05/06/2014
La montagne des Dieux ou Mont Atlas (4167m), dont certaines fables se font l’écho, était sensé représenter la dernière demeure des Êtres divins à une lointaine époque. Si l’on se base sur l’Enseignement Hermétique, ce Mont et le pic du Ténériffe étaient à l’époque de l’Atlantide, trois fois plus haut qu’ils ne le sont aujourd’hui. Atlas, la « Montagne des Dieux », est le symbole caché de la Quatrième Famille humaine et ses sept filles, les Atlantides, sont les symboles des sept rameaux qui se sont développés au fil des millénaires, dans le grand écheveau du temps. (Voir : Le Choix atlante – de Guillaume Delaage).
Le Mont Atlas et les mondes anciens
De nombreux auteurs anciens attribuent à Atlas une science et une sagesse universelle, celle des Titans ou Maîtres divins. Lorsqu’on observe sa représentation on voit un géant qui, agenouillé sur les fondements d’un monde inférieur, soutien la Terre et la voûte des Cieux.
Sur un plan purement géologique on constate que c’est bien le cas, puisque ces pics montagneux plongeaient jadis leurs bases au fond de l’océan, alors que leurs sommets s’élevaient vers les cieux. Le Mont Atlas était un lieu sacré pour les Atlantes. Les Grecs, qui lui donnèrent ce nom mythologique, se sont certainement inspirés d’une étymologie très ancienne.
En langage hermétique Atlas représente plus précisément la combinaison des anciens continents de la Lémurie et de l’Atlantide personnifiés par un seul et même symbole. De nombreux auteurs antiques nous rapportent qu’Atlas avait une sagesse supérieure grâce à la Science universelle, mais surtout qu’il avait la véritable connaissance des profondeurs de l’océan.
En fait en Lémurie et en Atlantide vivaient des hommes instruits par des Maîtres divins et selon l’Ancienne Sagesse, ces deux continents furent ensevelis au fond des mers, où ils sommeillent désormais avant que dans un futur plus ou moins lointain, ils ne refassent surface. Atlas a donc été contraint d’abandonner la surface de la Terre pour aller rejoindre son frère Japet dans les profondeurs du Tartare.
La montagne des Dieux
De l’autre côté de l’océan dans l’actuel Mexique, nous retrouvons un autre personnage fantastique, le dieu aztèque Quetzalcoatl, le Serpent à plumes. Fait curieux, celui-ci fut toujours représenté barbu (tout comme le géant Atlas), alors que les Aztèques à l’instar des Indiens d’Amérique du Sud, étaient imberbes. Mais la ressemblance ne s’arrête pas là et d’autres indices permettent de supposer qu’il s’agit d’un même Dieu, vu sous deux cultures différentes.
Si l’on en juge par la position de leur corps -tous deux agenouillés et les bras levés- on ne peut douter de la similitude, mais allons plus loin. Force est de constater que les noms de ces personnages ont un lien direct avec le continent disparu. QuetzalcoATL et ATLas sont en fait les ATLantes en tant que peuple, et ces mêmes Aztèques savaient que leurs lointains ancêtres venaient de la patrie divine d’AzTLan ou ATLantide. L’Odyssée d’Homère a fait d’Atlas le gardien et le « soutien » des énormes piliers qui séparent les Cieux de la Terre. Il symbolise l’Atlantide qui porte sur ses épaules les nouveaux continents qui vont lui succéder.
Atlas porte donc sur ses épaules les nouveaux continents et les nouvelles générations qui peuplèrent la Terre après la grande catastrophe. Dans le « Codex Chimalpopoca », Quetzalcoatl doit retrouver les os de l’ancienne humanité pour créer la nouvelle. Il fit ensuite couler sur eux le sang de son sexe. Les autres dieux présents firent de même. De là naquirent « les serviteurs des dieux », c’est-à-dire l’humanité actuelle. Même histoire.
Le continent atlante fut si important et les Atlantes des êtres si évolués, que les peuples qui formèrent ensuite la nouvelle humanité, les considéraient comme des Dieux. Dans mon livre : Le choix atlante, je décris cette fantastique épopée qui commença il y a 5 millions d’années et se poursuit encore de nos jours.
Mais les vieilles Archives gardées encore secrètes nous dévoilent aussi qu’Atlas était un pic situé dans une île inaccessible, alors que le continent Africain n’était pas encore sorti des eaux. Ce massif montagneux est la seule relique de la Lémurie qui survive aujourd’hui, depuis des millions d’années.
Avec le cœur
La montagne des Dieux – 05/28/2016