Guillaume Delaage

LE POINT DE RUPTURE DE LA MONDIALISATION

13/02/2016

Depuis quelques années le monde change rapidement. L’histoire des anciennes civilisations, si nous y regardons de plus près, nous montrent souvent qu’une circonstance en apparence dramatique a été le ferment d’une découverte ou d’un changement de société formidable. En ce sens, comment faut-il considérer aujourd’hui, la vision non seulement défaillante mais surtout égoïste, angoissante, voire violente, un point de rupture que nous offre la mondialisation ?

Il semblerait qu’au plus on avance en matière de technologie, de science, d’échange, au plus nos sociétés se sclérosent, s’étouffent et perdent pied. Face à ce constat, les politiques s’entêtent à parler de profit, de croissance, poussés eux-aussi par des puissances qui leur échappent et qui ne font que pointer leur incapacité à sortir du problème dans lequel est engagé l’humanité. Ces forces qui dirigent financièrement -et d’autres façons- le monde, veulent à tout prix nous conduire vers une déshumanisation silencieuse. En un sens elles y parviennent, et la crise mondiale nous expose sa propre limite : la structure de nos sociétés ne peut continuer ainsi, au risque de s’effondrer tôt ou tard.

Cela peut paraître effrayant, mais pouvons-nous continuer ainsi? Les problèmes rencontrés par chacun, l’ambiance terrible dans laquelle doivent se débattre les peuples par la violence qu’est la pauvreté, par la maladie et la souffrance terrible de ceux qui ne peuvent se soigner, la manque d’eau, de nourriture, le chômage pour d’autres, l’avenir incertain pour beaucoup de jeunes, la précarité etc. sont autant de brutalités pour lesquelles il semblerait qu’il n’y ait aucun remède. Une minorité s’en sort très bien avec des richesses outrancières qui sont infligées comme un affront à la face de ceux qui n’ont rien. souffrance

Il n’est pas question ici, de chercher des boucs-émissaires ou des coupables, car la faute en revient au manque de conscience de l’humanité qui n’a globalement pas réagi quand il le fallait, pour « prendre la main » dans ce jeu de poker, mis en place par des forces délétères. Aujourd’hui, il faut agir et réagir et le temps n’est ni a la soumission ni aux lamentations. Nous sommes parvenus non seulement à un point de non retour, de rupture, mais au pic de douleur qu’aucun remède ne peut soulager.

La souffrance quelle qu’elle soit a toujours été un stimulateur, provocateur de conscience. Toutes les pressions et les situations qui viennent d’être évoquées arrivent peu à peu à leur paroxisme et le monde devra changer. Nous agissons trop égoïstement et c’est justement cet aspect qu’il va falloir transformer. Le monde et la planète ne peuvent continuer ainsi. L’homme n’est pas isolé, tout est lié il est un ensemble faisant partie d’un autre ensemble, plus vaste.

Le temps est venu de comprendre que nous faisons partie de ce tout et que les mentalités doivent évoluer. Il en va de l’humanité comme d’un être humain individuellement. Si un malade souffre de sa jambe, le médecin va lui donner un antalgique pour calmer la douleur. C’est justement ce que font tous les politiques à travers le monde, ils s’occupent des symptômes au lieu de s’occuper des causes.

De fait, la douleur du monde n’est pas localisée quelque part géographiquement, elle touche chacun de nous, y compris lorsqu’elle concerne un pays éloigné. Même si nous n’en avons pas conscience, c’est un fait qui existe. Cet exemple permet de comprendre l’incapacité des dirigeants à trouver des solutions, pris par une habitude de raisonner et d’agir, selon des règles étriquées et préétablies par une structure agonisante qui est générée par la mondialisation.

Tant que l’on ne s’adressera pas aux causes de nos problèmes, la solution ne viendra pas. Tout est standardisé, nous vivons dans des sociétés qui ne pensent qu’à la croissance. Où est donc la place réelle pour l’humain? Où est la place pour l’amour, pour l’échange ? Nous sommes en interdépendance les uns des autres. Nous faisons UN sur cette terre et si une partie de ce monde est malade, nous savons aujourd’hui que la maladie peut se répandre très vite sur plusieurs régions du globe. Que ce virus touche à notre santé ou à notre manière de vivre, il n’y a aucune différence.

eps-echange-partage-solidarite-800xLe mauvais aspect de la mondialisation nous a conduits à ce constat d’échec que nous connaissons aujourd’hui. Mais on peut se poser une question. La mondialisation nous a-t-elle rapprochés ? Non diront la plupart. Elle nous a rapprochés peut-être par les distances, l’information, les échanges commerciaux, mais elle nous a éloignés les uns des autres par le profit, l’égoïsme, les injustices et par la prééminence de la personnalité ou ego au détriment de notre nature spirituelle.

Cette perception est logique si l’on observe par le petit bout de la lorgnette, mais pourquoi ne verrait-on pas dans tout cela un aspect positif ? En effet, nous avons mis du temps à trouver le liant entre les peuples. Certes, celui-ci semble actuellement avoir pris une très mauvaise direction. Mais si l’on regarde d’un peu plus haut, ce lien crée par l’humanité est maintenant indéfectible, il existe, il est là, même s’il n’est greffé en grande partie que sur le profit et pour le bénéfice d’une élite.

Un alchimiste dirait que maintenant il faut passer à une phase supérieure dans l’oeuvre, il faut transmuter. Et comment doit se faire cette transmutation ? Le constat d’échec face auquel nous nous trouvons a déjà permis une prise de conscience globale qui dit que nous ne pouvons plus vivre de la sorte, il nous faut sortir de la putréfaction dans laquelle s’enlise l’humanité.

Peu à peu des voix s’élèvent, des groupes agissent pour apporter des idées nouvelles. Des personnes enfoncent les portes vermoulues des concepts vieillots, pour laisser passer la lumière d’idées nouvelles. Toutes les vieilles idées doivent faire place à de nouvelles perspectives purificatrices. Il faut purifier !

Oui, le monde change. Où va-t-il ? Nul ne peut vraiment le dire sinon qu’une mutation se profile à l’horizon. Cela se fera-t-il dans la douleur ? Tout dépend de la capacité humaine à vouloir changer les paradigmes. Quoi qu’il en soit l’évolution est en marche et cette évolution ne s’arrêtera pas. Le monde devra-t-il être rebâti ?

