Guillaume Delaage

IL N’Y A PAS DE RELIGION SUPÉRIEURE À LA VÉRITÉ

30/01/2015

Comme la Doctrine Hermétique l’enseigne, la Conscience Universelle est toute autre que cette vision extra cosmique et limitée d’un Être anthropomorphe qui ne correspond pas à la Sagesse et que nous appelons « Dieu ». Mais les religions ont pour but de donner un enseignement exotérique, facilement assimilable, et les Initiés se sont toujours appliqués à cadrer les lois qui y sont enseignées, en vain.

Un combat invisible

Ce sont malheureusement les hommes qui ont toujours cherché à imposer leur propre volonté par les dogmes de leurs cultes. Ainsi, excès et abus ont été le dénominateur commun de tous ces systèmes, conduisant aux horreurs que furent les différentes inquisitions et les massacres de tous ordres, sous prétexte d’imposer la foi.

Les Forces de l’ombre agirent tout au long de ces époques qui étaient les ténèbres de la pensée et de la Sagesse, tout comme les Forces de Lumière essaient d’intervenir à chaque période de l’Histoire pour aider l’humanité. De même, ces Forces déploient une énergie considérable pour contrecarrer ces plans afin d’engluer le monde en empêchant toute élévation de conscience.

Ce combat invisible ainsi que les différentes attaques dont nous faisons les frais aujourd’hui, sont très significatifs de l’enjeu qui se trame à l’insu de l’humanité passive. À chaque période cruciale, les Maîtres de Sagesse se manifestent pour nous éviter de sombrer, face aux assauts d’êtres maléfiques dont les actions peuvent simultanément jouer sur plusieurs secteurs.

Il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité

Au Moyen-âge, « les hérétiques » qui ne voulurent pas suivre le chemin de l’Église furent victimes de la “Très Sainte” Inquisition qui, par d’ignobles tortures et des procès iniques, condamna au bûcher des personnes qui refusaient de croire à des dogmes ridicules et dont la pensée se situait bien au-delà des bornes ecclésiastiques. Ce fut ainsi que les Cathares, ces Gnostiques du Sud de la France, périrent dans les flammes du champ des Cramats, au pied du château de Montségur… Il n'y a pas de religion supérieure à la vérité

Ainsi de siècle en siècle nous sommes victimes d’assauts violents, commis par des religieux fanatiques. En cette période de mondialisation, les effets ont plus d’impact mais c’est toujours l’intolérance qui domine. Nul n’a jamais pu, de façon pérenne, influencer qui que se soit et de manière durable par la force ou la terreur. « Dieu » n’appartient à personne et l’on ne devrait pas être touché par les critiques portées aux religions tant il est vrai que la foi se vit en soi, et si elle est profondément établie rien ni personne ne peut la briser.

L’intelligence et l’ouverture de conscience appellent la tolérance. Seuls les fanatiques pensent que les religions leur appartiennent et c’est pour cela qu’ils en font des prisons de l’esprit. Le véritable croyant, celui qui est ferme et stable dans sa foi, ne cherche pas à imposer quoi que se soit et se dit, qu’après tout, la critique ou la moquerie des autres à l’égard de sa religion, ne changeront rien quant à ses convictions intimes, car chacun est libre de penser ce qu’il veut. Seule sa conscience lui permettra d’évoluer vers de plus hautes dimensions.

« Il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Cette devise des Mahârâjahs de Bénarès se fonde sur la Loi de l’Un, l’adoration de l’Esprit Divin en dehors de toute limitation inhérente aux croyances quelles qu’elles soient. La pratique de l’Enseignement hermétique a toujours fait appel à cet universalité au regard de La Divinité car c’est en nous-mêmes et seulement en nous, que nous devons la rechercher.

Avec le cœur

LA LOI DU COEUR

25/01/17

Beaucoup de Chercheurs qui suivent la Voie initiatique ou la loi du coeur, s’interrogent souvent sur le meilleur moyen d’aborder la pratique de l’Enseignement. Certains plongent littéralement dans l’étude intellectuelle (qui est nécessaire), et dérivent parfois dans un «ésotérisme» analytique, dans lequel ils finissent par se perdre.

L’Enseignement hermétique

D’autres s’engouffrent dans des pratiques New ageistes,  sorte de melting pot, dans lequel on prend par ici ou par là des éléments épars d’une pseudo tradition qui n’est qu’un enfumage illusoire souvent très néfaste.

Toutes ces pratiques ou ces enseignements supposés, n’ont aucune valeur fondamentale s’ils ne sont pas étayés par l’Enseignement hermétique. Depuis des millénaires c’est sur lui que se basent les courants authentiques et les véritables initiés. Mais là encore, l’être humain trouve toujours un moyen de détourner les choses. La loi du coeur

Combien voit-on aujourd’hui, de personnes qui se réclament de l’Enseignement hermétique, après avoir lu quelques livres et « transposé » un fond de connaissance réelle, en escamotage personnel. Bref, le sujet serait trop long à aborder ici, mais la méfiance doit être de mise.

Il est bien entendu primordial, d’apprendre les arcanes théoriques de la science hermétique mais il faut en même temps prendre garde à certains aspects qui, s’ils sont négligés, peuvent conduire à une stagnation.

Apprendre, étudier, pratiquer dans la solitude de son lieu de prédilection est une évidence et c’est en ce sens que le Travail doit être effectué. Mais ce n’est là qu’une partie d’un plus grand ensemble.

Pourtant, beaucoup de Chercheurs se contentent de cette attitude et se fourvoient souvent sur les chemins de traverse, en pensant uniquement à leur propre élévation spirituelle. Bien sûr les exercices et autres méditations sont individuels, mais la spiritualité en elle-même n’est pas l’isolement. En dehors de tout travail personnel, l’évolution spirituelle doit passer par le partage et le service, par le don, tant il est vrai que nous sommes indéfectiblement liés les uns aux autres et que l’ouverture du cœur est le sens même de la dimension spirituelle.

