09/06/2014
Dans des îles du Sud-Est de la Nouvelle-Guinée, des indigènes continuent à ériger des monolithes colossaux en mémoire de leurs ancêtres géants qui, disent-ils, vivaient sur terre il y a très longtemps. Une question se pose lorsqu’on aborde l’hypothèse de l’existence de géants vivant sur la terre à une époque lointaine : A-t-on des preuves ? Des textes mythologiques, des légendes, des histoires contées par des auteurs du passé, des Textes sacrés nous relatent que des géants ont bien vécus sur notre planète dans la nuit des temps . Les géants et l’origine de l’humanité sont donc indissociables et si tel est le cas, à quelle époque vivaient ces êtres fabuleux et extraordinaires ? Peut-on encore aujourd’hui trouver d’éventuelles traces de leur existence ?
Les géants et l’origine de l’humanité
Avant d’aller plus loin dans l’exploration moderne offrant la possibilité d’apporter certaines découvertes troublantes au monde scientifique, il est certainement utile de présenter un livre passé souvent sous silence depuis sa découverte et très mal connu : Le livre des géants. Ce document est un texte apocryphe, inspiré vraisemblablement du Livre d’Enoch, qui fut découvert dans les grottes de Qumrân.
Écrit en araméen il remonte probablement au IIe siècle et nous est connu grâce à des sources manichéennes plus récentes parmi les fragments de documents ayant appartenu aux Manichéens de Turfan en Chine. Il nous relate les batailles antiques des géants à une époque antédiluvienne. Voici quelques passages choisis de la version Qumrâm traduits par J.T Milik :
IQ23 Frag 9,14,15 :
1 – […] ils connaissaient les secrets de […]
2 – […] le péché était grand sur la terre […]
3 – […] et ils tuèrent de nombreux […]
4 – […] ils engendrèrent des géants […]
4Q531 Frag 2 :
1 – […] ils se sont souillés […]
2 – ils ont enfanté les géants et les Néphilims et […]
3 – ils ont procédé, et voici, toute la terre a été corrompue…
4 – dans le sang et par la main de […]
5 – géants ce qui ne leur a pas suffit et […]
6 -ils ont cherché à dévorer plusieurs […]
7 – […]
8 – […] les Nephilims l’ont attaqué.
De nombreux textes et mythes de par le monde, nous rapportent la même histoire. Des géants engendrés à l’origine par des entités venus d’un autre cycle d’évolution (voir article : De la Lune à la Terre) ont corrompus leur génération tout autant que les différentes races vivant sur la terre. Cette corruption et cette dégénérescence de la nature humaine s’est produite par deux fois. La première à une époque vraiment très lointaine il y a plusieurs centaines de millions d’années, par une sorte d’aberration naturelle et la seconde pendant le cycle lémurien il y a des dizaines de millions d’années.
C’est ce que rapporte l’Enseignement hermétique d’une manière précise mais c’est aussi ce que l’on peut observer après étude de nombreux Textes antiques auxquels j’ai fait référence dans d’autres articles sur ce site. Dans mon livre » Le choix atlante », je retrace avec plus de détails et d’une manière chronologique cette extraordinaire histoire de l’origine de l’homme en me basant, comme toujours, sur l’Enseignement hermétique, qui est le viatique fondamental pour découvrir l’homme dans sa structure individuelle et universelle. Mais passons maintenant aux découvertes contemporaines dues à des chercheurs qui nous permettent d’imposer à la science de nouvelles interrogations sur l’évolution de l’homme.
Les découvertes
Vers la fin des années cinquante, lors de la construction d’une route dans le Sud-Est de la Turquie, plusieurs tombes de géants furent mises à jour. Un ingénieur turc découvrit des os humains gigantesques dont un fémur de 1,20m pour une taille totale d’un individu mesurant plus de 5m. Joe Taylor à la demande de Jack Wagner prit ce modèle pour guide et sculpta le fémur auprès duquel il pose sur la photo, ce qui donne une idée de la taille du géant.
Un chercheur australien Rex Gilroy a découvert en divers lieux du vaste continent australien, des ossements géants d’humains ou d’hominidés (car non scientifiquement établi) dont une dent qui aurait appartenu a un être mesurant près de 3,5m.
Ces recherches l’ont notamment conduit à établir une théorie très intéressante sur une vieille civilisation australienne Uru constituée de géants, à laquelle font référence de vieilles légendes aborigènes.
Les travaux de ce chercheur ouvrent des perspectives très intéressantes dans la mesure où le continent australien, mal connu, représente une petite partie de ce que la Doctrine Hermétique nomme la Lémurie, continent sur lequel vivaient des êtres gigantesques.
