Guillaume Delaage

LA GRANDE ILLUSION DU MENTAL

07/02/2015

Les découvertes scientifiques contemporaines et particulièrement la physique quantique, se rapprochent peu à peu des profonds Enseignements sacrés. Ceux-ci ont la particularité d’être universels et en conséquence, échappent à l’usure du temps puisque étant universels. En effet, ces arcanes sacrés étaient dispensés aux Initiés de la plus haute antiquité. Ils sont, pour une faible part, véhiculés encore aujourd’hui, tout comme ils le seront toujours dans un futur proche et lointain.

Au sujet de ces Enseignements, je vais donc ici, m’arrêter sur la notion d’ UNITÉ en toute chose dans l’univers. Lorsque l’Enseignement sacré nous parle d’Unité cosmique, il ne faut pas y voir l’union de choses séparées comme par exemple des individus qui se regroupent pour former une association, ou comme je le disais dans mon article, des planètes qui sont reliées entre elles par des forces gigantesques.

Certes, d’une certaine façon, c’est ainsi qu’il faut poser le postulat, mais il faut pousser le concept plus avant pour tenter d’en avoir une image plus précise. Notre nature finie, humaine, nous oblige toujours à considérer les choses selon un principe de dualité et de comparaison. Comment en effet, ne pas concevoir une pierre, une étoile ou tout simplement un être humain comme étant différents de nous-mêmes ?

Cette différence notable est due principalement à l’action de notre mental qui a besoin pour s’exprimer, de séparer, d’identifier, de cloisonner ce qu’il conçoit. Ainsi, pour lui, une pierre est différente d’une étoile ou d’un être humain etc. Ces pensées nourrissent donc en permanence notre vie quotidienne au stade d’évolution où se trouve notre humanité.

Dans la RÉALITÉ cosmique, les choses sont bien différentes. Il n’y a qu’UN TOUT indivisible, et ce TOUT est Absolu. Ainsi, que nous partions de l’atome pour aller à la galaxie la plus gigantesque, tout est non seulement relié, mais VIT au sein du même ÊTRE. Il n’y a aucune séparation, sinon la frontière créée par notre cerveau en tant que support de notre mental objectif.

Il n’y a donc rien qui soit séparé de nous-mêmes aussi bien dans l’espace que dans le temps, notions qui ne sont en fait que des repères illusoires sur lesquels se repose le mental. Tout est donc VIVANT même ce que nous croyons mort, et non seulement nous sommes reliés à tout ce qui existe dans l’Univers mais NOUS SOMMES cet univers!

Le mental utilise, tel un escamoteur, de nombreuses pirouettes pour nous bercer d’illusions qui sont autant de chemins de traverse pour nous perdre. Notre but est donc de cultiver ce concept salvateur qui est un pas vers la libération de notre conscience, et qui énonce que le macrocosme est inclus dans le microcosme et vice versa.

Les Grands Avatars qui sont venus aider l’humanité ont tous prôné cette Unité trop souvent mal comprise. Tout ce qui semble extérieur à nous-mêmes nous semble être la réalité. Pourtant, comme le dit un très vieil adage hermétique : « L’Extérieur est comme l’Intérieur, le Petit est comme le Grand, ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Il n’y a qu‘UNE VIE ET QU’UNE LOI, et celui qui la met en oeuvre est UN. Rien n’est Intérieur, rien n’est Extérieur, rien n’est Grand, rien n’est Petit, rien n’est Haut, rien n’est Bas dans La Divinité ».

Avec le coeur

LE TRAVAIL DU DISCIPLE

04/09/2016

Beaucoup d’aspirants se demandent quelle est la marche à suivre pour progresser sur le Sentier spirituel et par où commencer ? Cette question est récurrente. De nombreuses personnes se hâtent et, ne voyant pas de progrès, se découragent et abandonnent. Avant d’en arriver là, il faut prendre un peu de recul et analyser la situation.

Tout d’abord que recherche-t-on ? Si ce sont d’emblée des « pouvoirs » ou des capacités mentales extraordinaires, alors l’aspirant fait fausse route car  là n’est pas le but que préconise l’Enseignement hermétique.  Bien que la pratique sur plusieurs vies conduise à ces perspectives et à de plus grandes encore, la première étape sur la Voie spirituelle est la recherche de l’humilité.  Celle-ci est la condition sine qua non pour éviter de nombreux pièges causés en partie par notre propre personnalité animale.Le travail du disciple

L’humilité est une alliée sûre tout au long de notre vie, car elle permet de garder ferme en nous, la conscience de ce que nous sommes vraiment. L’humilité fait taire l’ego animal qui a la fâcheuse habitude de tout régenter et de s’exposer. Elle nous conduit aussi à la sincérité par rapport à nous-même en laissant plus de place aux autres, donc à la générosité et l’altruisme.