La Loi du coeur

C’est dans le cœur que se trouve la clé de l’évolution. Je ne parle pas ici de la sentimentalité qui n’en est que l’aspect le plus ténu et le plus restrictif, mais du cœur qui s’ouvre à la compassion et à la notion d’Amour spirituel, qui n’a que faire de l’égoïsme et de la passion. L’Amour spirituel est partout présent dans l’Univers et l’on peut dire sans se tromper, que le Cosmos tout entier est soutenu par l’Amour qui se situe bien au-delà des émotions, cet Amour qui est le puissant Aimant de l’univers dans son intégralité.

La loi du coeurComment cela se traduit-il dans la vie d’un Chercheur (se) ? Le bon sens veut que chacun travaille personnellement pour sa propre évolution par la théorie et la pratique comme je viens de le dire, mais à cette différence près que l’isolement nécessaire de l’étude doit – le travail terminé – faire place à l’échange et au don de soi.

Ces sentiments sont les ferments de toute évolution spirituelle et sans eux, le passage à une plus grande Initiation ne peut se faire.

La compassion, l’altruisme, la bienveillance, la tolérance, le pardon et bien d’autres qualités d’âme sont autant de marches qui constituent l’échelle de l’évolution. Un cœur rempli d’Amour est, comme il vient d’être dit, un aimant, un pôle d’énergie qui agit avec une grande efficacité, même si l’on n’en perçoit pas la portée.

Le cœur, lorsqu’il est purifié par le service et par le don, ne cesse de croître vers de plus hauts sommets tant il est vrai que les énergies les plus subtiles, les plus créatrices et les plus puissantes, passent par le cœur.

Le cœur doit donc être un feu qui s’allume afin d’attirer le Feu d’en Haut. C’est dans le partage et dans la Sagesse rigoureuse du cœur que la Lumière apparaît et que chacun peut réellement se reconnaître et apprécier la joie d’aimer et de donner. C’est là tout le sens du : « Aimez-vous les uns les autres » prôné par le Christ. Ce n’est que par ce comportement que s’ouvre la Voie de l’Initiation.

Avec le cœur

QUEL EST LE BUT DE LA MAGIE ?

22/11/2014

De nombreuses personnes aujourd’hui peuvent avoir accès à ce qui est traditionnellement appelé LA MAGIE. En fait, ce mot présente, dans l’esprit de beaucoup de personnes, une connotation étrange, fantastique, voire négative pour d’autres. D’où vient cette mauvaise image donnée à l’un des plus grands arcanes de la Science hermétique ?

Une fois de plus, il nous faut remonter dans l’Histoire pour voir à quel point le travail de sape de l’Église a été déterminent pour prendre la place du Paganisme et des Écoles hermétiques qui existaient à Athènes et Alexandrie, pour ne citer que celles-ci. Ensuite ce travail destructif a continué avec la chasse « aux sorcières » du Moyen-âge, sous la houlette de l’Inquisition. Combien de disciples sincères ont du se cacher et se taire par peur d’être immolés !

La suite on la connaît et la science aidée par l’Église dans ce combat contre des travaux et pratiques inconnus pour elles, ont définitivement rangés l’Art magique dans les croyances fumeuses et nauséabondes de personnages déséquilibrés. A leur décharge, il faut dire que certains sorciers ou disciples de l’aspect sombre n’ont rien fait pour offrir l’image saine de la Magie. En avaient-ils d’ailleurs les clefs pour le faire ?

Avant de parler de Magie ou Sainte Théurgie, il faut se poser la question : « Qu’est-ce que la Magie et à quoi sert-elle ? ». En réalité, elle est le pouvoir que possède le chercheur, de rassembler synthétiquement « le dedans et le dehors » c’est-à-dire l’harmonie qui existe entre le macrocosme et le microcosme, en d’autres termes : l’Univers et nous-mêmes. Ainsi chacun peut, avec le temps, réaliser en conscience que ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut. Que tout est construit selon le même modèle.

C’est là le but de tout mage : chercher par la Loi de Correspondance la relation entre les mondes afin de découvrir par l’expérience et par l’évolution de la conscience que Tout est dans Tout et que chaque être humain est un Dieu vivant dans sa partie la plus pure. C’est par cette affinité que le mage découvre la Divinité dans chacun des mondes qu’il explore et son Travail n’a pour but que de parvenir à cette communion universelle afin d’être un Dieu à l’image de la Conscience Universelle.

Ainsi son but est-il la découverte intime de ce rapport entre les êtres, les mondes, les choses, la matière, la vie, les Éléments, la forme, l’ego et la personnalité, les mondes physique, astral et mental, les différents Plans de l’Univers, l’aspect divin en soi et les mondes supérieurs… Telle est la tâche du magicien qui n’a – au fur et à mesure qu’il avance dans sa pratique- qu’un seul but, celui de faire UN avec l’univers et l’humanité. Il devient alors un Artiste qui assimile son Travail à celui du Créateur, car au-delà des apparences il ne cherche que l’Unité et non la séparativité.

Aujourd’hui, plus que jamais, les portes se sont ouvertes pour que la Magie sacrée puisse être accessible à tous, si elle est pratiquée dans les règles de l’art. Ces énergies ou ondes que l’on maîtrise depuis un siècle comme la radio, la télévision et autres medias, sont autant d’expressions et d’indices que les portes des échanges se sont ouvertes, pour que l’homme sur Terre agisse dans le sens de la Magie.
Cela a d’ailleurs donné naissance à une meilleure compréhension de l’inexistence du temps et de l’espace. Mais avons-nous bien compris le sens des découvertes et les utilisons-nous correctement ?