Il le faudra afin que se construise sur d’autres bases une vision plus harmonieuse et plus conforme aux lois de la vie et de l’amour, qu’un autre esprit incarne l’humanité. Cet amour ne devra pas être lié par une sensiblerie émotionnelle, mais par un lien de nécessité absolue entre les êtres puisqu’il faudra bien comprendre que nous ne pouvons avancer avec plus de sérénité que dans un monde solidaire. Ce propos ne se base pas sur une utopie, mais sur une réalité qui se fonde sur la loi de progression de toute vie dans le cosmos.

Nous sommes à l’aube d’un changement radical. Le monde n’a jamais été aussi près du réajustement salutaire. Beaucoup de transformations se font dans les consciences, dans la science, la technologie, la biologie et la manière d’appréhender le monde. Une ouverture spirituelle sur les Lois fondamentales de la Connaissance multimillénaire se met en place. Oui, la mondialisation négative arrive à son point de rupture et même si nous devions en souffrir quelque temps encore, elle est l’annonce d’une régénération et d’un mieux être pour l’humanité.

Avec le coeur

DES TEMPS DIFFICILES

07/11/2015

La mondialisation irraisonnée, la mainmise des systèmes financiers sur l’ensemble de la planète, le consumérisme, la pollution qui devient de plus en plus présente, les acquis sociaux qui se dégradent conduisant nos sociétés à accepter des solutions misérables et défaillantes. Les structures religieuses ne répondent plus à l’attente d’un grand nombre d’individus, les partis politiques s’enlisent. Les êtres humains sont cloisonnés dans la peur, l’ignorance, les interdictions aliénantes, les systèmes d’éducation deviennent squelettiques… La liste pourrait être plus longue.

Cette volonté de déshumaniser l’ensemble des individus vient de très loin mais arrive maintenant à atteindre des sommets. Chacun pourrait signaler d’autres « irrégularités » qui viendraient allonger l’inventaire ci-dessus, en sachant que l’esclavage de l’être humain est en marche depuis déjà longtemps et nous vivons des temps difficiles.

Nous nous croyons libres, tout comme un oiseau croit l’être dans sa cage. Pourtant des forces travaillent dans tous les domaines, à affaisser le chemin qui conduit à la Nature réelle de chaque individu grâce à un système pernicieux, qui consiste créer des mensonges sans fin.

C’est ainsi que nos sociétés travaillent depuis longtemps à nous faire accepter, par suggestion, des informations « soporifiques » que nous finissons par trouver normales, mais qui chaque fois, entament nos libertés.

La compensation se fait par la création de « machines à plaisir », l’attrait des satisfactions toujours plus superficielles, qui endorment la conscience et le libre arbitre.

Cette volonté de maintenir l’être humain dans l’inconscience de sa véritable Nature est judicieusement distillée dans les moindres structures de nos sociétés. Nous vivons aujourd’hui dans un totalitarisme invisible qui nous fait accepter ce que nous aurions rejeté il y a à peine vingt ans encore, comme irrecevable. Quelle est cette volonté de nuire ? Quelle est sa nature ?

 

Des temps difficiles

C’est en fait la volonté de quelques-uns, qui est imposée à la masse. Il appartient donc à chacun de renverser cette fâcheuse tendance où qu’elle s’exerce, par une prise de conscience, un refus mental et intellectuel d’accepter ce qui aliène l’homme et l’éloigne de sa Nature profonde. Il est donc inutile de contrer la violence par la violence.

Ce combat peut paraître dérisoire au regard de la pression mondiale de ces égrégores négatifs dont je viens de parler. Pourtant, si chacun voulait de manière déterminée et en toute conscience, refuser ces influences quotidiennes en rehaussant son propre niveau spirituel, alors une partie serait gagnée et le libre arbitre reconquis.

C’est ainsi que peu à peu se construira un paysage nouveau qui est le « Paradis » que nous avons depuis longtemps perdu à cause de notre inconscience et de notre volonté inavouée d’être manipulés par le désir du monde matériel.

Des temps difficiles

Nous faisons partie d’un TOUT et que nous le sachions ou pas, que nous l’admettions ou pas, cela ne change rien à l’affaire. Nous sommes partie intégrante d’une Force planétaire à laquelle nous sommes liés par l’Évolution. Chaque vie est un maillon interdépendant qui contribue à la réalisation d’un PLAN DIVIN qui dépasse de très loin l’orgueil et l’intellect humain.

Nous avons tous besoin les uns des autres pour la réalisation de ce PLAN et le Grand Avatar attendu par toutes les religions fait Lui aussi partie d’un Travail auquel Les Maîtres de Sagesse et leurs groupes de disciples œuvrent de concert, afin que l’humanité sorte du chaos dans lequel elle est enfermée. La bonne nouvelle c’est que rien ne peut empêcher l’exécution de ce PLAN.

Cette Hiérarchie de Lumière tournée vers la libération de l’homme, demeure présente depuis des milliers d’années sur notre planète. Elle est l’expression de la Sagesse accumulée des âges et aide silencieusement l’humanité, aveugle et sourde à Leur magnifique Mission.

Elle est ICI dans un seul but : l’Amour de l’humanité répondant ainsi par la Loi d’Analogie et de Correspondance, à l’Amour de Dieu. Au plus l’homme s’élèvera vers plus de conscience, au plus il se libèrera et au plus il comprendra sa Véritable Existence.

C’est alors que toutes les structures génératrices de peur, de violence et d’esclavage se déliteront et s’effondreront d’elles-mêmes faute d’esclaves pour les servir. Mais avant cela l’humanité devra régler le Karma négatif qui est une des causes de ses tourments. Ne vous laissez pas enfermer dans la peur !

Avec le cœur

RÉCITS D’UNE SCIENCE IMPOSSIBLE

 05/20/2015

Des questions récurrentes parviennent régulièrement dans ma boite mel,  concernant les sciences impossibles des Anciens. Dans mes livres, je traite de ce sujet pour montrer que l’Antiquité (proche ou nettement plus ancienne), détenait un savoir scientifique élaboré. Les artéfacts impossibles que l’on retrouve ici ou là sur notre planète, les constructions incroyables comme celles du Pérou, les pyramides d’Égypte, celles de Chine, les statues de l’Île de Pâques et bien d’autres édifices que chacun connait, sont des reliques de civilisations perdues.