D’autre part, toute recherche quelle qu’elle soit (profane ou spirituelle si l’on veut qu’elle porte ses fruits), doit être envisagée avec rigueur et sérieux. L’Enseignement hermétique n’en demande pas plus au débutant, car nul ne peut avancer avec trop de pression sur ses épaules ou avec des exigences démesurées.

L’attachement aux choses est toutefois un obstacle important qui freine tout travail spirituel. Pour autant, là encore, nul ne peut demander à un aspirant de fuir immédiatement tous les plaisirs et les ambitions de ce monde. Cette exigence provoquerait l’effet inverse et finirait par dégoûter d’emblée, la personne qui désire ardemment suivre la Voie spirituelle. Ce qui est préconisé, au départ, est la mesure en toute chose et chacun aura compris qu’un attachement excessif aux objets, désirs, soif des richesses, au désir d’être reconnu, admiré etc. est incompatible avec l’ouverture spirituelle. Comment cela ?

Le frein de toute recherche spirituelle se situe, bien entendu, au niveau de notre personnalité bien humaine, cette personnalité qui ne pense qu’à sa survie et qui se « croit » immortelle. Elle constitue en fait le premier obstacle mais aussi le seul. Le premier, car aussi solide qu’un mur de pierre, elle bloque toute issue vers la Lumière. Le seul, car lorsque le mur est détruit cette Lumière devient alors l’unique Réalité.

Aussi, le premier conseil que l’on puisse donner à tout débutant (et à d’autres) qui souhaite grandir en conscience, est d’observer l’impermanence de ce monde et de regarder avec distance tous les liens qui l’enchaînent à son environnement. De ce travail, où il deviendra spectateur de lui-même, doit surgir un sentiment de mouvance et d’instabilité, comme si l’on s’apercevait que depuis longtemps on fait fausse route. C’est là une première étape de développement de conscience, car ainsi nous découvrons et comprenons que l’essentiel n’est pas là où on l’imaginait.

Cette recherche de Libération doit être vraiment perçue et conservée en soi. Sans cela et sans cet effort soutenu, le néophyte comme le chercheur aguerri, peut tomber dans une sorte de sommeil de l’Âme, pendant une longue, très longue série d’existences.

Avec le coeur

LES MOTS SACRÉS

18/03/2017

Beaucoup de personnes en Occident comme en Orient ont entendu parler des mots sacrés OM ou AUM. En Inde, les pratiquants en connaissent la valeur profonde et ne la chantent que lors de certaines cérémonies ou actes spirituels. Mais si l’on se pose réellement la question de savoir quelle est la signification profonde du OM ou AUM, celle-ci reste souvent en suspens, faute d’explication.

Les mots sacrés

Les mots sacrés
Le Om

En Inde c’est le plus solennel de tous les mots. Il est considéré comme un mantra que l’on ne doit pas prononcer à la légère, ce que font malheureusement beaucoup de personnes en Occident. Du reste, celles-ci, l’utilisent à tort et à travers, et n’obtiennent aucun résultat.

Ce mot est une vibration propre à la phase de création dans laquelle se situe actuellement notre système solaire. En conséquence, il doit être prononcé non seulement avec respect, mais sur la note juste. De plus, ce mantra comme d’autres tels que la prière appelée Pater ou encore la Grande Invocation, ne trouvent une certaine efficacité que s’ils sont dits sur le plan mental avec conscience.

Cela implique, de la part du pratiquant, de travailler particulièrement sur ce plan, de manière à bien le maîtriser. En effet, comme je le dis dans mon livre : « Le choix atlante », nous avons trop tendance à confondre la spiritualité avec le monde émotionnel qui est en nous, ce qui a pour conséquence de freiner la progression spirituelle. Toutefois agir sur la plan mental ne veut pas dire non plus saturer l’intellect et l’objectivité, donc la raison.

Lorsque ces sons ou mantras sont prononcés correctement, ils atteignent une réelle efficacité. Dans le cas contraire leur effet n’est que temporaire et n’agit que dans l’aura de la personne. Les Maîtres de Sagesse nous disent que le AUM sacré, n’a de valeur qu’à cette seule condition et que son efficacité réelle ne peut être ressentie que lorsque le pratiquant travaille en dehors de tout égoïsme avec un mental clair, pur et maîtrisé.

En revanche, il est dit aussi que la personne qui l’entonne après avoir commis une faute grave, ne fera qu’attirer dans son aura des « forces invisibles qui, sans cela, n’auraient pu se frayer un chemin à travers l’Enveloppe Divine ».

AUM est à l’origine du mot Amen (AUMen) qui, contrairement à ce que l’on croit n’est pas d’origine hébraïque, mais chaldéenne. C’est dans ce pays qu’il fut transmis, lors de la captivité de Babylone. Toutefois, c’est en Inde que l’on doit rechercher sa transmission, lorsque les Aryas des premiers temps le rapportèrent de la lointaine Atlantide.