Avec le cœur

ÉPHÈSE VILLE DE L’HERMÉTISME

13/05/08

Éphèse ville de l’Hermétisme (située dans l’actuelle Turquie), était célèbre dans l’Antiquité pour sa vie culturelle, mais surtout pour être un centre médical très important. De nombreux étudiants venaient suivre les cours des célèbres thérapeutes qui soignaient les malades réclamant leur aide.

La médecine sacrée

Éphèse ville de l'Hermétisme
La rue des Curates à Ephèse – Photo GD

C’est dans cette ville, très réputée au IIIe siècle, que Soranos d’Éphèse écrivit des traités techniques de gynécologie qui furent pratiqués durant des siècles.

Mais c’est avant cette période qu’il faut remonter le temps, pour trouver à Éphèse de grands thérapeutes et de grands sages qui exerçaient une médecine bien plus efficace nommée médecine hermétique.

En effet, cette ville était alors très connue pour son Grand Collège gnostique et néoplatonicien. C’est à Éphèse que se regroupaient bon nombre de grands thérapeutes esséniens qui étaient à l’origine de la diffusion de la médecine sacrée.

Ce Grand Collège de médecine hermétique regroupait à la fois les connaissances esséniennes mais aussi celles des Tanaïm héritiers du savoir chaldéen.

Les Esséniens formaient un groupe très mystérieux dont Pline dit qu’ils avaient vécu près de la mer Morte pendant des milliers de siècles !

Ils étaient assurément très proches des premiers chrétiens. Du reste, le terme « frère » employé par l’Église est copié des Esséniens, comme beaucoup d’autres choses. Une partie de leurs Enseignements furent très vite pervertis par des courants chrétiens dits ésotériques ainsi que par les premiers Pères catholiques.

Éphèse ville de l’Hermétisme

Éphèse ville de l'HermétismeC’est donc à Éphèse que se répandit la Gnose, mais aussi la Kabbale. On dit même que Jean l’Apôtre (reconnu comme grand kabbaliste) aurait vécu à Éphèse et « son » Apocalypse (qu’il n’a pas écrit) fait référence à l’Église d’Éphèse parmi les sept qui sont citées dans le texte.

Mais c’est surtout le Grand l’Apôtre-Adepte Paul de Tarse, connu aussi sous le nom de Simon le Magicien, très présent dans cette ville, qui rédigea son Épître, remanié moultes fois depuis. Son œuvre se poursuivra encore un peu, grâce à son disciple Timothée.

C’est encore à Éphèse que le Grand Apollonius de Tyane, fervent pythagoricien, travailla avec Euxémus d’Héraclée et ouvrit dans cette ville une école réputée dans la science hermétique. Cette magnifique ville était réellement un creuset où se côtoyaient de Grands Adeptes, véritables Maîtres de Sagesse. Grâce à eux, la quintessence de toutes les grandes philosophies Bouddhiste, Zoroastrienne et Chaldéenne, se retrouvaient en une parfaite synthèse.

Ce foyer de la Connaissance sacrée, scintilla encore de tous ses feux pendant quelque temps après le passage de ces grands Êtres. Si les chrétiens n’avaient pas donné corps aux affabulations de ceux qui s’emparèrent de l’Image du Christ en travestissant Son Message à l’appui de dogmes pervers, alors la gloire d’Éphèse aurait, tout comme celle d’Alexandrie et d’Athènes, donné au monde un système religieux qui aurait fait honneur à Platon, à la Lumière de la Science hermétique.

Avec le cœur

JÉSUS LE MAGICIEN

05/21/2016

Faut-il voir en Jésus le Magicien, un autre aspect de Sa Mission? La lecture des Évangiles permet, à la fois, de comprendre le Personnage de Jésus mais également, de discerner les nombreuses transformations que le dogme ecclésiastique a opéré dans son histoire même. Jésus a souvent été accusé de pratiquer la Magie à la manière des Égyptiens. Ce sont les Pharisiens qui furent les plus virulents à ce sujet, en portant de très dures accusations.

Les témoignages

Jésus le Magicien
Jésus et Pilate

Ils lui reprochèrent de pratiquer la sorcellerie, de chasser les démons par Belzébuth, leur prince, avec autant de violence que le clergé Catholique, en usa plus tard, pour accuser de la même faute plus d’un innocent. Dans  L’Évangile de Nicodème , (les Actes de Pilate), les Juifs lui font le même reproche devant Pilate. « Ne t’avons-nous pas dit qu’il est un magicien ? » (Origène, Cont. Cels. 11.). Celse qui était néoplatonicien, confirme cette même accusation.

Il faut lire la littérature des Talmudistes pour découvrir tout un ensemble de détails de ce genre. D’ailleurs une des plus grandes accusations qu’ils portèrent contre Jésus fut « qu’il pouvait voler aussi facilement dans les airs que d’autres marchaient » !

Saint Augustin, quant à lui, nous apprend qu’à son époque tout le monde savait qu’Il avait été initié en Égypte et qu’Il écrivit des Livres de Magie qu’Il transmit à Jean, dont un ouvrage particulier qui s’intitulait : Magia Jesu Christi.  C’est ce que nous dit H.P Blavatsky en ajoutant que dans les  Clementini Recognitiones , Jésus est accusé de ne pas avoir accompli ses miracles comme prophète juif, mais comme Magicien, c’est-à-dire comme initié des temples « païens ».

Jésus le Magicien

Il fut assurément Magicien dans la mesure où la Magie est un art universel et une des branches de la Science hermétique. Ceux qui ne comprenaient pas les Lois universelles, considéraient Ses guérisons comme miraculeuses alors que celles-ci étaient naturelles vues par l’œil de l’Initié. Pourtant dans les tous premiers siècles du christianisme naissant, la véritable Magie n’avait pas la connotation négative qu’elle peut avoir aujourd’hui et, à plus d’un titre, elle était enseignée dans toute sa splendeur.