Une découverte pour le moins surprenante bouleversa les idées reçues sur l’origine de l’homme, lorsqu’en 1968 un amateur de fossiles, William J. Meister, découvrit près de Antilope Springs en Utah USA un bloc de pierre qu’il cassa pour y découvrir quelque hypothétique fossile.
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit à l’intérieur de la pierre brisée l’empreinte d’une sandale humaine au sein de laquelle se trouvait incrusté un trilobite (fossile de l’ère primaire).
La trace de sandale en elle-même serait un élément plus qu’insolite car un fossile de ce genre est quasiment « inexistant » aux yeux de la science mais le plus incroyable est que le trilobite mollusque du Cambrien remonte a 500 millions d’années !
La question qui se pose alors est : l’homme vivait-il sur terre à cette époque ? Les faits sont là et les scientifiques perplexes devant cette découverte n’osent pas se prononcer.
Mais ce genre de découverte n’est pas unique. Le Dr. Clifford Burdick découvrit quelques années plus tôt près de Glen Rose au Texas des empreintes humaines de pieds datant du Crétacé c’est-à-dire d’une période allant au-delà de 100 millions d’années. Ces découvertes viennent troubler et remettent en questions toutes les théories évolutionnistes de la science actuelle car des empreintes de ce type nous incitent à conclure que l’homme était contemporain des dinosaures et que par conséquent le mythe fondateur des géants de l’origine trouve ici sa pleine justification.
Pour étayer cette théorie qui place l’homme à l’époque des dinosaures il fallait bien entendu relever d’autres indices. C’est ce qui fut fait grâce aux recherches de Burdick qui, toujours à Glen Rose fit une curieuse découverte. Dans le lit d’une rivière asséchée il trouva des empreintes de pas humain à côté de celles d’un dinosaure datant de la même époque.
Que penser de ces découvertes ? L’homme fut-il donc, au-delà de toute vraisemblance, contemporain des grands sauriens ? Les traces fossilisées sont réellement troublantes et aucune théorie plausible n’est, à ce jour, venue infirmer ces conclusions.
Un archéologue amateur, Alvis Delk découvrit une empreinte unique au cours de l’année 2000. Toujours dans le parc de Glen Rose au Texas, il vit une fossilisation surprenante sur le sol. Au faîte de sa surprise il s’aperçut qu’il s’agissait d’une trace humaine chevauchant celle d’un dinosaure datant du Crétacé.
Cette empreinte a donné lieu à de nombreuses analyses scientifiques très poussées qui ne contredirent en rien l’authenticité ni même la nature du fossile qui se trouve aujourd’hui en possession du Creation Museum of Glen Rose Texas.
Nous vous proposons de découvrir le film qu’ils ont réalisé afin de démontrer la réalité du phénomène. Malheureusement ce film est en Anglais et de mauvaise qualité d’enregistrement.(Cliquez sur le lien : voir la vidéo)
Quand l’homme peint des dinosaures
Pour les anthropologues, ces différentes fouilles n’entrent aucunement dans le fait scientifique et sont très vite évacuées tant le trouble s’impose. Pour eux, l’homme n’a jamais été contemporain des dinosaures qui vivaient à l’époque Mésozoïque (ère secondaire) c’est-à-dire de moins 251 à moins 65,5 millions d’années.
Pourtant ces fossiles d’empreintes sont là pour nous interroger et remettre en question beaucoup de certitudes académiques. Pour l’Enseignement Hermétique, les grands sauriens ont bien été contemporains de l’homme à cette lointaine époque. Nous y reviendrons plus loin…
En octobre et novembre 1924 une expédition scientifique, sous la direction de Samuel Hubbard conservateur au musée d’archéologie d’Oakland et Charles W. Gilmore, conservateur en paléontologie au musée National des États-Unis, s’organisa à Havasupai dans un canyon du Nord de l’Arizona afin de rechercher des traces de vie d’hommes préhistoriques. Ils découvrirent des peintures murales d’animaux et parmi elles, ils constatèrent stupéfiés, la représentation d’un dinosaure de la famille des diplodocus.
Une question troublante s’imposa à eux : comment était-il possible qu’un homme ait pu peindre sur une roche un dinosaure ? Cela allait évidemment à l’encontre de toutes les théories scientifiques admises.
D’autre part, c’est bien un homme ou un groupe d’homme qui a peint ces fresques représentant un dinosaure. Or pour peindre cela il fallait bien entendu connaître la forme de l’animal, donc le voir et l’observer !
On avait là une preuve tangible, compte tenu de l’authenticité de la peinture, que l’homme avait bien vécu au temps des dinosaures ou du moins des hommes qui en avaient la mémoire.
Mais ce n’est pas ici la seule énigme représentée. Natural Bridges National Monument est une zone désertique dans le sud de l’Utah près de White River Canyon. Sur les parois rocheuses on peut y distinguer différentes formes rupestres d’animaux divers.