Est-ce pour autant qu’il faille attribuer ces merveilles à des « dieux » dits extra-terrestres ? Je ne le pense pas, comme je m’en suis expliqué en d’autres circonstances et dans mes ouvrages, bien que j’adhère pleinement à l’existence extra-terrestre. Mais cela est une autre histoire. Les civilisations passées avaient des techniques dont la découverte nous surprendrait. Celles-ci se sont transmises au cours du temps et ont fini par se perdre ou s’occulter.

Il faut savoir aussi que l’Antiquité possédait de réelles méthodes scientifiques qui ont été redécouvertes bien des siècles plus tard et d’autres mêmes inconnues de nos jours. L’optique fut une de ces techniques bien connue dans les temps anciens. Ainsi Mauricius, du haut d’un promontoire de Sicile, pouvait voir toute la mer jusqu’à la côte d’Afrique, au moyen d’un instrument nommé nauscopite qui était probablement un télescope.

Récits d'une science impossible
La plus petite Bible du monde

Pline nous rapporte que Cicéron fut le témoins oculaire d’une représentation de l’Illiade d’Homère, écrite sur une feuille de parchemin fut renfermée dans une coquille de noix ! Quand on sait que cet ouvrage traduit à notre époque, ne fait pas moins de 585 pages en livre de poche, cela laisse perplexe. On peut se demander par quelle extraordinaire prouesse cela fut possible? Seule l’utilisation d’une technique d’optique sophistiquée (et pourquoi ne pas dire un microscope), pourrait permettre de réaliser une telle merveille.

Qui aurait pu lire ce texte, sans utiliser un microscope, et comment a-t-il été écrit ? Aujourd’hui, une société israélienne a conçu le plus petit exemplaire de la Bible, gravé sur une puce de 4,76 x 4,76 millimètres. Ce qui est possible au XXIe siècle nous parait, pourtant extraordinaire si l’on en juge par la photo ci-dessus. Je laisse donc aux lecteurs, le soin d’imaginer comment, dans l’Antiquité, l’Illiade fut mise dans une noix !

Les pierres, en joaillerie, furent toujours gravées, que se soit en Égypte ou en Grèce et dans d’autres civilisations plus reculées encore. On retrouve de nombreux bijoux, ainsi façonnés, aux doigts des pharaons, des rois ou des reines tout autour de la Méditerranée. Souvent les bagues faites d’émeraude, de rubis ou d’autres pierres précieuses, étaient des sceaux dont se servaient les personnages éminents, en guise de signature. Certains sont connus et l’on peut en voir encore la finesse, d’autres étaient magiques et utilisés dans des circonstances spéciales.

Parmi ces merveilles citons les intailles gnostiques connues aussi sous le nom d’Abraxas. Ces pierres gravées du 1er siècle, étaient ciselées très finement et les spécialistes, même aujourd’hui, sont stupéfiés devant la maîtrise de ce minutieux travail. Le lecteur peut découvrir une de ces pierres (collection de l’auteur) sur la photo ci-contre.

Récits d'une science impossible
Abraxas – Copyright Guillaume Delaage

On peut voir sur cette pierre magique à quel point les personnages sont habilement dessinés. Le revers de cette pierre présente une gravure tout aussi minuscule. L’artiste qui a effectué cette intaille, a du réellement utiliser un don naturel spécial, ou bien « autre chose » si l’on en juge par la dimension de l’objet…

Nous pourrions citer encore bien d’autres exemples de cette science antique. Mais, en guise de conclusion, j’évoquerai une dernière énigme historique qui nous conte qu’un empereur romain se plaisait à regarder les jeux du Colisée à Rome, comme beaucoup d’autres le faisaient à cette époque. Perché sur les gradins il était -dit-on- en possession d’une « boite » qui lui permettait de voir le centre du cirque et les gladiateurs, comme s’il y était.

Voir aussi mes autres articles : L’incroyable science du monde antique

Avec le coeur

LES PROBLÈMES DE L’HUMANITÉ

0 5/02/17

Les problèmes de l’humanité, créés par une crise mondiale,  font naître, chez un grand nombre d’individus, une certaine confusion, une anxiété voire une peur. L’avenir étant très incertain, il en ressort un constat pessimiste et une incompréhension des systèmes religieux, sociaux et politiques en place sur notre planète.

Pourquoi en sommes-nous là ?

C’est en fait la question que beaucoup se posent sans vraiment obtenir une réponse satisfaisante. Les individus, les peuples, les nations, la Terre elle-même, sont soumis à la Loi immuable du Karma auquel rien n’échappe. L’homme croit être libre et incrimine toujours « l’autre » quand quelque chose ne va pas ou ne tourne pas rond. En fait rien n’arrive sans raison et quand des calamités (quelles qu’elles soient) se manifestent, la faute est toujours jetée sur la fatalité ou sur « les autres ».Les problèmes de l'Humanité

Pourtant, nous devons comprendre que l’homme est seul responsable de son destin. Nous en sommes là où nous en sommes aujourd’hui, car beaucoup ont oublié leur Nature divine et se débattent dans une marmite de matière sale en ébullition, d’où sort une écume d’illusion que l’on appelle la vie sociale.

C’est dans cette prison que beaucoup se plongent de manière inconsciente, pour glorifier l’ego animal (la personnalité) en lui vouant le culte que nous observons tout autour de nous.

Ainsi, au plus les êtres humains courent après l’illusion de ce monde, au plus ils en oublient leur nature profonde et réelle et au plus ils paient cet attachement et cette descente dans l’animalité par des « retours de bâton » qui ne sont autre que le Karma. Tant que les êtres humains n’auront pas compris que la Vie lie les mondes de l’infiniment petit à l’infiniment grand et que NOUS sommes inclus dans ces mondes selon ces Lois, rien ne sera vraiment possible.