Ainsi, Jésus était-Il considéré comme un Magicien (au sens le plus noble du terme) qui avait accès à la Science des sciences. C’est d’ailleurs ainsi qu’on le représentait aux premiers siècles de notre ère, avec l’outil sacré du mage :La baguette magique.

Plusieurs preuves de ce qui est avancé ici, se trouvent curieusement au musée du Vatican. Les photos de stèles qui sont présentées ci-dessous (mais il y en a de nombreuses autres) figurent sur des sarcophages romains ou chrétiens du tout premier siècle. On y voit nettement Jésus le Magicien, utiliser une baguette pour « réveiller » Lazare entouré de bandelettes à la manière d’une momie égyptienne ! La photo ci-dessous illustre bien ce qui vient d’être dit.

Jésus le Magicien
Stèle au musée du Vatican représentant Jésus avec la baguette magique ordonnant à Lazare de sortir du tombeau

Dans chaque sculpture, le même geste est reproduit comme pour bien l’identifier et montrer qu’Il maîtrisait l’art de la Magie sous sa forme la plus haute. On y voit d’ailleurs un Jésus différent physiquement de l’image iconographique qui s’est imposée dans la chrétienté, des siècles plus tard.

Jésus le Magicien

Jésus le Magicien
Bas-relief d’un sarcophage où l’on voit également Jésus avec sa baguette magique la pointant vers Lazare

C’est un homme sans barbe avec des cheveux courts et l’on peut penser que les artistes qui ont réalisé ces bas-reliefs devaient avoir une certaine connaissance physique du Personnage, ou bien alors des caractéristiques qui étaient transmises par tradition orale.

Si au premier siècle on pouvait avoir encore une idée de l’apparence physique de Jésus et de ses vêtements, cela changea par la suite. Quoi qu’il en soit et comme par ironie de l’Histoire, c’est au Vatican que l’on trouve les plus belles représentations de Jésus le Magicien-Adepte de la Haute science hermétique.

Avec le coeur

THE BAMIYAN BUDDHAS AND THE DARK FORCES

The Bamiyan Buddhas and the dark forces. Who nowdays, remember the Bamiyan buddhas ? A harbinger of serious events to come, this cultural catastrophe did not particularly attract the world’s attention in March 2001.Television and the world press did speak about it but public opinion did not take notice. However, with the destruction of the Bamiyan Buddhas in Afghanistan, the Taliban have robbed the world of a key witness to the history of mankind. That month of March 2001 was in fact the starting point of a conflict of which we barely see the outlines.

The history

Nestledin the Bamiyan valley about 230 kilometers North-West of Kabul, Afghanistan, two monumental Buddha statues – respectively 52m and 35m in height, andlodged in two niches on the face of the mountain- toweredover the region until March 2001. Because of the beauty of these sculpted works and their history, UNESCO declared them aWorld Heritage Site. According to archaeologists these strange statues were made between the V and VI century A.D. in a mixture Greek and Buddhist art, but they were actually older than that.

Originally carved out on the sand stone cliff, they were thereafter coated with straw, mud and finally stucco in order to highlight the details of their painted clothes as well as the faceswhich certainly had to wear a mask of wood or metal. It is even said that originally the Buddhas were adorned with gold and precious jewels. All this partly disappeared with time…

bamiyan-Bouddha

Bamiyan was a major center of Buddhism until the second century, and many pilgrims of the time stopped at that very well-known site since it was located on the Silk Road between India and China. One can imagine the rich caravans of travelers and merchants passing through Bamiyan and walking away marveled at this religious center populated by monks and hermits living in caves dug in the face of the mountain across the valley.

boud_bamiyan-buddhaMany Buddha statues were visible at that time, and based on the rare, barely visible wall paintings, one can still imaginethe colorful frescoes adorning the caves and the grottos against which leaned the monumental statues. In 632, the Chinese chroniclerXuanzang reported that this center harboured a dozen monasteries which housed more than a thousand monks.

When Islam came to the region Buddhist activity was reduced and theBuddhas narrowly escaped destruction, which did not stop Genghis Khan from plundering and destroying the city of Bamiyan in 1222. Over time the Muslims began a work of destruction on these statues, the same carried out by the Mamluks on the Sphinx of Giza which lost its nose under volleys of artillery.

The cannon shots were unfortunately more devastating in Bamiyan since the faces were completely destroyed in the sixteenth century thanks to the fervently religious Mongol leader Aurangzeb who strove to deteriorate these sculptures and other precious ones in Hindu temples inVaranasi,Ayaodhyâ and Mathura in India. Once again, Humanity lost a considerable heritage. The modern period did not help much the case since after enduring such deep wounds, the region still suffered from the Russian and above all the Taliban’s occupation.

A legacy of the antediluvian humanity

What did these statues really represent? The Buddhist Initiates who lived in Bamiyanat the beginning of our era certainly knew the significance of these stone-carved figures. The Hermetic Teachings claim that these Buddhaswere mirror images of beings living in other, very ancient cycles of humanity, dating back millions of years. Moreover, Helena P. Blavatsky, according to information received from the Adepts spoke in these terms:

But the five statues are the handiwork of the Initiates of the Fourth Race (Atlantis), whosought refuge,after the submersion of their continent, in the fastnesses and on the summits of the central Asian mountain chains. Moreover,these five statues are an imperishable record of the esoteric teaching about the gradual evolution of the races.(H.P Blavatsky – Secret Doctrine – Book II, pp 339.)

boud_bamiyan1-copie-1

In fact, as so aptly pointed out by HP Blavatsky, these statues were representatives of the four races that preceded ours, during the long cycles of time (manvantara) flowing over millions of years. The first of the statues, the tallest (52 meters high),represented the first race that existed on earth tens of millions of years ago. Its dimensions are exactly those of the men of that time living in a different (more ethereal) Earth environmentthan the one that we know today.

