l’Angleterre et le Cap Cod au cap St-Vincent, Porto Rico au détroit de Gibraltar, le cap San Roque du Brésil et la côte africaine de Guinée.

Lorsque les géologues ont découvert ces chaînes transversales, ils ont tout de suite émis la théorie des « ponts ». Ces chaînes seraient les débris de bandes de terre qui unissaient les deux rives de l’océan ; celles ci se seraient effondrées au quaternaire, ce qui renforcerait d’autres découvertes dont nous allons maintenant parler.

Lorsqu’on fait une découverte, il s’ensuit une réaction en chaîne. Ainsi, avec la théorie dite des « ponts », les biologistes eux-mêmes sont parvenus à des conclusions intéressantes.

On a observé des deux côtés de l’Atlantique une faune et une flore similaires, alors qu’elles ne se trouvent pas sur les autres continents. Et ceci est indiscutable pour les espèces ternaires et quaternaires.

Le phénomène des anguilles

Le philosophe Aristote s’y intéressa le premier mais, faute de moyens, il ne put aller très loin dans ses investigations. Ce n’est qu’en 1922 que le savant danois Schmidt observa la reproduction des anguilles ; passant de longs mois à étudier leur évolution, il parvint alors à des résultats probants. II ressort que seules les femelles habitent les rivières et les étangs d’Europe et n’y restent que pendant deux ans. Ce temps écoulé, elles commencent à partir dans d’autres directions, vers les embouchures des fleuves où les mâles les attendent.

Atlantide 6 - La fin du continent
Le phénomène des anguilles

Ensemble, le groupe nage vers l’ouest à une grande profondeur. Le voyage dure 140 jours. Enfin, les anguilles parviennent dans la mer des Sargasses près des Bermudes. Il faut savoir que cette mer est encombrée d’herbes entrelacées qui ne facilitent pas la navigation de petits navires.

Les anguilles commencent leur ponte à 300 mètres au-dessous du niveau de la mer des Sargasses. Puis la femelle meurt et très tôt les petites anguilles partent pour l’Europe. Les marins connaissent bien cela puisqu’elles voyagent en bancs énormes de 25 mètres d’épaisseur pendant trois ans. Aux embouchures des fleuves, les mâles restent en mer et les femelles remontent les cours d’eau. Deux ans plus tard, le cycle recommencera.

C’est le colonel Braghine qui nous rapporté cela, et il a pu en déduire :

A une époque quelconque, un continent où coulait un grand fleuve s’étendait entre l’Europe et les Bermudes. La mer des Sargasses est peut être la survivance du delta marécageux de cette colossale rivière préhistorique, et les anguilles accoutumées à y frayer pendant des millions d’années à l’abri de leurs ennemis ont conservé cette habitude jusqu’à nos jours, alors que non seulement le cours d’eau mais le continent lui même ont disparu.

L’effondrement de la plaque atlantidienne a eu de multiples conséquences. Une des plus importantes est celle qui a permis au Gulf Stream de continuer sa route jusqu’aux côtes européennes, les débarrassant de leur calotte de glace. C’est expliquer d’une certaine façon la fin locale de la dernière glaciation. II nous faut maintenant préciser cette hypothèse et confronter les deux théories qui actuellement s’opposent quant aux causes réelles de la disparition de l’Atlantide.

Atlantide, la fin du continent

Les preuves concernant l’Atlantide, vous l’avez compris, ne sont pas nombreuses, mais suffisantes pour étayer une conclusion valable. Ce qui importe en pareil cas, c’est de procéder à des investigations déductives et à des recoupements scientifiques récents.

Au cours des derniers 10.000 ans, par suite de la fonte des glaces continentales en Amérique du Nord, en Europe du nord et du centre, le niveau des mers et des océans s’est élevé sensiblement, et cette hausse aurait été à l’origine (une cause seulement) de l’effondrement de l’Atlantide. Mais nous irons plus loin.

Selon l’anthropologue américain Alan H. Kelso de Montigny, la carte des fonds marins de l’Atlantique présente « un trou » impressionnant juste au milieu de l’arc des Antilles, qui l’entoure comme le vestige d’un cratère géant à demi immergé. Kelso de Montigny est d’avis qu’en ce point précis, voilà à peu près 10.000 ans, un planétoïde a dû percuter.

Atlantide 6 - La fin du continent
Carte des fonds marins

Nous rejoignons ici une théorie des plus séduisantes puisque nous retrouvons la déesse à la chevelure de feu, le ciel qui s’embrase, etc., dans les diverses traditions que nous avons pu examiner ensemble. Il y a là une constante non négligeable, et nous vous invitons à reprendre ces textes anciens, pour les explications qui vont suivre, lorsqu’il est question de pluie d’eau chaude, de pluie de feu, de pluie de goudron, etc.

Pour en revenir au planétoïde, il pourrait s’agir d’un fragment de corps céleste qui a provoqué ce cataclysme. A considérer ces faits, on en vient à penser que les deux cavités sous-marines au centre de la catastrophe sont dues à l’impact du noyau du planétoïde, fractionné en deux morceaux. Les découvertes scientifiques récentes tendent à prouver que ce cataclysme a réellement eu lieu au cœur même de l’océan Atlantique voilà plusieurs milliers d’années.