Les problèmes de l’humanité

Les problèmes de l'HumanitéLes images troublantes que nous voyons chaque jour dans les médias, les crimes, les problèmes sociaux, les guerres et bruits de guerres, les problèmes religieux, climatiques, les maladies et bien d’autres fléaux, ne sont que les conséquences des pensées et émotions humaines négatives, des actions pernicieuses, de l’égoïsme, de la cruauté qui engendrent la violence, en d’autres termes du non respect des Lois de l’évolution.

Ce monde est désaxé et l’être humain en est responsable par sa manière de vivre depuis des centaines, voire des milliers d’années, dans l’égoïsme et l’ignorance en refusant de croire aux Enseignements de la Science divine.

Celle-ci promet la Libération à ceux qui se consacrent à la faire vivre au fond d’eux-mêmes, dans le Saint des saints de leur Être Véritable. C’est, entre autre, ce que nous proposons dans les séminaires que nous organisons.

Tout ce que l’homme a semé il le récolte, car toutes nos actions, nos paroles, et nos émotions, sont imprimées dans la lumière astrale, ce grand agent qui reflète toutes nos turpitudes sur le miroir de notre maison, la Terre. Une vague scélérate est en train d’emporter l’humanité dans un tourbillon de matérialisme égoïste et c’est ainsi que s’ouvre en grand la Porte de la demeure du Mal. Nous sommes tous responsables de ce qui se passe actuellement dans le monde et pour les raisons précitées personne ne peut s’exclure de cette responsabilité.

Pourtant, à cela il y a un remède et seule la prise de conscience peut nous sortir de l’ornière. Ce travail de « dépollution » peut commencer dès maintenant, même si le futur semble sombre. Il ne faut pas espérer un mouvement de groupe qui va soudainement éclairer l’humanité, car si tel était le cas cela impliquerait que les autres restent dans la passivité.

Une responsabilité collective

Les Maîtres de Sagesse, en vertu de la Loi de non ingérence dans les affaires humaines, ne sont là que pour surveiller, aider et guider, sans intervenir dans notre Karma. Si la Porte de la demeure du Mal s’est ouverte, il nous faut en trouver la cause au sein même de l’humanité. Et si cette porte doit être à nouveau fermée, c’est l’humanité elle-même qui en aura scellé l’entrée.

C’est pourquoi tous, individuellement, nous devons travailler à la libération de la pensée humaine par des actions justes par l’inversion de l’axe de notre vie en donnant plus d’importance à la recherche Intérieure, en montrant notre solidarité les uns envers les autres, même si cela parait dérisoire, par l’altruisme, par des sentiments généreux etc.Les problèmes de l'Humanité

Si individuellement nous participons, même mentalement, à l’élimination des superstitions égoïstes et sectaires quelles qu’elles soient, alors la partie se gagnera avec le temps et de bonnes graines seront semées afin de mieux fleurir plus tard pour les générations futures.

Si chacun voulait se donner la peine de dire chaque jour la Grande Invocation alors notre planète serait purifiée et débarrassée de bien des maux.

Ne croyez surtout pas que l’humanité gagnera uniquement par la dynamique d’un groupe – certes cela pourra compter- mais elle le fera par l’action personnelle car en agissant ainsi nous formons, sans le savoir, une force solidaire qui n’a pas besoin d’être physiquement présente.

L’humanité travaillant de manière informelle, mais consciente, vers le même objectif, est d’une puissance inouïe.

Ce propos peut sembler bien naïf aux yeux de certains, mais si l’on admet que chaque vie sur cette Terre est liée aux autres et à la planète elle-même, si l’on considère que ces vies agissent de concert comme les cellules du corps humain, alors il faut convenir que chaque individu est une lumière qui participe à l’Éveil de l’humanité tout entière.

Avec le coeur

TRACES D’UN PASSÉ OUBLIÉ

30/05/2015

La revue Nature du 28 mai 2015 annonçait la découverte d’une nouvelle espèce d’australopithèque, vielle de 3,4 millions d’années, située en Ethiopie à la même époque que la célèbre Lucy. Les fragments osseux sont également contemporain de plusieurs autres hominidés qui peuplaient alors ce qui allait devenir le continent africain. La découverte consiste en quelques restes de mâchoires et de dents.

Avec ce nouvel hominidé, les paléontologues vont devoir allonger l’arbre généalogique du pliocène moyen déjà très fourni. Plusieurs espèces ont donc vécu au même moment dans cette région de l’Afrique de l’Est.

Au regard des informations transmises par l’Enseignement hermétique, nous pouvons constater que cette région qui est aujourd’hui l’Ethiopie, n’a presque jamais subie d’effondrements géologiques, comme ce fut le cas pour d’autres terres du globe.

Ainsi que je le mentionne dans mon livre « Le Choix atlante » : « La Doctrine Hermétique est formelle : il n’y a pas de chaînon manquant entre l’homme et le singe mais le premier est le créateur du second et les hominidés, comme Lucy, Toumaï et d’autres (que l’on n’a pas encore découverts), ne sont que la race semi-animale et semi-humaine de la fin de la Lémurie. Cette engeance vécut dans des endroits isolés pendant des millénaires et les paléontologues les présentent aujourd’hui, comme « les traces de nos lointains ancêtres ».

La partie Est de l’Afrique, comme d’autres territoires du monde n’a presque pas bougé depuis des millions d’années. C’est aussi pour cette raison que ces terres sont un vivier où gisent les restes de ces espèces australopithèques. Les paléontologues pourront s’évertuer à chercher le chainon manquant entre le singe et l’homme, en vain.

Les hominiens font partie de ces races muettes comme celles des yétis de l’Asie du Sud-est ou encore les fameux sasquatchs ou Big-foot. Ces espèces ne sont que les survivances des croisements effectués dans la lointaine Lémurie ou encore à l’époque de la première Atlantide.

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Plus récemment encore, à Taiwan, un pêcheur vient de découvrir la mâchoire d’une espèce encore inconnue, au large des îles Penghu. Les chercheurs du musée des Sciences naturelles de ce pays sont formels: ce morceau de mâchoire inférieure n’appartiendrait à aucune espèce humaine connue à ce jour.

Durant quatre ans des scientifiques australiens et japonais ont travaillé sur ces ossements et ont conclu qu’il s’agissait d’un individu de 1,60m, qui se distingue des autres groupes humains, car il ne rentre dans aucune catégorie. Il s’agirait donc d’une nouvelle espèce !