Saturne et la Rétribution

Une fois de plus, nous devons tirer une leçon de tout cela. Jouer à l’apprenti sorcier, sans connaître les fondements de la Science sacrée, peut conduire à de réels problèmes. C’est pourquoi l’humilité est toujours le rempart qui évite bien des désillusions. Avancer pas à pas avec patience, comme ne cesse de le dire, par exemple, le Grand Adepte Franz Bardon dans ses ouvrages, est un gage de sureté.

Attention donc aux faux prophètes qui fleurissent depuis quelques décennies dans le champ  marécageux du new age. Beaucoup de personnes aujourd’hui profitent de l’internet, de youtube et autres médias pour affirmer beaucoup de mensonges enrobés de quelques phrases d’authentiques vérités hermétiques.

Les mots sacrés
La planète Saturne

C’est là un des pièges les plus dangereux. Chacun donc doit demeurer très vigilant surtout en cette période où, comme je l’ai dit dans mon livre « Le choix atlante » nous entrons le 20 mars 2017 dans le Cycle de Saturne qui va se poursuivre pendant 36 années.

Ces Cycles furent données pour la première fois depuis très longtemps par un Maître de Sagesse au début du XXe siècle. Il n’est pas connu de l’Astrologie existante, mais était étudié de manière précise dans la lointaine Atlantide, en Inde et en Égypte.

Nous sortons actuellement du Cycle du soleil qui fut dans ces 36 années passées la révélation de beaucoup de choses dans ce monde.

Saturne est la Rétribution, le Karma qui va procéder à un équilibrage et mettra chaque nation et chaque être humain face à lui-même, à ses responsabilités. Saturne est reconnu symboliquement pour sa rigueur et c’est donc en ce sens que progressivement les choses devraient s’accentuer, pour prendre fin en 2053, selon cette ancienne tradition.  La dernière fois, dans notre histoire récente, que le Cycle de Saturne se manifesta fut en 1765 pour finir en 1801. Il serait intéressant d’analyser les évènements de cette portion de l’Histoire.

Avec le cœur

IL N’Y A PAS DE RELIGION SUPÉRIEURE À LA VÉRITÉ

30/01/2015

Comme la Doctrine Hermétique l’enseigne, la Conscience Universelle est toute autre que cette vision extra cosmique et limitée d’un Être anthropomorphe qui ne correspond pas à la Sagesse et que nous appelons « Dieu ». Mais les religions ont pour but de donner un enseignement exotérique, facilement assimilable, et les Initiés se sont toujours appliqués à cadrer les lois qui y sont enseignées, en vain.

Un combat invisible

Ce sont malheureusement les hommes qui ont toujours cherché à imposer leur propre volonté par les dogmes de leurs cultes. Ainsi, excès et abus ont été le dénominateur commun de tous ces systèmes, conduisant aux horreurs que furent les différentes inquisitions et les massacres de tous ordres, sous prétexte d’imposer la foi.

Les Forces de l’ombre agirent tout au long de ces époques qui étaient les ténèbres de la pensée et de la Sagesse, tout comme les Forces de Lumière essaient d’intervenir à chaque période de l’Histoire pour aider l’humanité. De même, ces Forces déploient une énergie considérable pour contrecarrer ces plans afin d’engluer le monde en empêchant toute élévation de conscience.

Ce combat invisible ainsi que les différentes attaques dont nous faisons les frais aujourd’hui, sont très significatifs de l’enjeu qui se trame à l’insu de l’humanité passive. À chaque période cruciale, les Maîtres de Sagesse se manifestent pour nous éviter de sombrer, face aux assauts d’êtres maléfiques dont les actions peuvent simultanément jouer sur plusieurs secteurs.

Il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité

Au Moyen-âge, « les hérétiques » qui ne voulurent pas suivre le chemin de l’Église furent victimes de la “Très Sainte” Inquisition qui, par d’ignobles tortures et des procès iniques, condamna au bûcher des personnes qui refusaient de croire à des dogmes ridicules et dont la pensée se situait bien au-delà des bornes ecclésiastiques. Ce fut ainsi que les Cathares, ces Gnostiques du Sud de la France, périrent dans les flammes du champ des Cramats, au pied du château de Montségur… Il n'y a pas de religion supérieure à la vérité

Ainsi de siècle en siècle nous sommes victimes d’assauts violents, commis par des religieux fanatiques. En cette période de mondialisation, les effets ont plus d’impact mais c’est toujours l’intolérance qui domine. Nul n’a jamais pu, de façon pérenne, influencer qui que se soit et de manière durable par la force ou la terreur. « Dieu » n’appartient à personne et l’on ne devrait pas être touché par les critiques portées aux religions tant il est vrai que la foi se vit en soi, et si elle est profondément établie rien ni personne ne peut la briser.