Atlantide 6 - La fin du continent
Représentation d’une chute d’astéroïde

La chute du planétoïde, selon l’auteur Otto Munk, aurait provoqué des réactions en chaîne qu’il est facile de consigner grâce aux dépôts géologiques encore visibles de nos jours. Il dit :

Vingt billards de tonnes d’eau mêlées à trois billards de tonnes de cendres, cela ferait, répartis également sur l’ensemble de l’Eurasie, une hauteur moyenne de pluie de trente mètres. C’était là le monstrueux réservoir d’où le Déluge s’est déversé sur l’Ancien Monde. C’étaient véritablement les écluses du ciel et de l’abîme qui s’ouvraient, tandis que les sources, les ruisseaux et les fleuves ne cessaient de monter grossis par les pluies. Reste le groupe des gaz qui ont accompagnés l’éruption. Outre la vapeur d’eau, ils contiennent essentiellement de l’acide carbonique, mais aussi d’autres gaz suffocants, des vapeurs de souffre et de l’hydrogène sulfuré, de l’acide chlorhydrique, de l’ammoniac, des chlorures de fer, de cuivre et d’autres encore.

Mais dans le magma liquéfié devaient également se trouver des gaz incombustibles. Il en résulte que lors de la catastrophe de l’Atlantide, il s’est dégagé une énorme quantité de gaz suffocants qui ont dû provoquer des effets désastreux pour les êtres vivants. Ce n’est donc peut-être pas le Déluge lui-même qui a provoqué la chute de l’Atlantide, mais il n’en est que la conséquence immédiate.

Cette pluie de pierres, de gaz et de matières solides, a dû engendrer 1,5 milliards de tonnes de pierres ponces, c’est-à-dire une masse de 3 millions de km3. Cela a dû donc former en plein océan une épaisseur d’environ cent mètres. Selon les calculs estimés, « cette mer de boue » comme la qualifient certains écrits anciens, a dû être maintenue pendant à peu près trois mille ans, ce qui rendit la navigation impossible, et on peut lire combien de bateaux s’y sont risqués en vain… (Voyez dans la vidéo ici les dégâts causés par  l’impact d’une petite météorite d’un mètre de diamètre, tombée en 2013 dans l’Oural).

Les conclusions auxquelles est parvenu Otto Munk entrent directement en relation avec les découvertes effectuées par d’autres chercheurs atlantologues, ou spécialisés en d’autres disciplines.

Quoi qu’il en soit, il est à noter que les textes anciens s’éclairent d’un jour nouveau par les conclusions de Munk. Il y a une constante, nous l’avons vu à travers ces écrits des chroniqueurs du passé : c’est ce feu qui tombe du ciel, cette nuit soudaine qui apparaît. Or, nous savons maintenant un peu mieux comment ce cataclysme a pu se produire, et les effets désastreux qu’il eut sur les êtres humains il y a environ 12.000 ans. Certains peuples ont dû être ravagés ; les animaux, la flore, tout a dû repartir à zéro, pratiquement dans tous les domaines.

Atlantide 6 - La fin du continentC’est pourquoi grottes et montagnes ont été les seuls refuges pour ceux qui voulaient échapper à cette catastrophe. Il faut dire également que les gaz dont il a été question ont du certainement endommager la couche d’ozone protectrice en haute altitude, et qui empêche les rayons ultraviolets de brûler la vie sur la Terre.

Pendant plusieurs siècles, la vie a dû être très dure, et les gardiens du Savoir, sachant que ce cataclysme allait se produire, avaient reçu pour mission de sauvegarder le patrimoine humain en des lieux secrets. C’est pourquoi l’on trouve certains anachronismes dans l’histoire rapportée par des chroniqueurs tels que des armes à feu en des temps reculés, ou des hommes maniant l’électricité.

Comme la planète avait subi un gros choc, il n’était certainement plus possible de conserver toute la technologie et la science de leurs pères. Il est toutefois intéressant de considérer comment les héritiers des Atlantes ont pu donner des civilisations extraordinaires après le Déluge. Les survivants du Déluge – il y a 12.000 ans – avaient déjà perdu une grande partie des connaissances scientifiques.

Les Sages, qui allaient former ce qu’il est convenu d’appeler maintenant La Grande Loge Blanche, avaient déjà pris les mesures nécessaires pour protéger la Tradition afin d’amorcer le cycle nouveau d’évolution qui allait démarrer sur terre. Une nouvelle épopée humaine allait naître… (Voir à ce sujet mon livre : « Le choix atlante » aux Editions Moryason)

En guise de conclusion

Ici s’achève cette étude sur le continent disparu. Nous aurions pu traiter des nouvelles recherches et des découvertes faites dernièrement par des scientifiques attestant qu’un continent a bien existé au-delà du Détroit de Gibraltar. Bien que frileux dans leurs conclusions, ces chercheurs attestent l’existence de ces terres qui longtemps furent considérés comme mythiques.

Un article de La Recherche, magazine scientifique paru en 2001 expose la réalité de terres qui confirmeraient le récit de Platon. Cette revanche du mythe sur la science n’est qu’un balbutiement au regard de tout ce qui reste à découvrir et de tout ce qui ne le sera jamais. L’Atlantide appartient à notre passé, à nos origines.