Aux vues de l’analyse du fluor et du sodium sur l’ossement, on se trouverait en présence d’un spécimen qui aurait vécu entre 10.000 et 190.000 ans. Là encore, notons que la région de Taiwan fait partie des terres qui n’ont pratiquement pas subi de bouleversements géologiques notables, selon l’Enseignement hermétique. Le spécimen découvert ferait donc partie de ces mêmes espèces qui vivaient encore il y a plusieurs milliers d’années et qui se sont peu à peu éteintes.

Toutefois un mystère demeure. Cet « homme de Penghu » se rapproche de très près de l’homme moderne. Faisait-il partie de ces espèces hominiens dégénérés dont il vient d’être question (compte tenu de sa morphologie) ou d’un groupe humain atlante ?

On se souvient, dans l’archipel de Penghu, d’anciennes traditions locales qui évoquent une vieille civilisation qui aurait été engloutie près de l’îlot de Hujing. Peu de choses nous sont rapportées concernant ces régions asiatiques depuis la découverte des structures sous-marines de Yonaguni. Pourtant cette partie de l’Océan Pacifique recèle des richesses archéologiques insoupçonnables.

Avec le cœur

LE CHIFFRE 7 ET SES SECRETS

14/03/2015

Il y a des chiffres plus « secrets » plus « énigmatiques » que d’autres, tant ils sont reliés à de grandes Lois universelles. Le chiffre 7 et ses secrets figure parmi les plus importants. Bien entendu ils ont tous une qualité particulière en partant du zéro jusqu’au 9. Nous n’allons pas ici, prendre par le menu chacun d’entre eux, mais nous arrêter plus particulièrement sur le 7. Nous allons éluder volontairement le symbolisme des 7 Eléments, des 7 jours de la semaine, des 7 planètes majeures, des 7 jours lunaires, des 7 couleurs fondamentales, des 7 chakras, des 7 îles de l’Atlantide etc. La liste serait trop longue…

Pour les Egyptiens, par exemple, le chiffre 7 symbolisait la vie éternelle et certains y ont vu, à juste titre, une analogie avec la lettre grecque Z qui est, par sa forme, un double 7 que l’on retrouve dans le dieu Zeus, dieu du ciel et de la destinée, l’œil qui « voit tout ». Ce double 7 (formant un 7 à l’endroit et l’autre à l’envers « Z »), représente bien le Feu du Ciel cette énergie primordiale, dont l’expression la plus basse est l’électricité.

Une étude sur cette énergie du Ciel, pourrait nous conduire très loin et ce n’est pas par hasard que les plus importantes constellations, pour nous Terriens, ne sont autres que la Grande Ourse et la constellation des Pléiades, comportant chacune 7 étoiles. Je renvoie le lecteur à mon livre « Thot-Hermès » (Editions Moryason), dans lequel j’aborde ce thème, non sans préciser que ces amas stellaires sont de la plus grande importance pour notre évolution humaine.

Les 7 Pléiades dont la 7e est cachée
Les 7 Pléiades dont la 7e est cachée

C’est peut-être pour cela qu’Hippocrate disait que le chiffre sept « tendait, par ses vertus occultes, à l’accomplissement de toutes choses, tout autant qu’à être le dispensateur de la vie et la source de tous ses changements (…)Il dispense vie et mouvement, il influence jusqu’aux êtres célestes. ».

L’homme lui-même est soumis à ce nombre sacré, puisque le cycle d’une existence est divisé en 7 périodes. Ainsi, on peut constater que les premières dents d’un enfant poussent, généralement, vers le 7eme mois de sa vie et tombent vers l’âge de 7 ans. À 14 ans (2X7) c’est l’âge de la puberté, vers l’âge de 16 ans les facultés mentales et vitales commencent à se développer pour s’achever vers 21 ans (3X7). Enfin c’est à 28 ans (4X7) qu’un être humain est dans l’expression totale de sa force, mais l’on dit que c’est à 35 ans (5X7) qu’il est dans la force de son âge, maîtrisant pleinement sa vie en exprimant plus largement toutes ses passions.

Nous pourrions continuer ainsi sur tout le chemin de la vie, et parler ensuite de la maturité spirituelle etc. Le nombre 7 est donc très important aussi bien dans la structure humaine, terrestre tout autant que galactique. Nous le retrouvons dans la Bible comme étant si sacré qu’il symbolise le « repos de Dieu », le jour du Sabbat pour les Juifs et les Chrétiens. Comme je le mentionne dans mon livre : « Le choix atlante », cette connaissance donnée aux Juifs, vient d’une longue Tradition issue de l’Inde via Sumer et la Chaldée.

Les 7 jours de la Création renferment, dans leur allégorie, divers niveaux de connaissance qui n’ont pas été tous donnés à l’être humain. Aussi, rien n’est « supposé » ou « inventé » dans l’Enseignement hermétique. Tout répond à des Lois et des Règles très précises qui ne supportent ni l’approximation ni le délire de théories fumeuses dont notre XXIème siècle se repaît, via le New Age. Un marteau ne fait pas un charpentier, tout comme l’adhésion à une théorie sans base initiatique ne fait pas un initié.

Le 7 nous enseigne donc l’humilité, tant il est vrai que nous ne sommes que des enfants aveugles, face à l’immensité de la Connaissance. Les 7 ciels, « monter au 7ème ciel » a pris une connotation triviale aujourd’hui dans le langage populaire. Pourtant que de secrets se cachent dans cette formule ! Que de mystères aussi dans les cycles septénaires de l’évolution des mondes, dans les sept familles humaines depuis la nuit des temps…

Nous pourrions ainsi tourner d’autres pages du Grand Livre de Thot, mais chacun de nous ne peut le faire qu’au prix d’efforts vers plus de Lumière. Une partie de ce mystère est contenu dans les arcanes du Tétragrammaton, le nom sacré de Dieu, composé de 4 lettres et qui ne peut se résoudre que par le Tetrakys caché, issu du triangle si cher à Pythagore (4+3 =7). Aussi, à l’instar d’Apollon et à l’image du Grand Musicien céleste, chaque être humain doit apprendre à jouer de la lyre à 7 cordes pour percer les secrets de l’Univers et de lui-même.