L’intelligence et l’ouverture de conscience appellent la tolérance. Seuls les fanatiques pensent que les religions leur appartiennent et c’est pour cela qu’ils en font des prisons de l’esprit. Le véritable croyant, celui qui est ferme et stable dans sa foi, ne cherche pas à imposer quoi que se soit et se dit, qu’après tout, la critique ou la moquerie des autres à l’égard de sa religion, ne changeront rien quant à ses convictions intimes, car chacun est libre de penser ce qu’il veut. Seule sa conscience lui permettra d’évoluer vers de plus hautes dimensions.

« Il n’y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Cette devise des Mahârâjahs de Bénarès se fonde sur la Loi de l’Un, l’adoration de l’Esprit Divin en dehors de toute limitation inhérente aux croyances quelles qu’elles soient. La pratique de l’Enseignement hermétique a toujours fait appel à cet universalité au regard de La Divinité car c’est en nous-mêmes et seulement en nous, que nous devons la rechercher.

Avec le cœur

LA LOI DU COEUR

25/01/17

Beaucoup de Chercheurs qui suivent la Voie initiatique ou la loi du coeur, s’interrogent souvent sur le meilleur moyen d’aborder la pratique de l’Enseignement. Certains plongent littéralement dans l’étude intellectuelle (qui est nécessaire), et dérivent parfois dans un «ésotérisme» analytique, dans lequel ils finissent par se perdre.

L’Enseignement hermétique

D’autres s’engouffrent dans des pratiques New ageistes,  sorte de melting pot, dans lequel on prend par ici ou par là des éléments épars d’une pseudo tradition qui n’est qu’un enfumage illusoire souvent très néfaste.

Toutes ces pratiques ou ces enseignements supposés, n’ont aucune valeur fondamentale s’ils ne sont pas étayés par l’Enseignement hermétique. Depuis des millénaires c’est sur lui que se basent les courants authentiques et les véritables initiés. Mais là encore, l’être humain trouve toujours un moyen de détourner les choses. La loi du coeur

Combien voit-on aujourd’hui, de personnes qui se réclament de l’Enseignement hermétique, après avoir lu quelques livres et « transposé » un fond de connaissance réelle, en escamotage personnel. Bref, le sujet serait trop long à aborder ici, mais la méfiance doit être de mise.

Il est bien entendu primordial, d’apprendre les arcanes théoriques de la science hermétique mais il faut en même temps prendre garde à certains aspects qui, s’ils sont négligés, peuvent conduire à une stagnation.

Apprendre, étudier, pratiquer dans la solitude de son lieu de prédilection est une évidence et c’est en ce sens que le Travail doit être effectué. Mais ce n’est là qu’une partie d’un plus grand ensemble.

Pourtant, beaucoup de Chercheurs se contentent de cette attitude et se fourvoient souvent sur les chemins de traverse, en pensant uniquement à leur propre élévation spirituelle. Bien sûr les exercices et autres méditations sont individuels, mais la spiritualité en elle-même n’est pas l’isolement. En dehors de tout travail personnel, l’évolution spirituelle doit passer par le partage et le service, par le don, tant il est vrai que nous sommes indéfectiblement liés les uns aux autres et que l’ouverture du cœur est le sens même de la dimension spirituelle.

La Loi du coeur

C’est dans le cœur que se trouve la clé de l’évolution. Je ne parle pas ici de la sentimentalité qui n’en est que l’aspect le plus ténu et le plus restrictif, mais du cœur qui s’ouvre à la compassion et à la notion d’Amour spirituel, qui n’a que faire de l’égoïsme et de la passion. L’Amour spirituel est partout présent dans l’Univers et l’on peut dire sans se tromper, que le Cosmos tout entier est soutenu par l’Amour qui se situe bien au-delà des émotions, cet Amour qui est le puissant Aimant de l’univers dans son intégralité.

La loi du coeurComment cela se traduit-il dans la vie d’un Chercheur (se) ? Le bon sens veut que chacun travaille personnellement pour sa propre évolution par la théorie et la pratique comme je viens de le dire, mais à cette différence près que l’isolement nécessaire de l’étude doit – le travail terminé – faire place à l’échange et au don de soi.

Ces sentiments sont les ferments de toute évolution spirituelle et sans eux, le passage à une plus grande Initiation ne peut se faire.

La compassion, l’altruisme, la bienveillance, la tolérance, le pardon et bien d’autres qualités d’âme sont autant de marches qui constituent l’échelle de l’évolution. Un cœur rempli d’Amour est, comme il vient d’être dit, un aimant, un pôle d’énergie qui agit avec une grande efficacité, même si l’on n’en perçoit pas la portée.

Le cœur, lorsqu’il est purifié par le service et par le don, ne cesse de croître vers de plus hauts sommets tant il est vrai que les énergies les plus subtiles, les plus créatrices et les plus puissantes, passent par le cœur.

Le cœur doit donc être un feu qui s’allume afin d’attirer le Feu d’en Haut. C’est dans le partage et dans la Sagesse rigoureuse du cœur que la Lumière apparaît et que chacun peut réellement se reconnaître et apprécier la joie d’aimer et de donner. C’est là tout le sens du : « Aimez-vous les uns les autres » prôné par le Christ. Ce n’est que par ce comportement que s’ouvre la Voie de l’Initiation.