Aujourd’hui, alors que le monde frémit par la crainte de la folie de certains, il est temps de s’interroger sur notre devenir. Une question n’a pas vraiment été posée dans le cadre de ces différents articles : qu’avons-nous à retenir de tout cela ? Pourquoi l’Atlantide a-t-elle été engloutie? La Tradition nous informe que jadis les Atlantes étaient devenus mauvais et sombres. Leur orgueil les a amenés à leur déclin et au cataclysme. Des pouvoirs furent utilisés à des fins égoïstes et destructrices, ils firent souffrir leurs congénères tout autant que la planète, et leur monde fut détruit.

Atlantide 6 - La fin du continentIl ne s’agit pas d’être devin pour s’apercevoir que de nos jours, les données semblent les mêmes, bien que l’on ne puisse pas comparer tout à fait cette époque et la nôtre. Toutefois, bien des choses semblent identiques. En vertu des Lois du Karma, nous n’avons pas fini de payer la dette atlante.

C’est pourquoi, aujourd’hui, deux voies s’offrent à nous : décider de s’ouvrir et de réagir à l’éveil de la conscience ou s’enliser dans la recherche du plaisir immédiat qui satisfait l’ego. Dans la première perspective, nous avons tout à gagner. Dans la seconde, nous ouvrons une porte qui conduit à un gouffre insondable dont nul ne sait à quel désastre il peut conduire pour notre génération et les générations futures.

C’est là le choix de notre humanité. Jamais les scientifiques et les politiques n’ont parlé avec autant d’insistance des risques que court notre planète, jamais la technologie n’a été si puissante pour conduire l’homme à se détruire.

Ce discours ne se veut pas catastrophique. Bien au contraire, il veut tenter de démontrer que chacun a le libre arbitre de réagir dans le sens de la vie et de l’évolution, avec conscience et fermeté, pour prendre le parti de la Sagesse. De Grands Êtres se sont manifestés au cours du siècle passé pour apporter un message d’espoir en ouvrant les portes de la Connaissance à tous, ce qui ne s’était jamais produit auparavant.

Ces choses ne se font pas sans raison.

ATLANTIDE 5 – LES CIVILISATIONS AMÉRICAINES

 10/02/2009

Après avoir survolé l’étude des peuples ibériques, nous allons maintenant aller au-delà des mers pour rejoindre les rives de l’Amérique Latine. Les Atlantes, à l’origine, ont été les dispensateurs de connaissances auprès de nombreux peuples. On peut même dire que les grandes civilisations qui ont peuplé l’Amérique, l’Europe, l’Afrique et même l’Inde ont bénéficié de la culture atlante avant que celle-ci ne dégénère, comme nous l’explique Platon dans le « Timée ».

Les Mayas

Quand les Conquistadores entrèrent en Amérique Latine, ils firent couler des torrents de sang et détruisirent des documents inestimables pour l’histoire de l’humanité. Fort heureusement, il subsiste des codex qui ont échappé à cette destruction, mais il n’en reste que trois pour la civilisation maya. Ces codex, mal déchiffrés, ne nous permettent pas d’affirmer grand chose sur une quelconque catastrophe.

En revanche, le calendrier des Mayas est extraordinaire et surprenant par sa précision. Il n’est pas possible de donner ici de plus amples précisions à ce sujet ; toutefois, une date importante est mentionnée sur ce calendrier et cette date correspond avec la chute de l’Atlantide. Même s’il ne reste de leur tradition que ces trois codex, il subsiste encore le livre sacré des Mayas du Guatemala : le Popol Vûh.

Atlantide 5 - Les civilisations américaines
La Creation selon le Popol Vuh – D. Rivera

Cet ouvrage, très complet, donne beaucoup de précisions sur l’origine de notre humanité et plus particulièrement sur le caractère d’une catastrophe qui est sans doute celle qui détruisit l’Atlantide.

Il dit qu’on entendait dans les hauteurs célestes le bruit des flammes, que la terre trembla et que des objets se révoltèrent contre l’homme, une pluie d’eau et de goudron descendit sur terre. Les arbres se balançaient, les maisons tombaient en pièces, les cavernes s’effondraient et le jour devint nuit noire.

Nous retrouvons là la même description faite par d’autres auteurs, d’autres traditions, de par le monde. Le Chilam Balam du Yucatan affirme qu’à une époque très éloignée, la terre maternelle des Mayas fut engloutie par la mer, tandis que se produisaient des tremblements de terre et des éruptions terribles.

Les Aztèques

On ne peut ignorer l’importance que les prêtres aztèques donnaient aux pays de l’Est, d’où l’existence de Quetzalcoalt, le serpent à plumes, porteur de la civilisation. Les Incas croyaient en Viracocha, dieu venu vers eux directement de l’Est. Dans son ouvrage, Les secrets de l’Atlantide, Andrew Tomas dit :

Atlantide 5 - Les civilisations américaines
Le dieu Viracocha

Les Olmèques, prédécesseurs des Aztèques, pourraient avoir été des sujets de l’empire atlantéen. Lorsque les archéologues éprouvèrent des difficultés à établir l’âge de la pyramide de Cuicuilco, aux abords de la ville de Mexico, ils firent appel aux géologues puisque la moitié de la structure était recouverte de lave solide. Deux volcans se trouvaient à proximité et l’on devait naturellement se poser la question : « Quand l’éruption avait-elle eu lieu ? »

Tout comme les pyramides, des sphinx ont été retrouvés dans le Yucatan ; ils y sont reproduits en style maya. De nombreux atlantologues sont d’avis que l’emblème de la croix nous vient de l’Atlantide car il a été vénéré dans toutes ses présumées colonies.