Avec le cœur

LE FLUIDE MAGNÉTIQUE DE PARACELSE

 10/12/16

Le fluide magnétique de Paracelse
Véritable portrait de Paracelse

Comme tout grand hermétiste Paracelse travaillait sur les éléments et sur le fluide magnétique rouage de la grande mécanique universelle. Il fut surtout connu comme médecin mais dut aussi, à ce titre, subir de nombreuses controverses.  Il n’est pas bon, à toutes les époques, de vouloir dire la vérité. Il s’exprimait ainsi à ce sujet :

« S’il n’existait pas de professeurs de médecine dans ce monde, comment ferai-je pour apprendre cet art. Il faudrait l’étudier dans le livre grand ouvert de la Nature, écrit par la main de Dieu…. On m’accuse de n’être point entré par la vraie porte. Mais quelle est la véritable porte ? Est-ce celle de Galien, celle d’Avicenne, de Mesne, de Rhasis, ou bien celle de l’honnête Nature ? Pour moi, je crois que c’est cette dernière. C’est par cette porte-là que je suis entré ; c’est la lumière de la nature et aucune lampe d’apothicaire qui m’a montré le chemin« .

Ces paroles de l’Initié que fut Paracelse (1493 – 1541) pourraient encore être appliquées aujourd’hui, non point que la médecine actuelle ne soit pas efficace mais parce qu’elle n’est pas encore complètement basée sur la Nature, sur cet équilibre des polarités qui est à le socle de tout l’Univers visible et invisible. Il était alchimiste, astrologue, médecin, magicien. En d’autres termes, il était un authentique hermétiste, un véritable Adepte.

Le fluide magnétique de Paracelse

Ainsi était-il particulièrement versé sur tous les effets du magnétisme qu’il soit universel ou animal. C’est pourquoi ses travaux sur l’aimant lui permirent de mettre au point son fameux remède, le Magisterium Magnetis, dont il ne livre qu’une petite partie du secret de sa composition.

Le fluide magnétique de ParacelseIl dit d’ailleurs : « J’ai découvert que l’aimant, en dehors de ce pouvoir visible d’attirer le fer, en possède un autre caché ». Ce secret est pour lui la force « sidérale » qui existe en l’homme, émanation des corps célestes, dont est composée la forme spirituelle de l’homme. Il ajoutait : « L’homme mange et boit ce qu’il tire des éléments pour soutenir son sang et sa chair ; mais c’est des astres que sont tirés l’intellect et les pensées qui alimentent l’esprit ».

En véritable hermétiste magicien, il savait que l’homme obtient non seulement la santé des éléments lorsqu’ils sont en équilibre, mais encore la maladie, lorsque leur équilibre vient à être rompu. C’est parce que tous les corps vivants sont soumis aux lois de l’attraction et de l’activité chimique, qu’ils rassemblent les influences astrales. Découvrant ce principe il dit : « Le soleil et les étoiles nous attirent à eux et nous, de notre côté nous les attirons».

Paracelse a montré que l’homme est la contrepartie microcosmique de l’Univers, comme l’a toujours enseigné l’Hermétisme. L’homme est un composé d’Univers tant sur le plan physique que spirituel. En somme, Franz Bardon, dit exactement la même chose avec des mots différents : l’homme est un aimant quadripolaire tout comme la Terre. C’est donc Paracelse qui réamorça cette ancienne science hermétique qu’est le magnétisme, utilisée par les initiés de l’Antiquité, et parfois souvent mal comprise et mal appliquée aujourd’hui.

Il disait encore : « Comme le feu traverse les parois d’un poêle en fonte, les étoiles passent à travers l’homme avec toutes leurs propriétés et pénètrent en lui, comme la pluie dans la terre qui, grâce à elle, produit des fruits. Or, remarquez-le, les étoiles entourent la terre comme la coquille l’oeuf ; l’air passe et pénètre à travers la coquille jusqu’au centre du monde. Le corps humain est soumis à une double loi, comme la terre, les planètes et les étoiles ; il attire et repousse, car il est saturé d’un double magnétisme, l’influx de la lumière astrale. »Le fluide magnétique de Paracelse

Il travailla beaucoup sur « l’électricité de l’homme et de la femme », sur l’échange magnétique entre les êtres, sur le pouvoir curatif du magnétisme humain, sur l’influence des objets, des animaux, des effluves astraux, de la pensée. Il agissait en véritable hermétiste, sachant ce qu’il disait et faisait, contrairement à ceux qui se lancent dans ce genre d’études sans prendre la moindre précaution.

Les idées de Paracelse, sur les propriétés occultes de l’aimant, sont expliquées en partie dans son célèbre livre Les sept livres de l’Archidoxe magique, dans lequel il décrit la teinture merveilleuse, remède extrait de l’aimant, et nommée Magisterium Magnetis. Mais voilà, les explications sont toutes données dans un langage caché non accessible aux profanes, comme beaucoup de livres majeurs de cette époque. « Chaque paysan voit, dit-il, qu’un aimant attire le fer, mais un homme sage cherche par lui-même… ».

Le fluide magnétique de ParacelseParacelse, à un certain moment de sa vie, passa plusieurs années dans l’un des Ashrams de la Fraternité Transhimalayenne. C’est là qu’il reçut toutes les données qu’il a transmises plus tard dans ses nombreux volumes, le plus souvent sous forme symbolique, par crainte d’être victime de persécution.

Il fut le médecin le plus réputé de son époque, et le plus renommé pour guérir un nombre impressionnant de maladies, par la puissance des talismans et de philtres qu’il préparait lui-même. Ayant peu d’amis, mais beaucoup d’ennemis, il avait surtout affaire avec la malice implacable des hommes d’Église de son temps. Il mourut à l’âge quarante-huit ans à Salzbourg laissant derrière lui des ouvrages d’une grande érudition hermétique.

Pour celles et ceux qui désirent en savoir un peu plus sur ce Grand philosophe, voici une vidéo qui apportera des informations historiques sur sa vie extérieure.

Avec le coeur

LES JASMINS DE MOSSOUL

Les roses d’Ispahan dans leur gaine de mousse,
Les jasmins de Mossoul, les fleurs de l’oranger
Ont un parfum moins frais, ont une odeur moins douce,
O blanche Leïlah ! que ton souffle léger.