H.P Blavatsky a great disciple
H.P Blavatsky a great disciple

The second of these statues, by size, represented the second race that lived on the planet millions of years later and it measured 35 meters in height. This decrease in stature is justified by the slow solidification of the Earth’s environment over time. Followed the other races like the third (Lemuria) and the fourth (Atlantis) which were yet much smaller (albeit gigantic for us) to reach with our fifth race the size that we have today with its inception some tens of thousands of years ago.

When the Buddhist hermits discovered these statues as they settled in Bamiyan they stood five in number, representing the five major races that populated the Earth for countless ages, as it has just been said. They smeared plaster over three of them (to give them the appearance of Buddhas) and sculpted others to represent the Buddha to come in the Buddhist canon. These five statues were in fact the work of Initiates of the Atlantean race who found refuge in the highlands of Central Asiaafter the submersion of their continent.

To the future generations they left these monuments as evidence of the millennial history of races that lived on our planet. As everything disappeared inAtlantis during the various cataclysms – 800,000 – 200 000 – 80,000 – 9564 years B.C. – the survivors decided to leave a trace of the human history, without which nothing would have survived of the glorious Atlantis.

Atlantis the lost continent
Atlantis the lost continent

 

 

The Bamiyan Buddhas and the dark forces

Before their destruction in 2001 only two of these statues remained, the others were destroyed over time because of their smaller size and the vandalism always caused by the rage of men. For hundreds of years traveling merchants and explorers saw in these stone giants the homage paid to the Buddha.

They did not know how much these works of art, in a silent language,told something else,i.e., the turbulent history of Man on Earth which reached us thanks to these Initiates, those Adepts who have disclosed an immense knowledge to our suffering humanity since the end of the nineteenth century.

Thus in March 2001, thousands of years after they were carved by the Atlanteans, the stone giants of Bamiyansent out a final message to mankind. As always the famous battle against the dark forces took a tangible form before the stupefied eyes of the whole world.

Since the last war (1939 – 1945) these vile forces had not really manifested openly. Now it was this part of the world that would stage the announcement of a more insidious war.

The statues weredeclared idolatrous by Mullah Mohammed Omar. His henchmen, the Taliban, destroyed themwith explosives and gunfire. Two gigantic statues that had stood over the region for thousands of years disappeared after a month of heavy bombardment, causing great emotion in stunned viewers worldwide

See this video
The statues will never be rebuilt; UNESCO did not judge the project a priority. However,a third « Buddha », a reclining Buddha in Parinirvana, which the chroniclerXuanzangdescribedand is believed to be buried somewhere in the valley, will probably be the object of latersearches.

 

The Lion of Panjshir

This month of March 2001 saw the end of ‘ the Buddhas of Bamiyan’, but the conflict was just beginning. The Taliban had become masters of the region and they strove to eradicate the slightest traces of the past as do, besides, all groups seeking the disintegration of the planet. This perspective is always verified in history, if we are to judge by those who deliberately try to erase history to impose their ideas.

Not far away, in the Panjshir Valley, a man was engaged body and soul in a fight of which he knew perfectly what was at stake. He was to be the second martyr in this relentless war waged by the dark forces in this region of Afghanistan. In the plan devised by Al Qaeda he was the nuisance, the bastion that had to be destroyed.

A few months later, exactly on September 9, 2001, the onecalled the Lion of Panjshir,Commander Ahmad Shah Massoud, was to die in his headquarters after receiving two suicide pseudo-journalists who came to interview him with a camera full of explosives. Two days later the attack against the twin towers of the World Trade Center embroiledhumanity in a new struggle.

boud_massoud
The Lion of Panjshir,Commander Ahmad Shah Massoud

These two key events: the destruction of the Buddhas and the assassination of Massoud were thus the prelude to the terroristwar against the world. On a symbolic level, the destruction of the Atlantean giants had a profound meaning, although the Taliban manipulated by other, even darker forces, certainly did not know the significance.

Indeed, the battle of the Sons of the Light against the sons of Belial has its origins in the mists of time, specificallyduring the struggle that split humanity into two opposing camps at that distant time in Atlantis. This caused the fall of the continent and somehow the stagnation of humanity in the chaos which we are still paying today the heavy karma.

The destruction of the symbol, the giants ofBamiyan, was a clear signfrom the forces of darkness. They wanted to line themselves in the continuity of the horribleAtlanteannight which set off, in that distant past, the long period of spiritual obscurantism that we still know today. To destroy these giants was to destroy the last vestiges of Atlantis. Of course, the Taliban, blinded and manipulated, had no awareness of the dark intentions hiding behind this heinous act.

Commander Massoud, meanwhile, represented the annoying pillarof the Northern Alliance which was blocking their perfidious strategy in the region as would have done Benazir Bhutto, in a different way and to a different extent,if she had not, as well, suffered a fatal attack. This particular region of the world is a challenge for these forces which, in the past,pursued the same goals with Hassan Ibn Sabbah, grandmaster and founder of the Order of the Assassins. Since September 11, 2001 a new world order has been established on our planet.

The destruction of the giants was the first visible sign (although unnoticed) of the offensive of these shadowy groups. The choice of Bamiyan was not left to chance. The consequences of the battlehave just begun to take shape, and once again only a growing awarenessin people through spiritual opening will allow this multi-millennial evil to finally disappear.

LA MAGIE DES PARFUMS

01/11/2014

« Les parfums, les couleurs et les sons se répondent », disait avec justesse Charles Baudelaire. La magie des parfums  a toujours fasciné par les propriétés subtiles qui la caractérisent. En effet, tout dans la nature a une correspondance de règne en règne, que se soit dans les fluides vitaux ou autres manifestations naturelles. Tout en fait est lié, mais l’homme ne se souvient plus des « accords » harmonieux de tout ce qui l’entoure, afin d’en tirer le meilleur bénéfice.