Selon Flavius Josèphe, l’historien juif du Ier siècle, Nemrod aurait construit la Tour de Babel pour avoir un refuge en cas de deuxième Déluge. Le chroniqueur mexicain Ixtlilxochitl nous transmet l’argument parallèle qui amena les Toltèques à construire des pyramides.

Les Toltèques

Ce peuple habitait au Mexique. Nous ne savons pas grand chose sur lui, sinon certains textes qui nous ont été rapportés, dont celui de Ixtlilxochitl. Il dit :

Lorsque les hommes se multiplièrent, ils construisirent un très haut zacuali qui est aujourd’hui une très grande tour afin qu’ils puissent y trouver refuge dans le cas ou le deuxième monde serait à son tour détruit… Mais les Dieux furent offensés par cet orgueil et lancèrent le feu du ciel sur la tour et les travailleurs furent tués en grand nombre. C’est pourquoi la pyramide de Cholula ne fut pas achevée.

Voici donc exprimée, à travers les différents textes que nous venons de voir, la constante à travers toutes les traditions occidentales et américaines. Ceci, bien sûr, est vu en un vaste tableau synoptique, mais il n’en reste pas moins vrai que d’autres civilisations traitent du même sujet. Les Toltèques (pour ne citer qu’eux), donnent les mêmes détails sur la chute de l’Atlantide et ce que nous appelons en Occident la Tour de Babel. La similitude est frappante !

Des souvenirs sur l’Atlantide à travers le monde

En abordant cette étude, il apparaît que le souvenir de l’Atlantide n’a vécu que dans les grandes civilisations disparues. Cela est faux, et de nombreux ethnologues ont constaté que des tribus vivant à travers le monde rapportent les mêmes faits sous des noms différents.

Nous ne pouvons pas tout citer, mais nous savons par exemple que les Indiens installés sur le cours intérieur du fleuve Mackenzie au Canada affirment qu’une vague de chaleur insupportable se déversa sur leur pays arctique pendant le Déluge et que, soudain, un froid glacial aurait succédé a cette chaleur.

Atlantide 5 - Les civilisations américaines
Amérindiens archaïques

Cela rejoint en tous points les dernières découvertes scientifiques émises au sujet du brusque changement atmosphérique qui sévit sur notre planète il y a à peu près 11.000 ans.

Pour rester en Amérique du Nord, il est bon de parler de la tradition orale véhiculée par les Algonquins, qui vivaient entièrement dans la zone des vents d’Ouest. Ils disent que leur Dieu et Héros Minabozho s’est jeté dans la mer, qui s’est mise à déborder et qui a submergé les terres.

Il semblerait qu’ici, on ait une idée d’un quelconque corps céleste qui serait tombé en plein cœur de l’actuel Océan Atlantique. Les Arawaks en Guyane, dans le nord du Brésil et en Colombie, possèdent la même « légende ». Leur bon Dieu Sigoo aurait sauvé l’humanité du Déluge. Toutes ces traditions se recoupent au Nord comme au Sud, à l’Est comme à l’Ouest.

En conclusion de cet aspect des anciennes traditions relatives à l’Atlantide, il est utile de présenter certains faits retraçant aussi l’histoire de l’Asie. Le Mahabaratha de l’Inde raconte comment Brahma apparut sous forme de poisson devant Manou, père de la race humaine, pour le sauver du Déluge.

Atlantide 5 - Les civilisations américainesMartinus Martini, missionnaire jésuite qui travailla en Chine au XVIIème siècle, parle dans son Histoire de la Chine de très vieilles chroniques évoquant un temps où le ciel commença soudainement à décliner vers le Nord.

Les planètes, le Soleil et la Lune changèrent leur cours après un bouleversement de la planète Terre. C’est là une indication d’une secousse de la terre qui expliquerait les phénomènes astronomiques décrits dans les documents chinois.

Cela rejoindrait les conclusions actuelles de la science disant que la Terre s’est déplacée de son pôle magnétique et géographique il y a près de 11.000 ans. Voilà donc un survol rapide de ce que les archives de l’humanité ont pu nous restituer.

Il est toujours intéressant de confronter les traditions, de reconsidérer les problèmes sous un angle nouveau. Notre monde n’a pas encore perdu toute sa mémoire. Les reliques d’un lointain passé sont toujours présentes et c’est une étude comparative qui permet de faire le point pour s’assurer enfin que les hommes ont une histoire commune, qu’ils n’ont pour différences que celles qu’ils ont voulues eux-mêmes se donner et que, par conséquent, il existe un lien indestructible entre tous : c’est la fraternité, au-delà des contingences sociales et matérielles.

Après ce bond, cette échappée dans le temps, nous allons maintenant, forts de cette connaissance de la grande catastrophe atlante vue par les Anciens, revenir un peu plus près de nous en examinant rapidement les idées de quelques chercheurs des siècles qui nous ont précédés, qui se sont acharnés à démontrer que l’Atlantide est une réalité.