Mais l’une d’entre elles est plus qu’insolite puisqu’on y voit, à côté de la représentation d’un homme, un brontosaure animal qui vécut également à l’ère secondaire, une époque où l’homme n’existait pas selon les conclusions scientifiques. Comment, un homme a-t-il pu dessiner sur la pierre un animal qui n’était pas sensé exister à son époque ?
Toujours dans l’Utah, pays où figurent décidément de nombreux pétroglyphes on peut découvrir à Black Dragon Wash un extraordinaire dessin figurant un ptérodactyle, (reptile géant volant) contemporain des grands sauriens. Une fois de plus, la question se pose non sans une interrogation majeure quant à l’anachronisme évident : comment ce dessin est-il possible ?
Sculptures et pierres gravées
Sur un temple cambodgien daté du Xé siècle on pourrait croire que la sculpture présentée à droite soit un animal bien connu des paléontologues, le stégosaure, grand saurien reconnaissable à ses plaques dorsales.
Malheureusement cela ne semble pas être le cas car il s’agirait d’une superposition de pétales de lotus à l’arrière plan d’un buffle. Pourtant bien qu’ici se ne soit pas le cas d’une représentation d’un saurien antédiluvien, certaines chroniques asiatiques mentionnent ces animaux antédiluviens et que rapporte l’écrivain du XIXe siècle, Charles Gould, dans son livre remarquable Mythical monsters.
Dans ce livre on trouve non seulement la description de faits anciens relatés par des textes chinois, mais surtout la description de monstres vivants avec des hommes à une époque très lointaine.
Pour conclure sur le sujet, je ne peux éviter de mentionner cette découverte très connue effectuée dans l’année 1966 par le Dr. Cabrera d’Arquea, médecin dans la ville d’Ica au Pérou. Un modeste paysan de ses connaissances, originaire d’Ocucaje, découvrit, par hasard, une grotte dans laquelle se trouvaient des centaines de pierres gravées représentant des scènes pour le moins incroyables.
Ces pierres noires comportent toutes des dessins spectaculaires dont les scènes font figure de livres d’images d’une époque indatable.
Ici des hommes observant au télescope une comète, là des chirurgiens à la physionomie « indienne » opérant à cœur ouvert un patient alimenté par des sondes, là encore des cartes de terres inconnues etc…Ce qui est spectaculaire est sans nul doute le dessin montrant des dinosaures parfois même domptés par des êtres humains !
Ce tour d’horizon des représentations d’animaux préhistoriques par des artistes en différents lieux du monde, laisse perplexe. L’histoire de la terre serait-elle différente de celle qui nous est enseignée depuis plusieurs siècles ? Si les hommes furent contemporains des dinosaures cela signifie qu’une civilisation inconnue a existé il y a de cela plusieurs millions d’années. Ces suppositions, au regard des découvertes dont il vient d’être question, laissent la porte ouverte à de singulières hypothèses. Et si l’histoire que l’on connaît ne correspondait pas à la réalité ?
Les géants et l’Enseignement Hermétique
Dans le cadre du travail effectué sur ce site, une seule ligne directrice est suivie : démontrer la valeur de l’Enseignement Hermétique si cher à Ceux qui, depuis toujours, veillent à l’évolution de l’homme, c’est-à-dire Les Maîtres de Sagesse qui, depuis l’aube de l’humanité, diffusent cette Science Universelle. Certains d’entre Eux se sont manifestés à différentes époques pour apporter un Message particulier afin d’impulser des idées nouvelles dans la société.
La plus large diffusion de Leur Enseignement fut révélée à la fin du XIXé siècle par l’intermédiaire de la « Vieille Dame » c’est-à-dire Helena P. Blavatsky, trop souvent incomprise et décriée par des êtres sans scrupules qui ont tourné en dérision les magnifiques Principes qu’elle a offert à ses contemporains et dont la Société Théosophique fut, à cette époque l’élément majeur, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
Les Maîtres de Sagesse apportèrent, par Leur Enseignement, des précisions extraordinaires sur la race des géants qui, autrefois, peuplaient la terre et les découvertes qui ont été mentionnées dans cet article corroborent tout à fait les thèses exposées par ces Etres, Gardiens de la Tradition Primordiale.
D’après Ces Mahatmas (Morya et Koot Humi), à l’aube de l’humanité vivaient sur terre (il y a des millions d’années) des géants « aussi hauts que des tours ». Voyez ce que dit H.PB dans Isis dévoilée , I. 285 :
Les ancêtres antédiluviens de l’éléphant et du lézard actuels furent peut-être le mammouth et le plésiosaure ; pourquoi les ancêtres de notre race humaine ne seraient-ils pas les « géants » des Védas, de la Völuspa et du Livre de la Genèse ? Alors qu’il est positivement absurde de croire que la « transformation des espèces » s’est effectuée suivant l’une des vues les plus matérialistes des Évolutionnistes, il n’est que naturel de penser que chaque genre, depuis les mollusques jusqu’à l’homme-singe, s’est modifié en partant de sa propre forme primordiale et distinctive.