La magie des parfums

Dans l’Antiquité, les parfums étaient considérés comme un ornement mais le plus souvent servaient à la purification des lieux  et à l’élaboration de cérémonies rituelles ou magiques. Les parfums étaient savamment préparés et ces mêmes prépérations étaient tenues secrètes.

Au XVIIe siècle, Johannes Smetius rapporte que de nombreuses personnes étaient guéries de leurs maux en passant uniquement devant la boutique d’un apothicaire très réputé, passé maître dans son art. Les parfums étaient si bien traités qu’ils agissaient à distance.

Les parfums suaves ne sont pas toujours les plus agissants sur la santé. Au contraire, ceux qui répandent une odeur aromatique, comme la sauge, le romarin, etc., permettent de ranimer l’énergie vitale.La magie des parfums

Je n’aborderai pas ici l’usage des parfums dans le cadre de certaines pratiques pour attirer le monde élémentaire dans la recherche de certains phénomènes, car la plupart du temps ces procédés sont plus néfastes qu’utiles.

Dans le domaine curatif, une certaine magie consistait à fabriquer des « sachets » dans lesquels des plantes et des préparations étaient mélangées.

Ceux-ci étaient placés sur la partie malade du patient par laquelle pénétraient les émanations fluidiques parfumées. On utilisait aussi des vêtements, des ceintures imprégnées, qui avaient le même effet.

Une Magie naturelle

La magie des parfumsLa magie des parfums était présente également dans les amulettes et les talismans qui étaient sublimés par des effluves spécialement additionnées à la conjoncture astrale et à d’autres techniques. La science ne connait pas encore le pouvoir des parfums dans l’accord vibratoire d’un être humain.

Cette Magie naturelle, si elle était connue, pourrait soigner de nombreuses maladies. L’aromathérapie, bien qu’embryonnaire et ne jouant pas uniquement sur l’action des effluves, est un des outils curatif.

Dans l’Antiquité on connaissait bien l’influence des parfums et fumigations. C’est ainsi que dans le temple d’Isis à Memphis on venait recourir au don des dieux pour obtenir une guérison ou des songes prophétiques qui répondaient à certaines interrogations.

Après une nuit passée dans le temple, le patient endormi sur une peau de chèvre imbibée de parfums magiques, se réveillait avec sa réponse. Les fumigations spéciales avaient agi à la fois sur le corps et sur l’âme.

L’odorat est le plus élevé des sens purement physiques et dans les règnes inférieurs, c’est le règne végétal qui émet les radiations les plus subtiles. Celles-ci, pour les plus élevées d’entre elles, créent un pont avec le Plan spirituel.Ce n’est pas pour rien que les centres d’énergie de l’homme sont appelés lotus et que l’homme lui-même est appelé « la plante à sept feuilles ».

Avec le cœur

La magie des parfums – 10/08/2014

VATICAN SECRET

 16/09/17

Vatican secret ! Ces deux mots à eux seuls renferment un secret  jalousement gardé. Depuis des temps immémoriaux de nombreux manuscrits renfermant des fragments de la Science hermétique ont été cachés, soudoyés, manipulés ou encore détruits.

Des manuscrits antiques

L’Histoire est là, pour nous rappeler les fameux autodafés, ainsi que les persécutions de la « Sainte Inquisition », ont mis fin à des trésors culturels inestimables. Cela est un aspect de l’Histoire, mais est-ce bien la vérité ?

 vatican secret
Une représentation de l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie. Les manuscrits majeurs furent sauvés.

On nous a longtemps fait croire, par exemple, que la bibliothèque d’Alexandrie fut détruite, mais on sait aujourd’hui que les sources sont trompeuses et certains auteurs ont même prouvé le contraire.

Des textes coptes conservés au Mont Athos en Grèce relatent qu’en l’an 51 avant J.-C., la bibliothèque d’Alexandrie qui se situait dans le quartier du Bruchion, renfermait plus de sept cent mille rouleaux, tous montés sur bois et en parchemin ignifugé.

Quand l’incendie eut lieu, tous ces documents étaient partis pour être réparés et la grande quantité des manuscrits originaux, qu’on considérait comme les plus précieux, furent transportés dans la demeure d’un des bibliothécaires.

Quand l’incendie mineur se propagea dans la bibliothèque, il ne brula que des parchemins sans grande importance. Ils étaient, parait-il, si finement réalisés et si résistants que seule la couverture en bois de quelques uns fut touchée, ils furent aussi épargnés grâce à la célérité des esclaves et des bibliothécaires.

Tout cela fut rapporté par un savant grec du nom de Théodas, qui fut témoin du drame. Que sont devenus tous les manuscrits, puisqu‘ils ont été épargnés ? D’autres sources nous disent que quelques bibliothèques de cette région du monde furent elles aussi préservées. Dès que les chrétiens commencèrent à être influents à Alexandrie vers la fin du IVème siècle, les choses changèrent et c’est Anatole, évêque de Laodicée, qui commença à dénigrer vivement le Paganisme. Suite à ces menaces, les philosophes et théurges firent en sorte de protéger leurs manuscrits.

Vatican secret

vatican secret
La grande bibliothèque du Vatican. Ce n’est certainement pas dans cette salle que les plus importants manuscrits sont conservés.

Mais la hargne de l’Église allait quand même gagner une manche de la partie et au fil des siècles beaucoup de manuscrits furent confisqués (sous prétexte de satanisme et de sorcellerie) et nombre de savants et d’Amis de la Vérité furent brulés ou torturés…

C’est ainsi que dans les bibliothèques du Vatican, des passages entiers de traités précieux des anciens ont été trouvés, grattés et effacés, uniquement dans le but de les remplacer par des inepties sans nom.