Ces hommes n’avaient évidemment pas les éléments d’informations dont nous disposons aujourd’hui, mais nous verrons que malgré cela, leurs déductions furent logiques et leurs travaux utiles à nos recherches scientifiques actuelles. Nous serions tentés de dire, presque comme dans conte : « et les siècles passèrent, et les hommes vivaient dans l’ignorance. »

Des atlantologues de qualité

En ce qui concerne l’Atlantide, c’est un peu comme cela qu’il faudrait voir les choses. Évidemment, des chercheurs du début de l’ère chrétienne s’intéressèrent au continent disparu, mais aucune étude rigoureuse ne fut entamée pour prouver quoi que ce soit. Du reste, l’époque ne s’y prêtait pas, et seuls ceux qui pouvaient entreprendre quelques investigations dans ce domaine étaient instruits secrètement dans les Écoles de Sagesse.

A titre de curiosité, nous allons maintenant présenter l’histoire de ce passé récent où ces hommes entreprirent des recherches qui souvent avortèrent. Des hommes qui, comparativement au temps écoulé depuis la disparition de l’Atlantide, ne sont pas si loin de nous. D’étranges thèses ont parfois été soutenues.

En 1533, l’Espagnol Gomora affirmait que l’Atlantide n’était autre que l’Amérique. Cela venait certainement du fait que la découverte du Nouveau Monde enflammait bien des imaginations. Une recherche plus sérieuse fut effectuée en 1665 par le père jésuite Athanase Kircher qui voyait dans les Açores, les plus hautes montagnes de l’Atlantide, englouties dans la mer. Cette hypothèse est reprise aujourd’hui par certains explorateurs.

Atlantide 5 - Les civilisations américaines
A. Kircher

Pallas, quant à lui, conformément aux recherches érudites qu’il entreprit, affirmait que les plaines de Russie formaient autrefois un océan. Aussi trouve-t-on aux environs du Syfran, sur la Volga, des ossements d’éléphants, de buffles, de rhinocéros, ainsi que des ossements humains monstrueux.

Il tendait de démontrer par là qu’un gigantesque cataclysme s’était produit sur notre planète quelques milliers d’années auparavant. Un autre chercheur émérite, Ignatius Donnelly, dans son ouvrage intitulé Atlantide, monde antediluvien, expose avec ardeur ses découvertes sur le continent disparu. Ses arguments, aujourd’hui, semblent bien minces.

Toutefois, il faut rendre justice à cet atlantologue, en raison des faibles moyens dont il disposait pour obtenir de meilleurs résultats. Le Suédois Rudbeck publia quatre volumes pour soutenir que l’Atlantide devait se situer dans la presqu’île scandinave.

Ces quatre tomes ne formaient que l’introduction d’un travail plus important encore. Comme par un coup du sort, le manuscrit disparut dans l’incendie d’Upsal en 1709. Inutile de dire que l’auteur mourut presque aussitôt de chagrin.

Le naturaliste et écrivain Français Buffon (1707-1788) fit des recherches comparatives sur la géophysique dans son Histoire Naturelle, puis dans Les Époques de la Nature. Delisles de Salles allait chercher l’Atlantide dans le Caucase en raison des informations apportées dans la Bible. Pour l’Allemand Bock, l’Atlantide devait être découverte en Afrique du Sud. Cet homme s’acharna toute sa vie à tenter de démontrer sa thèse…

En 1779, Bailly – futur maire de Paris pendant la Révolution – localisait l’Atlantide au Spitzberg, mais il dut interrompre ses recherches en raison de ses engagements politiques. Les années passèrent, et quarante ans plus tard, deux hommes, Latreille et Bartoldi, affirmèrent qu’ils avaient localisé l’Atlantide en Grèce !

En 1855, Jacob Kruger reprend l’hypothèse américaine, et revoilà donc l’Atlantide présentée en terre ferme et non plus en continent disparu. Ce sont encore des personnalités telles que Saint-Yves d’Alveydre (portrait), Richard Simon, Fabre d’Olivet (dans son Histoire philosophique du genre humain) et même Chateaubriand qui reprennent le flambeau et qui apportent toutefois des informations très importantes sur le sujet.

A la fin du XIXe siècle, les chercheurs commençaient à s’acharner et à démontrer ouvertement ce qu’ils avaient découvert. Dès lors, commença à bouillonner dans les milieux scientifiques les premiers véritables travaux qui furent entrepris sur ce que les Anciens nommaient « l’Ile de Poséidon ». Les explications devenaient donc de plus en plus précises, mais toujours incomplètes. En 1874, Berlioux, dans son ouvrage sur les Atlantes dit :

L’Atlantide devrait être placée en Afrique du Nord. Un tremblement de terre aurait submergé le pied de l’Atlas et la légende, parvenue jusqu’à Solon, aurait fait de ce tremblement de terre, un cataclysme ayant anéanti l’Atlantide.

Cette hypothèse, pour le moins alléchante, fut reprise en 1893 par l’Allemand Knotel. Plus tard, deux autres Allemands, Borchardt et Hermann, soutinrent que c’était en Tunisie, dans la région des Chotts, qu’il fallait chercher l’Atlantide.

La liste pourrait être encore longue, et si les lecteurs s’intéressent plus particulièrement à ces auteurs du passé, ils peuvent se procurer un ouvrage important aux Editions Payot : L’Atlantide, par Alexandre Bessmertny, qui rassemble avec luxe détails les travaux de ces différents chercheurs qui ont ouvert la voie de l’atlantologie.