Avec le cœur

QUEL EST LE BUT DE LA MAGIE ?

22/11/2014

De nombreuses personnes aujourd’hui peuvent avoir accès à ce qui est traditionnellement appelé LA MAGIE. En fait, ce mot présente, dans l’esprit de beaucoup de personnes, une connotation étrange, fantastique, voire négative pour d’autres. D’où vient cette mauvaise image donnée à l’un des plus grands arcanes de la Science hermétique ?

Une fois de plus, il nous faut remonter dans l’Histoire pour voir à quel point le travail de sape de l’Église a été déterminent pour prendre la place du Paganisme et des Écoles hermétiques qui existaient à Athènes et Alexandrie, pour ne citer que celles-ci. Ensuite ce travail destructif a continué avec la chasse « aux sorcières » du Moyen-âge, sous la houlette de l’Inquisition. Combien de disciples sincères ont du se cacher et se taire par peur d’être immolés !

La suite on la connaît et la science aidée par l’Église dans ce combat contre des travaux et pratiques inconnus pour elles, ont définitivement rangés l’Art magique dans les croyances fumeuses et nauséabondes de personnages déséquilibrés. A leur décharge, il faut dire que certains sorciers ou disciples de l’aspect sombre n’ont rien fait pour offrir l’image saine de la Magie. En avaient-ils d’ailleurs les clefs pour le faire ?

Avant de parler de Magie ou Sainte Théurgie, il faut se poser la question : « Qu’est-ce que la Magie et à quoi sert-elle ? ». En réalité, elle est le pouvoir que possède le chercheur, de rassembler synthétiquement « le dedans et le dehors » c’est-à-dire l’harmonie qui existe entre le macrocosme et le microcosme, en d’autres termes : l’Univers et nous-mêmes. Ainsi chacun peut, avec le temps, réaliser en conscience que ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut. Que tout est construit selon le même modèle.

C’est là le but de tout mage : chercher par la Loi de Correspondance la relation entre les mondes afin de découvrir par l’expérience et par l’évolution de la conscience que Tout est dans Tout et que chaque être humain est un Dieu vivant dans sa partie la plus pure. C’est par cette affinité que le mage découvre la Divinité dans chacun des mondes qu’il explore et son Travail n’a pour but que de parvenir à cette communion universelle afin d’être un Dieu à l’image de la Conscience Universelle.

Ainsi son but est-il la découverte intime de ce rapport entre les êtres, les mondes, les choses, la matière, la vie, les Éléments, la forme, l’ego et la personnalité, les mondes physique, astral et mental, les différents Plans de l’Univers, l’aspect divin en soi et les mondes supérieurs… Telle est la tâche du magicien qui n’a – au fur et à mesure qu’il avance dans sa pratique- qu’un seul but, celui de faire UN avec l’univers et l’humanité. Il devient alors un Artiste qui assimile son Travail à celui du Créateur, car au-delà des apparences il ne cherche que l’Unité et non la séparativité.

Aujourd’hui, plus que jamais, les portes se sont ouvertes pour que la Magie sacrée puisse être accessible à tous, si elle est pratiquée dans les règles de l’art. Ces énergies ou ondes que l’on maîtrise depuis un siècle comme la radio, la télévision et autres medias, sont autant d’expressions et d’indices que les portes des échanges se sont ouvertes, pour que l’homme sur Terre agisse dans le sens de la Magie.
Cela a d’ailleurs donné naissance à une meilleure compréhension de l’inexistence du temps et de l’espace. Mais avons-nous bien compris le sens des découvertes et les utilisons-nous correctement ?

Avec le cœur

ÉPHÈSE VILLE DE L’HERMÉTISME

13/05/08

Éphèse ville de l’Hermétisme (située dans l’actuelle Turquie), était célèbre dans l’Antiquité pour sa vie culturelle, mais surtout pour être un centre médical très important. De nombreux étudiants venaient suivre les cours des célèbres thérapeutes qui soignaient les malades réclamant leur aide.

La médecine sacrée

Éphèse ville de l'Hermétisme
La rue des Curates à Ephèse – Photo GD

C’est dans cette ville, très réputée au IIIe siècle, que Soranos d’Éphèse écrivit des traités techniques de gynécologie qui furent pratiqués durant des siècles.

Mais c’est avant cette période qu’il faut remonter le temps, pour trouver à Éphèse de grands thérapeutes et de grands sages qui exerçaient une médecine bien plus efficace nommée médecine hermétique.

En effet, cette ville était alors très connue pour son Grand Collège gnostique et néoplatonicien. C’est à Éphèse que se regroupaient bon nombre de grands thérapeutes esséniens qui étaient à l’origine de la diffusion de la médecine sacrée.