28/02/2015

Ces quelques vers extraits du poème « Les roses d’Ispahan » de C.M Leconte de L’Isle paraissent bien dérisoires face à la brutalité que vient de connaître la ville de Mossoul en Irak. Des œuvres d’art exceptionnelles ((hormis les quelques copies existantes) datant de la civilisation sumérienne et babylonienne, ont été brisées à coup de masse ou de marteau-piqueur. Plus de 2000 livres de la bibliothèque ont été complètement détruits.

Une vidéo de cinq minutes, filmée par des djihadistes de l’Etat islamiste s’achève sur d’autres ravages dans un site archéologique, qui pourrait être celui de Ninive, l’antique capitale d’Assyrie. Bien sûr, ce n’est pas la première fois que de telles exactions sont commises à l’encontre de l’art et de la culture en général et l’Histoire est jonchée de ce genre de turpitude qui traîne des massacres humains plus odieux encore.

Au nom de quoi ou de qui se déverse cette folie intégriste, cette haine de la culture passée ? Au-delà des oppositions et des conflits politiques recensés, il faut y voir la mainmise de forces qui dépassent le seul secteur religieux. Il est évident que les actions négatives qui sont menées à travers le monde sont faites par des hommes, mais il faut savoir aussi à qui profite le crime.

Un des taureaux androcéphales qui vient d'être détruit.
Un des taureaux androcéphales qui vient d’être détruit.

Cette volonté d’éradiquer la culture et l’Histoire présente une certaine logique pour les fanatiques. En effet, selon eux, tous les ouvrages éducatifs, scientifiques, les œuvres d’art et l’Histoire en général vont à l’encontre de leur idéologie. Et celle-ci est simple : ôter toute forme de liberté et soumettre les peuples à leur loi et diktats. En mars 2001, les Talibans avaient marqué le début de ce travail de sape, en détruisant les Statues de Bamiyân. J’avais alors mis en exergue l’éradication des symboles voulue par les extrémistes, mais aussi par d’autres « groupes ».

Oui, nous vivons un tournant de l’Histoire et les soubresauts que nous ressentons sont autant de menaces pour le monde en général. Les foyers de tensions sont nombreux un peu partout sur la planète et les êtres humains restent confinés dans un égoïsme qui est proportionnel à la peur qu’ils ressentent. Pourtant il est encore temps, par un élan collectif, de transformer bien des choses en allant dans le sens de la vie, du partage et de l’altruisme.

Si cette prise de conscience collective ne se fait pas, alors ce sont d’autres forces qui vont prendre le pas, pour un temps, sur la Lumière. La période de la Révélation (Apocalypse) se terminera bientôt, pour laisser la place à un autre cycle. Il est grand temps que chacun d’entre nous songe à travailler pour plus de conscience sur des bases nouvelles afin de ne pas produire les mêmes erreurs commises jadis par le peuple atlante.

Avec le cœur

LE CODE SECRET DE NOSTRADAMUS

21/02/2015

Que n’a-t-on dit sur Michel de Notre-Dame plus communément appelé Nostradamus, ou plutôt que ne lui a-t-on fait dire ? Beaucoup d’auteurs se sont essayés à gloser, interpréter ou commenter ses fameux quatrains et sixtains sans vraiment parvenir à offrir une réelle compréhension de sa pensée.

Il faut dire, à leur décharge, que la lecture des Centuries de Nostradamus relève de l’exploit, tant il est vrai que le lecteur se perd devant tout un ensemble de termes écrits en vieux français, qui jouent d’audace au point de présenter des quatrains le plus souvent incompréhensibles au profane.

Ceux qui ont eu le courage de se lancer dans l’étude des textes du prophète de Salon de Provence ont pu, non sans efforts, trouver quelques pistes et quelques interprétations qui ont fini par s’avérer. Il est vrai que celles-ci étaient plus facilement « décryptables », et a bien y regarder cette facilité d’interprétation a été voulu par Nostradamus pour que son œuvre puisse parcourir le temps et ne pas être oubliée.

En effet si les textes avaient été complètement inaccessibles, les Centuries seraient tombées dans l’oubli et, en ce XXIe siècle naissant, nul ne se souviendrait de ce docteur en médecine à la fois grand astrologue, mage et prophète.

Une chose est sûre personne n’a pu, jusqu’à aujourd’hui, donner l’explication des Centuries et pour cause. On a cherché par tous les moyens à proposer des interprétations qui toutes, n’ont fait que discréditer les exégètes eux-mêmes au point de voir certains d’entre eux, sombrer dans le ridicule mais pire, de faire passer Nostradamus pour un charlatan.

Il y a pourtant de nombreux indices qui permettent de se diriger vers une autre piste, plus secrète et plus énigmatique encore. C’est alors qu’il faut se poser une question majeure : pour qui et pourquoi le prophète de Salon a-t-il écrit les 949 quatrains d’un livre si hermétique ? Car c’est là en fait la seule manière de considérer l’affaire.

Ceux qui ont étudié ces textes de façon honnête, savent très bien qu’il y a quelque chose « dessous » comme une énigme, une sorte de jeu de piste qui permet de découvrir quelque chose de quasi invraisemblable. Mais quoi ?

Pourquoi dénigrer ce Maître sous prétexte que ce sont les interprètes qui se sont trompés ? Oui, Nostradamus a codé ses quatrains et l’on pourrait penser, sans trop se tromper, qu’ils ne sont destinés qu’à une seule personne dans un futur qu’il a vu en détail, à l’époque où il les écrivit !

Les temps que nous vivons sont particulièrement intenses et l’on peut penser que la scène mondiale va nous réserver bien des surprises. Nostradamus aurait-il laissé cet héritage pour un personnage bien précis qui aurait une mission à remplir dans notre époque actuelle ?

Ce secret ne serait-il destiné qu’à ce personnage qui en découvrirait les clefs ? Y aurait-il donc un « code Nostradamus » ? D’autres auteurs comme l’abbé Johannes Trithemius, contemporain de Nostradamus, savait employer aussi certains codes, dans sa Steganographia, restés secrets encore aujourd’hui.