Vous avez pu le remarquer, les idées émises sont tantôt invraisemblables, tantôt farfelues ou incohérentes. Aujourd’hui, notre technologie, nos connaissances scientifiques ouvrent un horizon nouveau pour entreprendre une recherche. Il faut dire que les scientifiques et l’armée des super-grands savent à quoi s’en tenir sur l’Atlantide, en raison des missions très secrètes qui ont été envoyées de part et d’autre, pour explorer les fonds sous-marins de l’Océan Atlantique. Mais nous n’en sommes pas là.

Nous verrons, dans le prochain article comment l’Atlantide est redevenue une réalité pour le monde moderne, avec des études très précises entreprises depuis le début du siècle dernier par des scientifiques de renom. Il faut toutefois ouvrir une parenthèse, c’est cette opiniâtreté des chercheurs du passé qui a permis aujourd’hui d’avancer vers cette réalité. Ce sont leurs erreurs, leurs faux-pas, qui nous ont conduits à remembrer cette terre au cœur de l’Océan Atlantique. Et la recherche ne fait que commencer.

Lire la suite en cliquant sur le lien de l’article ci-dessous :

LA FIN DE L’ATLANTIDE 6

ATLANTIDE 4 – DE L’ESPAGNE A L’AMÉRIQUE DU SUD

08/10/2009

Après avoir envisagé l’Atlantide à la lumière des peuples et civilisations méditerranéens, nous allons tenter d’aller un peu plus loin dans nos investigations en comparant certaines racines linguistiques, vestiges d’un monde maintenant disparu. L’Europe atlantique offre encore à la sagacité du chercheur un vaste champ d’expérimentation. Aussi, dirigeons maintenant nos pas vers un petit territoire à la frontière de l’Espagne et de la France : le Pays Basque.

 

Les racines du basque

Depuis quelques décennies, de nombreux ethnologues, historiens et étymologistes se penchent sur ce qu’il est convenu maintenant d’appeler le mystère basque. II existe dans ce peuple une légende qui parle d’un cataclysme au cours duquel l’eau et le feu se livrèrent combat. Les ancêtres des Basques trouvèrent refuge dans des cavernes et furent sauvés. Partant de cette hypothèse, serait-il possible que se cachent, dans les idiomes actuels, des vestiges identifiables d’une langue mondiale de la fin du paléolithique ? Nous pourrions illustrer cela en citant l’Ancien Testament (Genèse, XI), où il est dit :

Tout le monde se servait d’une même langue et des mêmes mots

et plus loin : …confondons leur langage pour qu’ils ne s’entendent plus les uns les autres. YAVHE les dispersa de l à sur toute la surface de la terre.

Atlantide 4 - De l'ESpagne à l'Amérique du Sud
Tour de Babel

Ce passage est très intéressant puisqu’il rejoint précisément ce que disent d’autres traditions à ce sujet. Fabre d’Olivet fait référence, dans un de ses ouvrages, à cette cassure dans l’histoire de l’humanité, connue sous le nom de Schisme d’Irshou.

Ce combat est désigné dans l’Antiquité comme la dispute des deux frères ennemis Irshou et Tarakhya. Cela implique donc que depuis l’origine de l’humanité l’Atlantide, berceau des civilisations, avait donné une seule et même langue à la planète entière. Cela expliquerait sans doute pourquoi nous constatons aujourd’hui certaines similitudes entre les langues.

On a vu dans le Basque une survivance de l’ancien ibérique connu seulement par les inscriptions sur les monnaies. Cette langue se range parmi d’autres langues de la race caucasienne, tels le Chaldéen, le Cassite, le Hittite, le Lysien, le Mysien, le Psidien, I’Isaurien, le Lycaonien, le Cappadocien et l’Etrusque dans le groupe des inconnus. Les Romains nommaient les Basques Vascones. Eux-mêmes se nommaient Euscuara ou Euskera, c’est-à-dire les hommes qui parlent Euskera.

On sait maintenant que certaines langues sibériennes ont une ressemblance avec le basque. C’est ainsi que la langue des nomades éleveurs de rennes habitant la presqu’île de Tchoukotska, à l’extrême nord-est de l’Asie, révèle des assonances avec le basque. Le colonel Braghine (atlantologue) dit dans son ouvrage L’énigme de l’Atlantide :

J’ai été témoin du fait qu’un ancien officier russe d’ascendance géorgienne, à son arrivée dans le nord de l’Espagne, pouvait s’entretenir avec les gens du cru. II parlait géorgien, mais les Basques le comprenaient.

Mais Braghine dit aussi que le basque aurait une analogie frappante avec le japonais. II va plus loin en disant:

Au Guatémala, on m’a souvent parlé d’une tribu d’Indiens qui vivent dans le nord du pays, dans la région de Peten. Cette tribu parle une langue qui offre des similitudes avec le basque et je connais le cas d’un missionnaire basque qui a prêché avec beaucoup de succès dans sa langue maternelle.

Braghine, pour ses recherches, se rendit dans la ville de Tula près de Peten. II visita la tribu des Otomi. Voici ce qu’il rapporte à ce sujet :

Ces indiens parlent l’ancien dialecte japonais, et quand l’ambassadeur du Japon, en visite, s’adressa à ces Indiens, c’est dans cet ancien dialecte qu’il s’entretint avec eux.

Force est de constater qu’à la base de tout ces idiomes apparentés, doit nécessairement se trouver une langue extrêmement ancienne.