Ce Grand Collège de médecine hermétique regroupait à la fois les connaissances esséniennes mais aussi celles des Tanaïm héritiers du savoir chaldéen.

Les Esséniens formaient un groupe très mystérieux dont Pline dit qu’ils avaient vécu près de la mer Morte pendant des milliers de siècles !

Ils étaient assurément très proches des premiers chrétiens. Du reste, le terme « frère » employé par l’Église est copié des Esséniens, comme beaucoup d’autres choses. Une partie de leurs Enseignements furent très vite pervertis par des courants chrétiens dits ésotériques ainsi que par les premiers Pères catholiques.

Éphèse ville de l’Hermétisme

Éphèse ville de l'HermétismeC’est donc à Éphèse que se répandit la Gnose, mais aussi la Kabbale. On dit même que Jean l’Apôtre (reconnu comme grand kabbaliste) aurait vécu à Éphèse et « son » Apocalypse (qu’il n’a pas écrit) fait référence à l’Église d’Éphèse parmi les sept qui sont citées dans le texte.

Mais c’est surtout le Grand l’Apôtre-Adepte Paul de Tarse, connu aussi sous le nom de Simon le Magicien, très présent dans cette ville, qui rédigea son Épître, remanié moultes fois depuis. Son œuvre se poursuivra encore un peu, grâce à son disciple Timothée.

C’est encore à Éphèse que le Grand Apollonius de Tyane, fervent pythagoricien, travailla avec Euxémus d’Héraclée et ouvrit dans cette ville une école réputée dans la science hermétique. Cette magnifique ville était réellement un creuset où se côtoyaient de Grands Adeptes, véritables Maîtres de Sagesse. Grâce à eux, la quintessence de toutes les grandes philosophies Bouddhiste, Zoroastrienne et Chaldéenne, se retrouvaient en une parfaite synthèse.

Ce foyer de la Connaissance sacrée, scintilla encore de tous ses feux pendant quelque temps après le passage de ces grands Êtres. Si les chrétiens n’avaient pas donné corps aux affabulations de ceux qui s’emparèrent de l’Image du Christ en travestissant Son Message à l’appui de dogmes pervers, alors la gloire d’Éphèse aurait, tout comme celle d’Alexandrie et d’Athènes, donné au monde un système religieux qui aurait fait honneur à Platon, à la Lumière de la Science hermétique.

Avec le cœur

JÉSUS LE MAGICIEN

05/21/2016

Faut-il voir en Jésus le Magicien, un autre aspect de Sa Mission? La lecture des Évangiles permet, à la fois, de comprendre le Personnage de Jésus mais également, de discerner les nombreuses transformations que le dogme ecclésiastique a opéré dans son histoire même. Jésus a souvent été accusé de pratiquer la Magie à la manière des Égyptiens. Ce sont les Pharisiens qui furent les plus virulents à ce sujet, en portant de très dures accusations.

Les témoignages

Jésus le Magicien
Jésus et Pilate

Ils lui reprochèrent de pratiquer la sorcellerie, de chasser les démons par Belzébuth, leur prince, avec autant de violence que le clergé Catholique, en usa plus tard, pour accuser de la même faute plus d’un innocent. Dans  L’Évangile de Nicodème , (les Actes de Pilate), les Juifs lui font le même reproche devant Pilate. « Ne t’avons-nous pas dit qu’il est un magicien ? » (Origène, Cont. Cels. 11.). Celse qui était néoplatonicien, confirme cette même accusation.

Il faut lire la littérature des Talmudistes pour découvrir tout un ensemble de détails de ce genre. D’ailleurs une des plus grandes accusations qu’ils portèrent contre Jésus fut « qu’il pouvait voler aussi facilement dans les airs que d’autres marchaient » !

Saint Augustin, quant à lui, nous apprend qu’à son époque tout le monde savait qu’Il avait été initié en Égypte et qu’Il écrivit des Livres de Magie qu’Il transmit à Jean, dont un ouvrage particulier qui s’intitulait : Magia Jesu Christi.  C’est ce que nous dit H.P Blavatsky en ajoutant que dans les  Clementini Recognitiones , Jésus est accusé de ne pas avoir accompli ses miracles comme prophète juif, mais comme Magicien, c’est-à-dire comme initié des temples « païens ».

Jésus le Magicien

Il fut assurément Magicien dans la mesure où la Magie est un art universel et une des branches de la Science hermétique. Ceux qui ne comprenaient pas les Lois universelles, considéraient Ses guérisons comme miraculeuses alors que celles-ci étaient naturelles vues par l’œil de l’Initié. Pourtant dans les tous premiers siècles du christianisme naissant, la véritable Magie n’avait pas la connotation négative qu’elle peut avoir aujourd’hui et, à plus d’un titre, elle était enseignée dans toute sa splendeur.

Ainsi, Jésus était-Il considéré comme un Magicien (au sens le plus noble du terme) qui avait accès à la Science des sciences. C’est d’ailleurs ainsi qu’on le représentait aux premiers siècles de notre ère, avec l’outil sacré du mage :La baguette magique.