Plus de cinq cent ans après la rédaction des Centuries on continue de parler de Michel de Notre Dame, sans comprendre l’énigme qu’il nous présente. Tout ce travail n’a pas été fait en vain. Une personne en détient les clés.

Avec le cœur

POSEÏDONIS, LA DERNIÈRE ATLANTIDE

 22/04/17

D’après la grande Tradition hermétique, Poseïdonis la dernière Atlantide, marqua la fin de l’histoire de la quatrième branche humaine. Dans mon livre : « Le Choix atlante, ou l’origine secrète du mal planétaire actuel » (Ed. Moryason), je décris les différentes phases géologiques de l’Atlantide, au cours des nombreux millénaires qui ont vu sa naissance, sa grandeur et sa chute.

Poseïdonis la dernière Atlantide

Généralement, lorsqu’on pense à l’Atlantide, on se réfère à l’histoire contée par Platon lorsqu’il décrit Poséidonis. En fait cette île n’était que les derniers « débris » du vaste continent d’origine qui abritait une fabuleuse civilisation.

Poseïdonis la dernière AtlantideAinsi donc, en rapportant le récit des Anciens, c’est à cette dernière parcelle de terre qu’il fait référence. Nous sommes alors en 9564 avant J.-C. Une fois de plus le monde allait basculer. Après de nombreux soubresauts, le dernier réceptacle de la plus haute civilisation jamais connue, allait s’effondrer. Laissons la parole à Critias telle que la rapporta Platon dans le Timée :

Mais dans le temps qui suivit, il y eut des tremblements de terre effroyables et des cataclysmes et, dans l’espace d’un seul jour et d’une seule nuit terribles, toute votre armée fut engloutie d’un seul coup dans la terre et de même l’île Atlantide s’abîma dans la mer et disparut. Voilà pourquoi, aujourd’hui encore, cet Océan de là-bas est difficile et inexplorable, par l’obstacle des fonds vaseux et très bas que l’île, en s’engloutissant, a déposés.

L’énigme de la Meso-Amérique

Poseïdonis la dernière Atlantide
La pyramide de Chchen Itza

Effectivement, durant de nombreux siècles après l’effondrement de cette île, de cette dernière Atlantide, beaucoup de marins avaient peur de naviguer dans les eaux boueuses et épaisses de l’Océan Atlantique. Ce n’est qu’après plusieurs milliers d’années que la navigation fut praticable à nouveau.

En fait les marins de cette époque conservaient le mythe de ce continent perdu et maudit qui pouvait encore avaler tout les navires qui s’aventureraient dans ces eaux.

Parallèlement à cette histoire, on se demande parfois comment les Olmèques, Aztèques, Incas ou autres Mayas de notre époque « contemporaine », c’est-à-dire ceux qu’ont connu les conquistadores espagnols, ont pu avoir de telles connaissances et réaliser de telles constructions.

Ces peuples n’ont été que les héritiers de la grande branche touranienne qui les avait précédés et qui comptait de puissants géants bâtisseurs, dotés d’une formidable technologie.

Malgré la richesse matérielle et intellectuelle que les Conquistadores ont découverte chez les Incas du Pérou, malgré la structure gouvernementale de ces derniers, malgré le faste de leur civilisation qui éblouit les Espagnols, les Incas n’étaient que la timide copie de la civilisation touranienne qui régnait 14 000 ans auparavant et dont ils étaient les derniers héritiers.

L’Égypte et les Amérindiens

Ainsi, même encore aujourd’hui, tous les Indiens du Sud de l’Amérique, hormis certaines migrations venues d’Europe durant la dernière glaciation, sont les lointains descendants des Touraniens. Cette histoire, très ancienne des habitants d’Amérique du Sud que nous connaissons, laisse parfois perplexe et l’on se demande à juste titre comment des peuples souvent sanguinaires comme les Mayas et les Incas pouvaient avoir de telles connaissances en astronomie, pour ne citer que cette science.

Poseïdonis la dernière AtlantidePourtant si l’on essaie d’explorer les pages de l’Histoire, on arrive très vite à d’intéressants points communs entre certains peuples. Si les civilisations amérindiennes avaient des rites sanguinaires elles avaient aussi des similitudes très nettes avec des civilisations plus lointaines comme l’Égypte. En effet l’écriture des uns comme des autres vénéraient le Dieu soleil. Les uns comme les autres disaient être de race rouge.

D’autre part, de nombreux vestiges archéologiques montrent la similitude construction entre l’Égypte et certaines civilisations amérindiennes. Cette ressemblance est telle, qu’elle a frappé beaucoup d’archéologues. Il ne s’agit pas seulement d’une apparence extérieure, dans la composition architecturale, mais d’une similitude réelle dans la géométrie, dans la technique même qui est à l’origine de ces constructions.

L’Histoire des Soleils

Tous ces peuples parlent d’un Déluge qui mit fin à une grande civilisation et à de nombreux êtres humains. L’Histoire des soleils (Codex Chimalpopoca) des Aztèques, comme la Bible, le Timée ou le Critias, relate cette catastrophe :Poseïdonis la dernière Atlantide

A ce moment le ciel se rapprocha de l’eau, tout se perdit et le jour nahui xochtitl consuma tout ce qui était de notre chair. En cette année là tout fut perdu. La montagne même s’abima sous l’eau et l’eau demeura tranquille pendant cinquante deux printemps. A la troisième époque appelée Soleil de pluie, il tomba une pluie de feu…et en un seul jour tout fut détruit par la pluie de feu.

Une tradition d’Haïti et des Antilles par le frère Pane au XVIe siècle dit, à peu près la même chose. Il faut dire que les Caraïbes sont des terres morcelés de Poseïdonis. Certaines îles de cette région détiennent encore vestiges perdus de cette civilisation atlante.

Les peuples de la meso-Amérique étaient incapables de donner une origine exacte à leurs connaissances, car ils ne faisaient que reproduire ce que leurs lointains ancêtres leur avaient légués. Ainsi donc, seuls certains prêtres initiés savaient des secrets, mais certainement pas ceux qui avaient, entre autres, permis de réaliser les fantastiques constructions dont ils étaient les lointains héritiers.

A regarder une vidéo sur l’Atlantide et les mégalithes sur ma chaîne Youtube

https://www.youtube.com/watch?v=impjkdaB92w

Avec le coeur