Lorsque l’Église mit la main sur de tels trésors (manuscrits originaux, papyrus, et livres dérobés aux plus riches bibliothèques païennes, vieux traités sur la magie et l’alchimie etc., ce fut une manne pour certains moines et rares membres du clergé qui les conservèrent jalousement et créèrent des groupuscules très secrets de travail.

De tous les manuscrits et découvertes soit-disant « démoniaques » ou « sataniques » , tels que L’Église les qualifia depuis plus de 1600 ans, nombreux sont enfermés dans ces caves si secrètes du Vatican. Combien d’innocents, de savants et d’hermétistes, furent brûlés pour avoir dit certaines vérités qui ne plaisaient pas à l’Inquisition. Ce qui était par elle-même qualifié ainsi  fut largement étudiés par de hauts responsables du Clergé.Mais cela ne devait pas être révélé.

C’est ainsi que l’histoire nous rapporte les relations entre l’Abbé Trithème et Corneille d’Agrippa pour ne citer qu’eux. Ils travaillèrent sur des manuscrits rares et précieux volés par le Clergé. Nous développerons cela éventuellement dans un futur article.

Une vieille tradition rapporte qu’il existe au Vatican des chambres et armoires secrètes, que seuls connaissent quelques rares élus, et dont l’accès ne se fait que par des portes dérobées automatisées par quelques mécanismes dissimulés dans des cadres et des statues. Cette même tradition rapporte que peu, très peu de papes en connaissent l’accès.

Une personne de nos connaissances nous a parlé d’un de ces passages qui, bien qu’offrant des ouvrages secrets, n’est pas pour autant ce saint des saints auquel peu de personnes ont accès. L’Église garde encore de nombreux secrets dont elle ne connaît même pas l’importance.

Avec le coeur

LA GRANDE PRISON COSMIQUE

17/06/17

Nous vivons dans un univers que nous croyons réel. Pour la presque totalité des êtres humains, le monde véritable est ce que l’on peut voir sur cette planète, mais aussi à travers nos télescopes. Chacun est persuadé que cette vision de notre Terre et des milliards de galaxies inimaginables à nos sens, fait partie de la RÉALITÉ, sans se douter que nous sommes enfermés dans une grande prison cosmique.

La bulle asservissante

Au regard de la Science Hermétique, tout cela n’est qu’une illusion, un leurre pour la conscience car nous vivons dans un univers d’une densité matérielle quasi absolue. Prisonniers de ce monde, les êtres humains vivent dans une sorte de bulle asservissante et manipulatrice, qui agit chaque jour davantage, par la volonté de groupes obscurs. La grande prison cosmique

La seule et unique façon de nous sortir de cet étau, est de changer radicalement notre conception du monde et de nous-mêmes. L’Enseignement hermétique nous dit que pour cela, nous devons élever notre conscience vers ce qu’il y a de lumineux et pur en nous-mêmes, tant il est vrai que notre univers est une véritable geôle pour l’Esprit Divin en chacun de nous.

Dans cette illusion existe une autre illusion que les Hermétistes ont souvent appelé la Lumière astrale. Celle-ci se situe à un stade légèrement supérieur à celui du monde matériel. Paracelse l’a souvent mentionnée dans ses écrits. Le grand mage kabbaliste que fut l’abbé Trithème la cite également et plus tard après lui le fameux Eliphas Lévi. Tous ont parlé de ce grand « Agent négatif » qui conduit l’homme au chaos.

Quelle est donc cette Lumière Astrale dont l’Hermétisme s’est souvent fait l’écho? Sans entrer dans les détails, elle est la région invisible qui entoure et pénètre notre planète tout entière, comme le corps psychique ou astral est le double de l’homme matériel. Cette Lumière Astrale n’est visible qu’au « clairvoyant » et là encore il faudrait s’attarder sur les mots afin d’être très précis. Ce Plan pourtant légèrement supérieur à notre monde terrestre matériel est, lui aussi, un leurre.

La grande prison cosmique

13083097_1016560171751805_3274394586779257547_nOn pourrait dire que la Lumière Astrale est une sorte de « miroir » dans lequel se reflète tout le scénario du monde. On peut même ajouter que cette Lumière Astrale se nourrit littéralement de toutes les basses émanations de la Terre et de ses habitants. Elle est un « réflecteur» du monde, et ce qu’elle absorbe est ensuite rejeté, créant des crises morales au sein de l’humanité, des épidémies psychiques mais aussi physiques et de nombreux autres maux…

Elle est en quelque sorte le « mauvais rivage » nécessaire de la Terre où l’on y trouve toute une population d’entités conscientes, semi-conscientes et inconscientes tout autant que des résidus psychiques connus sous le nom de coques et autres larves. Je m’explique largement sur ce thème dans mon livre « Le Choix atlante » Éditions Moryason.

Chaque être humain doit être conscient que cette lumière n’est que l’aspect déformé de la Divinité, l’échelon le plus bas de l’Éther le plus haut. Aussi, dans notre volonté d’évolution, devons-nous comprendre que le seul moyen d’échapper à cette illusion, qui n’est qu’un miroir aux alouettes, est de rechercher en nous-mêmes le Chemin de notre véritable Divinité.

La Lumière astrale n’est qu’un voile d’illusions sur lequel scintille et « crépitent »des formes et des situations auxquelles nous croyons. L’humanité, dans sa totalité a la berlue réellement!  Elle est prisonnière d’un monde fictif qui nous fait adhérer à une mascarade digne d’un film noir de science fiction.Sans compter la pernicieuse manipulation qui enfante un mensonge dans lequel nous baignons depuis longtemps,  mensonge qui consiste à nous faire adhérer aux plaisirs immédiats et à la superficialité de l’existence. Le but de tout cela est de tenter d’annihiler la conscience des êtres humains, de les couper de la Véritable Spiritualité, afin de les confiner dans un espace clos.