Essayons de comparer

Les Basques, au nez aquilin, ont conservé le profil caractéristique des anciens Mayas qui se rencontre aujourd’hui encore chez leurs descendants de pure race, les Indiens Lancandons. Et ce même profil se trouve également représenté sur une certaine pierre préhistorique de Vendée encore visible à marée basse. Chose curieuse, les Basques cultivent encore leurs terres de la même manière que le faisait le peuple maya.

II y a chez les Basques une croyance en un serpent mythique à sept têtes : l’Hérensuge, qui peut très bien ressembler au culte du serpent pratiqué par les Aztèques. La vieille coutume basque de compter par dizaines trouve son parallèle en Amérique Centrale où l’on se servait d’une arithmétique du même genre. Les Français ont, du reste, hérité du basque le mot « quatre-vingt ».

Atlantide 4 - De l'ESpagne à l'Amérique du Sud
Quetzalcoalt

Une autre analogie peut être signalée : le jeu national des Basques est la pelote. Ce jeu qui peut être considéré comme l’ancêtre du tennis est un jeu d’adresse qui demande aussi beaucoup de force. C’est le Jai-Alai joué avec un gant en osier rattaché au poignet (la chisteras) qui nous fait penser au jeu maya de « Pok-a-tok » dont les règles sont similaires. Au regard de ces nombreuses similitudes, on constate que ces peuples étaient reliés et instruits par une civilisation mère : l’Atlantide qui, lors de son effondrement, laissa ses enfants livrés à eux-mêmes.

Si nous abordons ici l’origine des Basques, c’est que tout nous porte à considérer que la capitale de l’Atlantide, Poséidon (d’après Platon), se trouvait près des côtes ibériques et que certains points géographiques de ces régions étaient des comptoirs atlantes. L’Atlantide était donc un pont permettant de passer d’une rive à l’autre de l’Océan Atlantique.

La Tradition nous dit que les peuples d’Amérique Latine furent pour les Atlantes un essai de civilisation pacifique. Il faut considérer que la puissance de ce peuple permettait d’apporter des sommes de connaissances importantes à ces ethnies américaines, européennes et africaines à qui ils avaient donné naissance.

Mais la transmission de leurs connaissances scientifiques et traditionnelles fut dévolue à la race des Pélasges (Cham) et plus tard aux Celtes avec Ram (Japhet) et enfin les Sémites (Sem). C’est ce dernier peuple qui bénéficia du savoir des deux précédents, mais surtout de ce comptoir neutre qui abritera pendant longtemps encore certains savants de la race-mère, nous voulons parler des premiers Égyptiens, héritiers directs des Atlantes.

Les Basques sont-ils les derniers Atlantes ?

Mais pour en revenir aux analogies et vestiges de civilisations, il nous faut maintenant aborder la géographie et l’étude comparative d’une autre région de l’Europe, très proche du Pays Basque : la province espagnole d’Andalousie, et plus précisément la vallée du Guadalquivir. C’est là que vivent encore de nos jours les descendants de l’empire légendaire de Tartessos.

Atlantide 4 - De l'ESpagne à l'Amérique du Sud
Carte de l’Atlantide d’après Scott Elliot

La basse plaine marécageuse et l’estuaire du Guadalquivir nous indiquent que Platon situait son île d’Atlantide sur la côte de l’océan occidental. II est assez précis pour nous fournir la réponse à la question qui est de savoir s’il s’agissait de la côte ibérique, celte ou lybienne.

Il dit que le deuxième fils de Poséidon (premier monarque atlante), Teumélos, s’appelait aussi Gadeiros, et que la partie orientale de l’Atlantide, qui avait été confiée à Gadeiros s’étendait jusqu’aux Colonnes d’Hercule, et jusqu’aux abords de Gadès (Cadix). C’est la seule indication topographique que nous ayons sur l’Atlantide mais elle est, pour nos recherches, d’une valeur inappréciable.

Nous reviendrons, dans un prochain volet, sur les recherches et conclusions qui peuvent être apportées sur cette partie de l’Espagne, en relation avec le continent atlante, avant de passer sur les rives américaines en examinant les légendes et les mythes rattachés au continent disparu qui reste vivant dans la mémoire des peuples.

Nous aurions pu nous attarder un peu plus sur les mystères entourant aujourd’hui encore le peuple basque. Mais, vous le savez, notre intention est de considérer largement l’étude de l’Atlantide en nous bornant succinctement aux points les plus importants. Le mois dernier, nous avions commencé une étude sur la région de Tartessos en Espagne. Nous poursuivons donc ce travail dans les lignes qui suivent…

Tartessos et l’Andalousie

Le poète grec Hésiade (700 av. J.-C.) fut le premier à parler de l’île des Bienheureux. Sertonius, qui fut en 83 av. J.-C. préteur romain en Espagne, apprit de la bouche des Romains stationnés à Gadès, qu’il y avait dans l’Océan Atlantique, des îles bienheureuses (probablement Madère et les îles Canaries). Certaines études actuelles nous incitent à penser que les habitants de ces îles seraient les descendants des Atlantes. Nous y reviendrons plus tard.

Des chercheurs se sont penchés sur la localisation de l’Atlantide en déterminant certains points du globe comme étant le lieu exact. Pourtant, c’est le professeur Shulten qui, après 50 ans de recherches, identifia la ville de Tartessos comme étant une ville atlante en Espagne. Cette ville se trouve dans la province d’Andalousie, région qui fut toujours considérée comme la plus opulente d’Espagne.