Plusieurs preuves de ce qui est avancé ici, se trouvent curieusement au musée du Vatican. Les photos de stèles qui sont présentées ci-dessous (mais il y en a de nombreuses autres) figurent sur des sarcophages romains ou chrétiens du tout premier siècle. On y voit nettement Jésus le Magicien, utiliser une baguette pour « réveiller » Lazare entouré de bandelettes à la manière d’une momie égyptienne ! La photo ci-dessous illustre bien ce qui vient d’être dit.

Jésus le Magicien
Stèle au musée du Vatican représentant Jésus avec la baguette magique ordonnant à Lazare de sortir du tombeau

Dans chaque sculpture, le même geste est reproduit comme pour bien l’identifier et montrer qu’Il maîtrisait l’art de la Magie sous sa forme la plus haute. On y voit d’ailleurs un Jésus différent physiquement de l’image iconographique qui s’est imposée dans la chrétienté, des siècles plus tard.

Jésus le Magicien

Jésus le Magicien
Bas-relief d’un sarcophage où l’on voit également Jésus avec sa baguette magique la pointant vers Lazare

C’est un homme sans barbe avec des cheveux courts et l’on peut penser que les artistes qui ont réalisé ces bas-reliefs devaient avoir une certaine connaissance physique du Personnage, ou bien alors des caractéristiques qui étaient transmises par tradition orale.

Si au premier siècle on pouvait avoir encore une idée de l’apparence physique de Jésus et de ses vêtements, cela changea par la suite. Quoi qu’il en soit et comme par ironie de l’Histoire, c’est au Vatican que l’on trouve les plus belles représentations de Jésus le Magicien-Adepte de la Haute science hermétique.

Avec le coeur

LA MAGIE DES PARFUMS

01/11/2014

« Les parfums, les couleurs et les sons se répondent », disait avec justesse Charles Baudelaire. La magie des parfums  a toujours fasciné par les propriétés subtiles qui la caractérisent. En effet, tout dans la nature a une correspondance de règne en règne, que se soit dans les fluides vitaux ou autres manifestations naturelles. Tout en fait est lié, mais l’homme ne se souvient plus des « accords » harmonieux de tout ce qui l’entoure, afin d’en tirer le meilleur bénéfice.

La magie des parfums

Dans l’Antiquité, les parfums étaient considérés comme un ornement mais le plus souvent servaient à la purification des lieux  et à l’élaboration de cérémonies rituelles ou magiques. Les parfums étaient savamment préparés et ces mêmes prépérations étaient tenues secrètes.

Au XVIIe siècle, Johannes Smetius rapporte que de nombreuses personnes étaient guéries de leurs maux en passant uniquement devant la boutique d’un apothicaire très réputé, passé maître dans son art. Les parfums étaient si bien traités qu’ils agissaient à distance.

Les parfums suaves ne sont pas toujours les plus agissants sur la santé. Au contraire, ceux qui répandent une odeur aromatique, comme la sauge, le romarin, etc., permettent de ranimer l’énergie vitale.La magie des parfums

Je n’aborderai pas ici l’usage des parfums dans le cadre de certaines pratiques pour attirer le monde élémentaire dans la recherche de certains phénomènes, car la plupart du temps ces procédés sont plus néfastes qu’utiles.

Dans le domaine curatif, une certaine magie consistait à fabriquer des « sachets » dans lesquels des plantes et des préparations étaient mélangées.

Ceux-ci étaient placés sur la partie malade du patient par laquelle pénétraient les émanations fluidiques parfumées. On utilisait aussi des vêtements, des ceintures imprégnées, qui avaient le même effet.

Une Magie naturelle

La magie des parfumsLa magie des parfums était présente également dans les amulettes et les talismans qui étaient sublimés par des effluves spécialement additionnées à la conjoncture astrale et à d’autres techniques. La science ne connait pas encore le pouvoir des parfums dans l’accord vibratoire d’un être humain.

Cette Magie naturelle, si elle était connue, pourrait soigner de nombreuses maladies. L’aromathérapie, bien qu’embryonnaire et ne jouant pas uniquement sur l’action des effluves, est un des outils curatif.

Dans l’Antiquité on connaissait bien l’influence des parfums et fumigations. C’est ainsi que dans le temple d’Isis à Memphis on venait recourir au don des dieux pour obtenir une guérison ou des songes prophétiques qui répondaient à certaines interrogations.

Après une nuit passée dans le temple, le patient endormi sur une peau de chèvre imbibée de parfums magiques, se réveillait avec sa réponse. Les fumigations spéciales avaient agi à la fois sur le corps et sur l’âme.

L’odorat est le plus élevé des sens purement physiques et dans les règnes inférieurs, c’est le règne végétal qui émet les radiations les plus subtiles. Celles-ci, pour les plus élevées d’entre elles, créent un pont avec le Plan spirituel.Ce n’est pas pour rien que les centres d’énergie de l’homme sont appelés lotus et que l’homme lui-même est appelé « la plante à sept feuilles ».