On peut se demander pourquoi certaines empreintes fossiles humaines, découvertes de nos jours, ne sont pas gigantesques puisqu’il est question d’hommes et d’animaux de haute stature. L’explication nous est fournie par L’Enseignement Hermétique.
A l’origine, au cours des millions d’années passées, les formes de vie quoique semblables aux nôtres, étaient de constitution plus éthérique c’est-à-dire moins dense que celles que nous connaissons aujourd’hui.
Avec l’évolution de la terre et la condensation de la matière, les formes plus éthérées se sont réduites dans leur structure. Cela eut pour effet de donner des fossiles de taille plus petite que celles qu’elles avaient à l’époque.
Ces hommes d’une taille immense et d’une force prodigieuse étaient de nature à affronter les monstres gigantesques du Mésozoïque et du début du Cénozoïque.
Ils peuplèrent la terre pendant des millions d’années et se manifestèrent sous des formes humaines achevées à la fin de l’époque lémurienne il y a 18 millions d’années mais aussi jusqu’à la fin de l’époque atlante, bien que leur taille décrut considérablement par rapport aux dimensions d’origine.
Ce sont eux qui érigèrent sur toute la surface de la terre des constructions mégalithiques comme Stonehenge ou autres monuments gigantesques dont certaines traces subsistent encore aujourd’hui. Ils se servaient non seulement de leur force physique mais aussi de techniques qu’ils maitrisaient parfaitement à la fois dans le domaine scientifique mais aussi par le pouvoir du son.
Aujourd’hui encore des édifices comme la pierre de Baalbek au Liban ou bien encore ce monolithe colossal en Australie, les pyramides d’Égypte et même d’autres pays du monde sont le fait de ces géants des origines et de toutes les prouesses techniques qu’ils pouvaient réaliser. Je reviendrai éventuellement sur ces différents points dans un futur ouvrage mais je traite aussi de ce sujet dans mon livre : Le choix atlante– G. Delaage – Editions Moryason
L’Enseignement Hermétique nous dit que ces êtres d’autrefois avaient des règles sociales différentes des nôtres et que l’incinération était une loi qui était pratiquée systématiquement pour chaque défunt.
Voilà peut-être une explication qui tend à démontrer qu’il est très difficile aujourd’hui de trouver des traces de vie passée ou bien encore des squelettes de ces personnages antiques.
D’autre part, une réponse au manque d’éléments tangibles et de preuves s’impose lorsque H.P Blavatsky nous dit :
« Les géants de jadis sont tous enfouis sous les océans et le frottement constant de l’eau durant des centaines de milliers d’années réduirait en poussière des squelettes de bronze et, à plus forte raison, des squelettes humains ». Doctrine Secrète III – p.348
En effet, il est aisé de comprendre que les continents comme la Lémurie et l’Atlantide, disparus depuis des millions d’années, gisent sous des limons de terre dans les fonds abyssaux.
Ces découvertes seront certainement le fait des archéologues du futur qui, dans des milliers d’années, feront de curieuses découvertes lorsque les plaques tectoniques se seront déplacées à la surface notre planète pour laisser l’émergence d’autres terres.
Jusqu’alors nous ne pourront que compter sur des trouvailles ponctuelles qui viendront élaborer peu à peu la trame d’une histoire qui changera peut-être la vision scientifique sur l’évolution humaine.
Beaucoup de choses restent à découvrir partout dans le monde et plus particulièrement au Pérou, pays qui fut à une époque lointaine le grand centre d’hébergement de la Tradition. De nombreuses contrées recèlent encore des traces de la vie des géants sur terre.
Dans Les Lettres des Mahatmas Le Maître Koot-Houmi nous dit :
Et, comme l’existence même de nos ancêtres gigantesques est maintenant mise en question – quoique nous ayons dans les Himavats, sur le territoire même vous appartenant, une caverne pleine de squelettes de ces géants – et de même que leurs énormes ossatures, quand elles sont découvertes, sont invariablement envisagées comme des caprices isolés de la Nature…
Cette explication est assez visionnaire dans la mesure où la science actuelle refuse d’accréditer les découvertes dont nous venons de parler tout au long de cet article sous le prétexte que la gêne affichée se cache derrière le canon scientifique, comme un caprice de la Nature qu’il est préférable d’éluder.
Lire aussi : Les géants partie 1