Dans l’Antiquité, elle était considérée comme la région la plus riche de la terre. Le Bétique, nom romain pour l’Andalousie, est cité par Pline, vers l’an 100 apr. J.-C., comme la région la plus fertile. Posidonius dit que nulle part ailleurs on ne rencontre autant de richesse d’or, d’argent, de cuivre et de fer. Les richesses de Tartessos résidaient dans les gisements de la Sierra Morena, qui ne sont pas encore épuisés de nos jours.

Tursa, la ville lydienne d’où étaient partis les colons qui devaient fonder Tartessos, était la patrie originelle des Étrusques ; on n’en a jamais retrouvé la trace… Tartessos était une colonie de Tyrsiens qui se rattachaient à la souche étrusque. De nos jours, en Andalousie, nous trouvons une quantité de toponymes d’origine étrusque qui viennent de Lydie.

Dans l’Ancien Testament, on parle des rois de Tarsis, au chapitre 27 du Livre d’Ezechiel. Rufus Festus Avenus, poète et aristocrate romain en 400 de notre ère, dit que Tartessos possédait en l’an 100 av. J.-C. »la civilisation la plus évoluée de l’Antique Occident « . D’après le professeur Shulten, quelque part sous les marécages près de l’embouchure du Guadalquivir, se trouve la ville la plus riche de l’antiquité européenne. L’Atlantide, d’après Platon, s’étendait jusqu’à Gadès.

Culture et connaissance à Tarsis

Si Tarsis, ou Tartessos, était un comptoir atlante et même une de ses villes les plus modernes, on peut imaginer aussi qu’elle devait renfermer de nombreuses richesses culturelles. Notons ce que dit Strabon à ce sujet :

Tarsis renfermait de nombreuses richesses et plus particulièrement des textes de lois, des textes en prose vieux de 6000 ans.

Tartessos régnait sur des villes peuplées d’Ibères qui furent les prédécesseurs des anciens Phéniciens et des Etrusques. Justin nous apprend que le roi tartessien Gargoris fut l’inventeur de l’apiculture. Avenius cite un peuple – les Ostimiens – qui auraient eu des contacts étroits avec les Tartessiens. Ces derniers étaient les plus grands navigateurs de leur temps.

Certaines inscriptions portées sur des objets découverts sont en assyrien mais le style des bijoux est original, car il ne correspond à rien de connu jusque-là. Ce trésor de 21 bijoux, nommé « trésor d’El Carambolo », et le buste célèbre de la Dame d’Elche déposé au musée du Prado, soulève bien des controverses quant à son origine.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur Tartessos et sur les recherches qui s’y poursuivent encore actuellement, mais cela dépasserait le cadre de cet article. Le but ici est de brosser un tableau d’ensemble des éléments épars qui, regroupés, permettent de faire revivre l’Atlantide plus de 12.000 ans après son engloutissement. En partant des mythes et des légendes nous pouvons, par déduction et analogie, découvrir des éléments qui faisaient défaut au grand puzzle constitué par ce continent.

De l’autre côté de l’océan

Après avoir succinctement examiné l’étude de Tartessos comptoir atlante, nous allons maintenant nous diriger vers le continent Sud Américain. Nous l’avons vu, les Atlantes ont essayé avec les différents peuples qui vivaient sur ces terres d’entamer des relations basées sur l’échange et la transmission de connaissances. Leur plan n’a pas abouti comme ils le souhaitaient et cela resta donc une tentative qui porta tout de même ses fruits si l’on considère le savoir de ces peuples.

Quand les Espagnols arrivèrent pour la première fois en Amérique du Sud au XVIe siècle, ils furent surpris de l’habileté des indigènes pour le travail des métaux. Les Mayas aztèques et péruviens, avaient des connaissances étendues en métallurgie. Ils savaient tremper le cuivre, fabriquer des statues d’or et d’argent, construire des automates.

Atlantide 4 - De l'ESpagne à l'Amérique du Sud
Cotes et Montezuma

Les chroniqueurs espagnols restèrent sans voix devant les jardins suspendus de Montézuma. Ils offrirent ainsi à Cortez des miroirs de platine et de nombreuses autres merveilles richement ciselées. D’où tenaient-t-ils ce savoir ? On peut également être frappé par la similitude qui existe entre la pyramide à degrés dite de Djoser à Saqqara, en Egypte, et d’autres pyramides à degrés d’Amérique Latine.

Le serpent mythique des Basques -l’Hérensuge – ne nous fait-il pas penser à Quetzalcoalt, le serpent à plumes des Aztèques ?

Tant de similitudes pour des peuples aussi éloignés sont de nature a nous amener vers cette conclusion : l’Atlantide était le continent-mère qui influença tous les peuples de l’Amérique à l’Oural en passant par le vaste continent africain, patrie des Pélasges. Pour ce qui est de l’Asie, il faut y voir l’empreinte de l’Atlantide mais aussi celle de ce qu’il est convenu d’appeler la Terre de Mu, continent qui exista jadis au coeur de l’Océan Pacifique.

Dans le prochain chapitre, nous aborderons l’étude des civilisations sud-américaines à travers les mythes et les légendes, mais surtout en traçant un parallèle avec les dernières découvertes scientifiques.

Voir l’article suivant sur le même thème : Les civilisations américaines

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