Avec le cœur

La magie des parfums – 10/08/2014

VATICAN SECRET

 16/09/17

Vatican secret ! Ces deux mots à eux seuls renferment un secret  jalousement gardé. Depuis des temps immémoriaux de nombreux manuscrits renfermant des fragments de la Science hermétique ont été cachés, soudoyés, manipulés ou encore détruits.

Des manuscrits antiques

L’Histoire est là, pour nous rappeler les fameux autodafés, ainsi que les persécutions de la « Sainte Inquisition », ont mis fin à des trésors culturels inestimables. Cela est un aspect de l’Histoire, mais est-ce bien la vérité ?

 vatican secret
Une représentation de l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie. Les manuscrits majeurs furent sauvés.

On nous a longtemps fait croire, par exemple, que la bibliothèque d’Alexandrie fut détruite, mais on sait aujourd’hui que les sources sont trompeuses et certains auteurs ont même prouvé le contraire.

Des textes coptes conservés au Mont Athos en Grèce relatent qu’en l’an 51 avant J.-C., la bibliothèque d’Alexandrie qui se situait dans le quartier du Bruchion, renfermait plus de sept cent mille rouleaux, tous montés sur bois et en parchemin ignifugé.

Quand l’incendie eut lieu, tous ces documents étaient partis pour être réparés et la grande quantité des manuscrits originaux, qu’on considérait comme les plus précieux, furent transportés dans la demeure d’un des bibliothécaires.

Quand l’incendie mineur se propagea dans la bibliothèque, il ne brula que des parchemins sans grande importance. Ils étaient, parait-il, si finement réalisés et si résistants que seule la couverture en bois de quelques uns fut touchée, ils furent aussi épargnés grâce à la célérité des esclaves et des bibliothécaires.

Tout cela fut rapporté par un savant grec du nom de Théodas, qui fut témoin du drame. Que sont devenus tous les manuscrits, puisqu‘ils ont été épargnés ? D’autres sources nous disent que quelques bibliothèques de cette région du monde furent elles aussi préservées. Dès que les chrétiens commencèrent à être influents à Alexandrie vers la fin du IVème siècle, les choses changèrent et c’est Anatole, évêque de Laodicée, qui commença à dénigrer vivement le Paganisme. Suite à ces menaces, les philosophes et théurges firent en sorte de protéger leurs manuscrits.

Vatican secret

vatican secret
La grande bibliothèque du Vatican. Ce n’est certainement pas dans cette salle que les plus importants manuscrits sont conservés.

Mais la hargne de l’Église allait quand même gagner une manche de la partie et au fil des siècles beaucoup de manuscrits furent confisqués (sous prétexte de satanisme et de sorcellerie) et nombre de savants et d’Amis de la Vérité furent brulés ou torturés…

C’est ainsi que dans les bibliothèques du Vatican, des passages entiers de traités précieux des anciens ont été trouvés, grattés et effacés, uniquement dans le but de les remplacer par des inepties sans nom.

Lorsque l’Église mit la main sur de tels trésors (manuscrits originaux, papyrus, et livres dérobés aux plus riches bibliothèques païennes, vieux traités sur la magie et l’alchimie etc., ce fut une manne pour certains moines et rares membres du clergé qui les conservèrent jalousement et créèrent des groupuscules très secrets de travail.

De tous les manuscrits et découvertes soit-disant « démoniaques » ou « sataniques » , tels que L’Église les qualifia depuis plus de 1600 ans, nombreux sont enfermés dans ces caves si secrètes du Vatican. Combien d’innocents, de savants et d’hermétistes, furent brûlés pour avoir dit certaines vérités qui ne plaisaient pas à l’Inquisition. Ce qui était par elle-même qualifié ainsi  fut largement étudiés par de hauts responsables du Clergé.Mais cela ne devait pas être révélé.

C’est ainsi que l’histoire nous rapporte les relations entre l’Abbé Trithème et Corneille d’Agrippa pour ne citer qu’eux. Ils travaillèrent sur des manuscrits rares et précieux volés par le Clergé. Nous développerons cela éventuellement dans un futur article.

Une vieille tradition rapporte qu’il existe au Vatican des chambres et armoires secrètes, que seuls connaissent quelques rares élus, et dont l’accès ne se fait que par des portes dérobées automatisées par quelques mécanismes dissimulés dans des cadres et des statues. Cette même tradition rapporte que peu, très peu de papes en connaissent l’accès.

Une personne de nos connaissances nous a parlé d’un de ces passages qui, bien qu’offrant des ouvrages secrets, n’est pas pour autant ce saint des saints auquel peu de personnes ont accès. L’Église garde encore de nombreux secrets dont elle ne connaît même pas l’importance.

Avec le coeur

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