Le Choix de la Lumière

Pourtant, si l’on décide en toute conscience de déchirer ce voile de parodie, alors se dessine la promesse d’un monde où l’homme retrouve sa La grande prsion cosmiquevéritable place sur cette planète, tout autant que sa dimension originelle.

Sortir de cette grande prison cosmique n’est, après tout, qu’un acte de volonté constant qui oriente notre vie vers ce que nous sommes vraiment au fond de nous-mêmes : une conscience divine! L’Enseignement hermétique offre les clés permettant de sortir de cette prison, et cet Enseignement ne donne aucun crédit aux mensonges du New Age qui n’est qu’un relai de la manipulation qui vient d’être évoquée.

Si chacun décidait aujourd’hui, de se tourner avec foi et volonté vers l’horizon de Lumière qui lui est réservé, alors l’illusion et le mensonge qui gangrènent le monde seraient aussitôt éradiqué de la surface de la Terre emportant avec eux le cortège de ceux qui s’en servent.

La Grande Invocation donnée par le Maître D.K agit fortement en ce sens.

Avec le cœur

LE SAVOIR DES CIVILISATIONS ANTIQUES

27/09/2014

Comme je l’ai présenté dans mon livre : Le Choix atlante ou l’origine secrète du mal planétaire actuel, le savoir des  civilisations antiques  était toujours présent, des milliers d’années après la disparition du fabuleux continent atlantique. Bien que le savoir de ces civilisations antiques fasse pâle figure, comparativement à l’évolution scientifique et technologique de l’Atlantide, elles n’en sont pas moins légendaires, par leur faste. Bien que déclinant jusqu’à l’époque romaine, le monde antique n’était pas aussi ignorant que veulent bien nous le rapporter les livres d’histoire.

Le savoir des civilisations antiques

Il faut savoir que les civilisations antiques égyptiennes, babyloniennes, phéniciennes Aztèques (pour ne citer que celles-ci) et d’autres, étaient héritières des sciences et technologies de civilisations encore plus anciennes et dont nos archéologues ne savent pratiquement rien. Il n’est pas question de blâmer ici qui que se soit, mais de souligner que l’érosion du temps efface bien des traces.

Le savoir des civilisations antiques
Didon reine de Carthage, en compagnie d’Enée

Quand l’empire de Rome détruisit Carthage, il savait qu’il brisait le cycle d’une civilisation dont la grandeur était supérieure à la sienne et dont la finesse et l’art trouvaient leur source des milliers d’années avant la naissance de Troie.

Comme je le mentionnais dans un de mes articles sur mon site (voir : L’incroyable science du monde antique), le principe de l’électricité était connu et les paratonnerres étaient utilisés dans de nombreux temples de par le monde, ces mêmes temples qui conservaient « le feu du ciel ».

Les Égyptiens étaient dotés d’une réputation d’hommes de science, appréciée dans tout le Bassin méditerranéen. Aulu-Gelle (compilateur romain du IIe siècle) nous écrit qu’ils construisaient des miroirs extraordinaires les uns multipliaient les objets, les autres les offraient renversés. Il rapporte encore que ces mêmes miroirs selon l’endroit où on les disposait, ne réfléchissaient plus rien.

Cet auteur antique n’est pas le seul à parler des prouesses scientifiques des Égyptiens. D’autres chroniqueurs rapportent qu’ils connaissaient les miroirs convexes, concaves, coniques et même magiques. Ils décomposaient aussi la lumière à l’aide d’un prisme, et provoquaient des aberrations optiques grâce à ces mêmes miroirs.

On savait aussi construire des miroirs en verre poli comme, par exemple, le fameux miroir du phare d’Alexandrie qui fascina tellement le naturaliste Buffon qu’il écrivit dans son Histoire Naturelle : « si ce miroir d’acier ou de fer poli a réellement existé, comme je le crois fermement c’est aux anciens qu’appartient l’honneur d’avoir inventé le télescope ».

L’Égypte, fut une de ces civilisations antiques qui avait hérité du savoir passé issu des dynasties divines ou légendaires. Les égyptologues éludent, par manque de repères historiques, certains aspects de cette histoire.

Ce peuple possédait, depuis longtemps une technique élaborée de la joaillerie et des pierres précieuses. Ils maitrisaient tellement cet art, qu’ils étaient capables de créer des émeraudes artificielles en verre, aussi belles que des originales.

Certains de ces objets ont traversé les siècles rescapés des ravages du temps. C’est ainsi qu’au XIIe siècle, les Génois achetèrent à prix d’or aux Croisés, une coupe dite « d’émeraude ».

Le Sacro Catino

C’est du moins ce que l’on crut, car la légende rapporta qu’elle faisait partie du trésor que la reine de Saba offrit au roi Salomon et que, plus tard, le Christ Lui-même la choisit pour la Cène. Elle devint alors le Sacro Catino, bien que n’ayant aucun rapport avec la Sainte Coupe.

Elle fut ainsi l’objet d’un culte que d’aucuns estimèrent être celui du Graal. Les Génois créèrent même une garde de protection qui veillait sur ce que l’on considérait désormais comme un objet divin.

sacro-catino

Sa finesse, sa taille et sa pureté en faisait une pièce unique, dont l’origine se perdait dans la nuit des civilisations connues.

Plus tard, ce fut Napoléon qui l’emporta à Paris pour la faire analyser par l’Institut. Les savants constatèrent que ce n’était pas une pierre d’émeraude, mais un verre étrange et très particulier qu’ils n’arrivaient pas à définir.

Lorsque l’œuvre fut restituée, plus tard, aux Génois, elle fut accidentellement brisée en plusieurs morceaux que l’on dut recoller.Ainsi fut brisé un verre d’une facture exceptionnelle, dernier échantillon d’une technique connue de la plus  haute antiquité. Il est toujours visible à Gênes.

Voir aussi mon article : L’incroyable science du monde antique

Avec le cœur

Le savoir des civilisations antiques – 04/18/2015